
Cet établissement de 90 lits propose des prestations hôtelières avec à la fois des chambres équipées de salles de bain et toilettes particulières et des espaces communautaires pour faciliter les rencontres, les échanges. Il offre une prise en charge médicale avec médecins, kinésithérapeute, ergothérapeute, psychomotricien et, compte tenu de son service d’accueil de jour de 15 places destiné à l’accueil de personnes âgées atteintes de la maladie d’Alzheimer ou de troubles apparentés, des activités thérapeutiques et de loisirs telles que les activités de mémoire et de reconnaissance visuelle, l’éveil des sens…
"Inaugurer un EHPAD a toujours été un moment privilégié car ces structures sont des lieux d’ouverture sur les autres, des lieux de rencontres mis à la disposition de nos ainés qui ne peuvent pas rester chez eux. Pour autant, nous devons veiller à ce que ces personnes aient une qualité de vie et que le lien familial soit maintenu. L’Association Père Favron est un poids lourds à La Réunion, employant 1300 personnes qui travaillent pour les personnes âgées. Le Conseil général alloue chaque année 30 millions d’euros à l’association et nous nous réjouissons de la qualité de nos relations » a souligné la Présidente du Conseil Général.
La politique du Conseil Général est et reste le maintien à domicile des personnes âgées car bien vieillir chez elles, est essentiel, mais comme l’a indiqué Nassimah Dindar : "Ce souhait est souvent difficile a exaucé car elles n’ont pas l’accessibilité aux pièces d'eau par exemple ; aussi le Conseil général a décidé de mettre en place un dispositif, des investissements appelés "l’aide à l’amélioration de l’habitat".
Naturellement, d’autres dispositifs existent pour nos gramounes comme le chèque santé, la carte Armelle, le Répit-repos et bien d’autres encore. Nos efforts sont constants, ce sont des dispositifs volontaires. Toutefois, les perspectives budgétaires pour 2013 sont fortement contraintes pour la Collectivité. Avec le vieillissement de la population et le prolongement de l’espérance de vie, nos ainés ont un besoin impératif de notre soutien au travers de dispositifs obligatoires (APA / APCH) qui ne sont malheureusement pas compensés en intégralité par l’Etat.
Par ailleurs, la Loi de financement de la Sécurité Sociale prévoit 160 millions d’euros pour les EHPAD et, depuis quatre ans, il y a 200 millions d’euros qui dorment dans les caisses de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (prévus pour le financement des EHPAD). Se pose donc légitimement l’affectation de ces crédits en complément des efforts du Conseil Général. Il est donc essentiel qu’avec tous les partenaires, les solutions soient trouvées en bonne intelligence, dans l’intérêt des Personnes Agées et des générations futures".
"Inaugurer un EHPAD a toujours été un moment privilégié car ces structures sont des lieux d’ouverture sur les autres, des lieux de rencontres mis à la disposition de nos ainés qui ne peuvent pas rester chez eux. Pour autant, nous devons veiller à ce que ces personnes aient une qualité de vie et que le lien familial soit maintenu. L’Association Père Favron est un poids lourds à La Réunion, employant 1300 personnes qui travaillent pour les personnes âgées. Le Conseil général alloue chaque année 30 millions d’euros à l’association et nous nous réjouissons de la qualité de nos relations » a souligné la Présidente du Conseil Général.
La politique du Conseil Général est et reste le maintien à domicile des personnes âgées car bien vieillir chez elles, est essentiel, mais comme l’a indiqué Nassimah Dindar : "Ce souhait est souvent difficile a exaucé car elles n’ont pas l’accessibilité aux pièces d'eau par exemple ; aussi le Conseil général a décidé de mettre en place un dispositif, des investissements appelés "l’aide à l’amélioration de l’habitat".
Naturellement, d’autres dispositifs existent pour nos gramounes comme le chèque santé, la carte Armelle, le Répit-repos et bien d’autres encore. Nos efforts sont constants, ce sont des dispositifs volontaires. Toutefois, les perspectives budgétaires pour 2013 sont fortement contraintes pour la Collectivité. Avec le vieillissement de la population et le prolongement de l’espérance de vie, nos ainés ont un besoin impératif de notre soutien au travers de dispositifs obligatoires (APA / APCH) qui ne sont malheureusement pas compensés en intégralité par l’Etat.
Par ailleurs, la Loi de financement de la Sécurité Sociale prévoit 160 millions d’euros pour les EHPAD et, depuis quatre ans, il y a 200 millions d’euros qui dorment dans les caisses de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (prévus pour le financement des EHPAD). Se pose donc légitimement l’affectation de ces crédits en complément des efforts du Conseil Général. Il est donc essentiel qu’avec tous les partenaires, les solutions soient trouvées en bonne intelligence, dans l’intérêt des Personnes Agées et des générations futures".