Le Sidélec Réunion a surtout insisté sur le projet de Mafate, qui nécessitera l’intervention du CAS FACE à hauteur de 14 millions d’euros. Le CAS FACE interviendra à hauteur de 80% des coûts de la réhabilitation du réseau électrique de Mafate uniquement en panneaux photovoltaïques, les 20% restant seront pris en charge par les partenaires économiques, en particulier les communes.
316 habitations vont bénéficier du renouvellement du parc photovoltaïque, qui passe du d’une gestion privée à une gestion publique. Comme pour le réseau électrique des Bas, le réseau électrique de Mafate sera concédé à EDF.
Avec ces nouvelles installations qui prendront entre 4 et 5 ans à être mis en place, les foyers du cœur habité de Mafate auront deux fois plus de puissance, soit 750 kilowatts crête, pour un coût cinq fois moins cher. "Un réajustement de la fourniture qui a pour but de répondre à la demande » précise Daniel Alamélou, car à ce jour les Mafatais sont dans une grande précarité énergétique, et non reliés au réseau électrique des Bas, de par sa situation d’enclavement.
Le président du Sidélec ajoute que l’objectif est aussi de « tendre vers le 0 carburant fossile ». En ce qui concerne l’acheminement des déchets des anciens panneaux photovoltaïques installés il y a 15 ans et qui deviennent obsolètes, deux possibilités s’offre à l’habitant. « Soit il rend le générateur qui sera ramener dans les Bas par le solariste, soit il décide d’acquérir le générateur, dans ce cas il y aura un transfert de propriété du solariste à l’habitant, qui va devoir assurer la maintenance et le démantèlement » indique Philippe Beutin, directeur de l’Ademe.
Ce sont pas moins de 6 000 panneaux en fin de vie qui vont devoir être acheminés vers les Bas, si tous les Mafatais décident de basculer sur les nouveaux panneaux photovoltaïques.
316 habitations vont bénéficier du renouvellement du parc photovoltaïque, qui passe du d’une gestion privée à une gestion publique. Comme pour le réseau électrique des Bas, le réseau électrique de Mafate sera concédé à EDF.
Avec ces nouvelles installations qui prendront entre 4 et 5 ans à être mis en place, les foyers du cœur habité de Mafate auront deux fois plus de puissance, soit 750 kilowatts crête, pour un coût cinq fois moins cher. "Un réajustement de la fourniture qui a pour but de répondre à la demande » précise Daniel Alamélou, car à ce jour les Mafatais sont dans une grande précarité énergétique, et non reliés au réseau électrique des Bas, de par sa situation d’enclavement.
Le président du Sidélec ajoute que l’objectif est aussi de « tendre vers le 0 carburant fossile ». En ce qui concerne l’acheminement des déchets des anciens panneaux photovoltaïques installés il y a 15 ans et qui deviennent obsolètes, deux possibilités s’offre à l’habitant. « Soit il rend le générateur qui sera ramener dans les Bas par le solariste, soit il décide d’acquérir le générateur, dans ce cas il y aura un transfert de propriété du solariste à l’habitant, qui va devoir assurer la maintenance et le démantèlement » indique Philippe Beutin, directeur de l’Ademe.
Ce sont pas moins de 6 000 panneaux en fin de vie qui vont devoir être acheminés vers les Bas, si tous les Mafatais décident de basculer sur les nouveaux panneaux photovoltaïques.