
Le député sortant de Saint-Denis a salué les "amis présents venus de toute l'île" au début de son allocution, histoire de montrer à la ministre de l'Ecologie, que la Droite est unie. René-Paul Victoria a placé La Réunion et le travail parlementaire qu'il a menés dans un contexte politique et institutionnel. L'ex-patron de l'UMP local a ensuite dit sa volonté de poursuivre sa tâche "aux côtés de ses proches et militants".
"C'est à René-Paul Victoria de définir ses objectifs, nous le suivrons", a dit Didier Robert, président de la Région Réunion. Le patron de La Réunion en confiance a développé les contours de son action devant une ministre très attentive. "Nous travaillons à la refondation d'une Droite républicaine. Et pour une économie dynamique que n'exclut en rien une générosité républicaine".
"L'essentiel est de ne pas changer de cap pour des raisons futiles ou politiciennes. Je le répète, je suis pour un renouvellement de la classe politique. Il faut accepter qu'il y ait des jeunes qui viennent prendre part à la construction du projet de société. Le travail d'humilité doit aussi servir à cela. Nous devons faire mieux qu'en 2007. La volonté et la nécessité d'avoir un candidat de l'union par circonscription, vont bien sûr en ce sens", a expliqué Didier Robert lors du "demi-mot" qui lui restait.
"C'est à René-Paul Victoria de définir ses objectifs, nous le suivrons", a dit Didier Robert, président de la Région Réunion. Le patron de La Réunion en confiance a développé les contours de son action devant une ministre très attentive. "Nous travaillons à la refondation d'une Droite républicaine. Et pour une économie dynamique que n'exclut en rien une générosité républicaine".
"L'essentiel est de ne pas changer de cap pour des raisons futiles ou politiciennes. Je le répète, je suis pour un renouvellement de la classe politique. Il faut accepter qu'il y ait des jeunes qui viennent prendre part à la construction du projet de société. Le travail d'humilité doit aussi servir à cela. Nous devons faire mieux qu'en 2007. La volonté et la nécessité d'avoir un candidat de l'union par circonscription, vont bien sûr en ce sens", a expliqué Didier Robert lors du "demi-mot" qui lui restait.