
"Cherchons à comprendre qui de l'utilisateur ou du milieu est à l'origine du malheur de l'autre.
Prenons comme constante que la "bêtise", caractéristique principale de l'individu ou groupe d'individu que nous observons, ne lui permette pas de changer d'attitude au cours de l'expérience, mettre sa main dans une ruche. L'apparition de l’occurrence "piqure d'abeille" ne change pas son exposition au risque et n'augmente pas la population des individus expérimentateurs bêtes ... et pas courageux.
Prenons comme hypothèse que l'individu adopte une attitude particulièrement risquée en introduisant sa main dans la ruche aux moments les moins recommandés de la journée, le matin après le lever du soleil et en fin de journée juste avant le couché du soleil.
Prenons comme échelle de temps pour l'expérimentation une période de 30 ans.
Cycle d'expérimentation I :
Prenons comme hypothèse que l'environnement de la ruche reste constant pendant cette première période.
Nous pouvons donc résumer la situation pendant cette période, en disant que cet individu s'est exposé de manière constante au risque de piqure d'abeille au cours de ces 30 dernières années.
Le résultat est qu'aucune occurrence de piqure n'est reportée sur la période de l'expérience.
L'augmentation de l'exposition au risque piqûre semble ne pas augmenter le nombre d’occurrence piqure. L'individu est inerte pour le milieu.
Cycle d'expérimentation II :
Apportons maintenant un changement à l'environnement de la ruche / la bêtise de l'individu est constante et ne lui permet pas de changer de comportement quant à son exposition au risque piqure.
Dans une période de temps inférieure à la première période d'expérimentation, disons 5 ans, une occurrence de piqure intervient une première fois puis de manière récurrente l'individu est piqué par les abeilles, celui-ci ne change toujours pas de comportement.
Dans ce scénario, la piqure qui n'avait pas été observé dans le premier cycle de 30 ans devient fréquente, régulière.
Notre individu s'exposant de manière régulière et constante à ce risque, la question n'est plus de déterminer son niveau de bêtise, que l'on sait constant et sans influence sur l'apparition de l’occurrence piqure d'abeille, conclusion que l'on peut tirer du premier cycle d'expérimentation.
La vraie question est de savoir, quelles sont les évolutions du milieu qui induisent une augmentation de l’occurrence piqure à ce point ? Pas de piqures en ~ 30 ans ... 9 piqures en 20 mois dont 3 mortelles.
Les expérimentateurs qui par leurs actions ont influencé le milieu, et qui aujourd'hui ... embarrassés argumentent, pouvait-il avoir connaissance / conscience des évolutions qui s'opéraient, si oui, pourquoi n'ont il rien fait pour arrêter cette expérience et ainsi éviter à nos individus une fin tragique pour certains, dramatique pour d'autres, miraculeuse pour les derniers, si non, pourquoi ces risques n'ont ils pas été anticipés et suivis et enfin maitrisés ?
La question reste entière, les familles pleurent et les expérimentateurs ... expérimentent ... encore combien de temps !
PS : Il n'y a évidemment pas de cycle III ou l'individu est absent du milieu puisque nous ne pourrions plus évaluer les conditions d'apparition de la piqûre".
Prenons comme constante que la "bêtise", caractéristique principale de l'individu ou groupe d'individu que nous observons, ne lui permette pas de changer d'attitude au cours de l'expérience, mettre sa main dans une ruche. L'apparition de l’occurrence "piqure d'abeille" ne change pas son exposition au risque et n'augmente pas la population des individus expérimentateurs bêtes ... et pas courageux.
Prenons comme hypothèse que l'individu adopte une attitude particulièrement risquée en introduisant sa main dans la ruche aux moments les moins recommandés de la journée, le matin après le lever du soleil et en fin de journée juste avant le couché du soleil.
Prenons comme échelle de temps pour l'expérimentation une période de 30 ans.
Cycle d'expérimentation I :
Prenons comme hypothèse que l'environnement de la ruche reste constant pendant cette première période.
Nous pouvons donc résumer la situation pendant cette période, en disant que cet individu s'est exposé de manière constante au risque de piqure d'abeille au cours de ces 30 dernières années.
Le résultat est qu'aucune occurrence de piqure n'est reportée sur la période de l'expérience.
L'augmentation de l'exposition au risque piqûre semble ne pas augmenter le nombre d’occurrence piqure. L'individu est inerte pour le milieu.
Cycle d'expérimentation II :
Apportons maintenant un changement à l'environnement de la ruche / la bêtise de l'individu est constante et ne lui permet pas de changer de comportement quant à son exposition au risque piqure.
Dans une période de temps inférieure à la première période d'expérimentation, disons 5 ans, une occurrence de piqure intervient une première fois puis de manière récurrente l'individu est piqué par les abeilles, celui-ci ne change toujours pas de comportement.
Dans ce scénario, la piqure qui n'avait pas été observé dans le premier cycle de 30 ans devient fréquente, régulière.
Notre individu s'exposant de manière régulière et constante à ce risque, la question n'est plus de déterminer son niveau de bêtise, que l'on sait constant et sans influence sur l'apparition de l’occurrence piqure d'abeille, conclusion que l'on peut tirer du premier cycle d'expérimentation.
La vraie question est de savoir, quelles sont les évolutions du milieu qui induisent une augmentation de l’occurrence piqure à ce point ? Pas de piqures en ~ 30 ans ... 9 piqures en 20 mois dont 3 mortelles.
Les expérimentateurs qui par leurs actions ont influencé le milieu, et qui aujourd'hui ... embarrassés argumentent, pouvait-il avoir connaissance / conscience des évolutions qui s'opéraient, si oui, pourquoi n'ont il rien fait pour arrêter cette expérience et ainsi éviter à nos individus une fin tragique pour certains, dramatique pour d'autres, miraculeuse pour les derniers, si non, pourquoi ces risques n'ont ils pas été anticipés et suivis et enfin maitrisés ?
La question reste entière, les familles pleurent et les expérimentateurs ... expérimentent ... encore combien de temps !
PS : Il n'y a évidemment pas de cycle III ou l'individu est absent du milieu puisque nous ne pourrions plus évaluer les conditions d'apparition de la piqûre".