Tout converge vers l'avénement de Pierre Vergès à la fonction de secrétaire général du PCR. Ce sera au mois de mars 2013 lors du congrès du PCR. D'une part, le conseiller général du Port n'a presque plus de concurrent. Le seul en lice, Claude Hoarau est dans une situation délicate sur sa commune de Saint-Louis. Hier soir, des élus de sa majorité ont boycotté le conseil municipal. Les exigences financières posées par la Chambre régionale des comptes et la préfecture, occupent pleinement l'édile saint-louisien. Le communiste ne peut être assidu au Conseil de reconstruction.
Un conseil de reconstruction dont les trois "symboles" : Julie Pontalba, Faïza Ibrahim et Yvan Dejean ont déjà choisi leur camp. Pierre Vergès a presque tout le PCR derrière lui. C'est avec sérénité qu'il entre peu à peu dans la peau du personnage. Le vice-président du Conseil général "prend de la distance avec son environnement". il "s'élève" pour parvenir à une meilleure vision politique globale. La stature est essentielle quand on aspire à succéder à un homme politique de la dimension d'Elie Hoarau. Pierre Vergès y travaille. Ainsi sur son blog, ses écrits sont mieux amenés. Souvent "mouchetés". Voire consensuels.
Pierre Vergès a raison. C'est la bonne attitude pour le futur secrétaire général du PCR. Il doit pleinement et totalement entrer dans son prochain rôle, car à l'issue du congrès, sa mission qu'il va accepter, ce sera de conduire le PCR à la bataille des Municipales et des Européennes en 2014, puis à celle des Cantonales et Régionales de 2015. Il sera très attendu par ceux qui le regardent toujours comme le fils de son père. Ce ne sera pas facile de se faire un prénom alors que tout le monde continuera à le comparer à Paul Vergès. Ainsi, il ne lui sera fait aucun cadeau. Le moindre anicroche ou incident sera médiatisé, développe et amplifié.
Pierre Vergès le sait déjà. Mais ce n'est pas ce qui l'embête. Son seul tracas, ce serait de ne pas avoir tout le PCR derrière lui, et ce pour l'aider à continuer à construire et à reconstruire le PCR...
Un conseil de reconstruction dont les trois "symboles" : Julie Pontalba, Faïza Ibrahim et Yvan Dejean ont déjà choisi leur camp. Pierre Vergès a presque tout le PCR derrière lui. C'est avec sérénité qu'il entre peu à peu dans la peau du personnage. Le vice-président du Conseil général "prend de la distance avec son environnement". il "s'élève" pour parvenir à une meilleure vision politique globale. La stature est essentielle quand on aspire à succéder à un homme politique de la dimension d'Elie Hoarau. Pierre Vergès y travaille. Ainsi sur son blog, ses écrits sont mieux amenés. Souvent "mouchetés". Voire consensuels.
Pierre Vergès a raison. C'est la bonne attitude pour le futur secrétaire général du PCR. Il doit pleinement et totalement entrer dans son prochain rôle, car à l'issue du congrès, sa mission qu'il va accepter, ce sera de conduire le PCR à la bataille des Municipales et des Européennes en 2014, puis à celle des Cantonales et Régionales de 2015. Il sera très attendu par ceux qui le regardent toujours comme le fils de son père. Ce ne sera pas facile de se faire un prénom alors que tout le monde continuera à le comparer à Paul Vergès. Ainsi, il ne lui sera fait aucun cadeau. Le moindre anicroche ou incident sera médiatisé, développe et amplifié.
Pierre Vergès le sait déjà. Mais ce n'est pas ce qui l'embête. Son seul tracas, ce serait de ne pas avoir tout le PCR derrière lui, et ce pour l'aider à continuer à construire et à reconstruire le PCR...
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