René-Paul Victoria connaît le fond et la forme du dossier de l'Arast. Comme un grand nombre d'élus de Droite et de Gauche, il connaît également les vraies raisons qui ont conduit au gâchis de l'Arast. "Cette affaire perdure depuis plus de deux ans déjà, je ne crois qu'il faut ajouter à la polémique. Aujourd'hui, je ne crois que l'essentiel est de chercher qui sont les responsables de ce drame social".
René-Paul Victoria qui a perdu la mairie parce qu'une partie de la structure a bénéficié à son adversaire lors des Municipales de Saint-Denis, prend de la hauteur. "Il est nécessaire de prendre de la distance pour ne pas que La Réunion aborde cette nouvelle année, avec cette épine dans la pied. Nous devons proposer des solutions à toutes ces personnes toujours dans la détresse et le désarroi".
"La meilleure issue est bien sûr : régler le problème dans sa globalité. Dans le respect et la dignité de chacun. Nous devons revenir à nos fondamentaux : rajouter des valeurs humaines. La classe politique dans son ensemble, a manqué de tact et de discernement. Cette classe politique a trop souvent oublié que le dossier de l'Arast, c'était d'abord des mères et des pères de famille licenciés, sans revenus".
"C'était des personnes âgées livrées à elles-mêmes. C'était des enfants inquiets pour leurs parents, et des parents inquiets pour l'éducation de leurs enfants. C'est d'abord cela le dossier de l'Arast. Nous l'avons trop souvent oublié. Alors qu'importe qui est responsable aujourd'hui, mettons plus d'humanité dans ce dossier".
René-Paul Victoria qui a perdu la mairie parce qu'une partie de la structure a bénéficié à son adversaire lors des Municipales de Saint-Denis, prend de la hauteur. "Il est nécessaire de prendre de la distance pour ne pas que La Réunion aborde cette nouvelle année, avec cette épine dans la pied. Nous devons proposer des solutions à toutes ces personnes toujours dans la détresse et le désarroi".
"La meilleure issue est bien sûr : régler le problème dans sa globalité. Dans le respect et la dignité de chacun. Nous devons revenir à nos fondamentaux : rajouter des valeurs humaines. La classe politique dans son ensemble, a manqué de tact et de discernement. Cette classe politique a trop souvent oublié que le dossier de l'Arast, c'était d'abord des mères et des pères de famille licenciés, sans revenus".
"C'était des personnes âgées livrées à elles-mêmes. C'était des enfants inquiets pour leurs parents, et des parents inquiets pour l'éducation de leurs enfants. C'est d'abord cela le dossier de l'Arast. Nous l'avons trop souvent oublié. Alors qu'importe qui est responsable aujourd'hui, mettons plus d'humanité dans ce dossier".