
Que ce soit Roland Robert ou Jean-Claude Tréport, maire de La Possession après mars 2014, l'avenir de Doris Carassou, DGS (directeur général des service), sera également lié à ces deux probabilités : A quel moment, Roland Robert passera la main (est-ce à son fils Philippe) ? Jean-Claude Tréport est-il vraiment en position de remporter les Municipales 2014 ? Dans ces deux cas au moins (sans tenir compte de l'hypothèse de l'élection de Vanessa Miranville, Jean-Yves Morel ou Gilles Hubert), son devenir professionnel à la mairie de La Possession, se remplit d'incertitudes.
Hier lors de sa conférence de presse de lancement de campagne, Jean-Claude Tréport a mis fin à un suspense qui n'en a jamais été un. A la question : "Si demain vous êtes élus maire, allez vous garder le DGS Doris Carassou ?" La réponse de l'intéressé est sans équivoque. "J'appliquerais les textes de loi. En effet, la loi dit qu'un secrétaire général de mairie à sept mois, après l'élection d'un nouveau maire, pour trouver un autre travail". Le visage figé comme pour contenir une intense émotion, le conseiller municipal a été concis et précis.
Au delà d'un conflit de personnes et des vicissitudes des relations humaines, il y a surtout une réalité que l'élu possessionnels n'a jamais compris, ou s'il a compris, il ne l'a jamais accepté : comment un administratif, un fonctionnaire territorial, a fini par avoir plus de pouvoir et de légitimité que des conseillers municipaux élus et légitimés par la population ? Il est vrai que cette question mérite d'être posée. Car, la décision du maire de La Possession de trop souvent prendre fait et cause pour son DGS, n'a pu que nuire à l'image et à la crédibilité de certains élus.
S'il est élu maire de La Possession, le premier objectif de Jean-Claude Tréport c'est de clarifier l'organigramme politique et administratif municipal. Chacun a sa place. Et chacun dans ses prérogatives. "Le conseil municipal applique le projet voté par la population, et les services administratifs, juridiques et financiers concrétisent les délibérations validées". Que ce soit en tant que chef d'entreprise ou tant que président de club de foot, Jean-Claude Tréport travaille en équipe, "mais pour que ça marche, chacun doit rester à la place définie par la loi".
Hier lors de sa conférence de presse de lancement de campagne, Jean-Claude Tréport a mis fin à un suspense qui n'en a jamais été un. A la question : "Si demain vous êtes élus maire, allez vous garder le DGS Doris Carassou ?" La réponse de l'intéressé est sans équivoque. "J'appliquerais les textes de loi. En effet, la loi dit qu'un secrétaire général de mairie à sept mois, après l'élection d'un nouveau maire, pour trouver un autre travail". Le visage figé comme pour contenir une intense émotion, le conseiller municipal a été concis et précis.
Au delà d'un conflit de personnes et des vicissitudes des relations humaines, il y a surtout une réalité que l'élu possessionnels n'a jamais compris, ou s'il a compris, il ne l'a jamais accepté : comment un administratif, un fonctionnaire territorial, a fini par avoir plus de pouvoir et de légitimité que des conseillers municipaux élus et légitimés par la population ? Il est vrai que cette question mérite d'être posée. Car, la décision du maire de La Possession de trop souvent prendre fait et cause pour son DGS, n'a pu que nuire à l'image et à la crédibilité de certains élus.
S'il est élu maire de La Possession, le premier objectif de Jean-Claude Tréport c'est de clarifier l'organigramme politique et administratif municipal. Chacun a sa place. Et chacun dans ses prérogatives. "Le conseil municipal applique le projet voté par la population, et les services administratifs, juridiques et financiers concrétisent les délibérations validées". Que ce soit en tant que chef d'entreprise ou tant que président de club de foot, Jean-Claude Tréport travaille en équipe, "mais pour que ça marche, chacun doit rester à la place définie par la loi".