
Philippe Naillet conduit sa vie comme un transport en commun (de la Sodiparc dont il est le responsable). Avec humilité. Sérénité. Discipline. Et rigueur. Pour ce faire, Il a le code de la route. Le code civil (de la famille). Le code social (l'humain). Et, le code politique (le plus complexe… après celui du mariage). Le conseiller municipal des Camélias, Vauban, La Providence, "15.000 administrés, c'est pas rien", a choisi de s'imposer un code de bonne conduite. "Je ne veux plus à avoir à m'arracher les cheveux".
"Entre ma vie de famille, mes responsabilités professionnelles et mes mandats politiques, il y a des exigences auxquelles je ne peux me soustraire. Se mettre au service de la population, au sein d'une équipe, implique un comportement exemplaire. D'une part, dans le respect de nos engagements, et d'autre part, dans l'idée que je me fais de mes diverses missions et de la politique. Même s'il y a la nécessité de hiérarchiser les priorités, nous devons toutes les assumer dans la réciprocité et la limite des règles et de mes principes. Et toujours avec conviction".
Philippe Naillet maintient le cap. Comme tous les conseillers municipaux de la majorité de Gilbert Annette, il est depuis un moment déjà, dans les Municipales 2014. "Nous avons une équipe solidaire. Chaque élu, chaque administratif, connaît ses tâches et son objectif. Nous poursuivons sur la feuille de route fixée dès la campagne et notre élection de 2008. Chaque samedi matin, dans chaque quartier, nous recevons la population. Ce lien n'a jamais été rompu. C'est ce qui nous permet aussi de répondre, quand nous le pouvons, à certaines doléances".
Le respect de la parole donnée. Une valeur chevillée au corps, au cœur et à l'esprit. "Nous avons tenu sur la plupart de nos projets : le cœur familial, le centre aquatique, la cité des Arts, le Projet éducatif global, le Plan anglais… En matière d'emploi, nous faisons mieux que l'ancienne majorité. Nous sommes à vingt chantiers d'insertion par an au lieu d'un seul à Victoria. Sur les contrats d'avenir, la municipalité mobilise 2 millions d'euros pour 300 emplois…"
Philippe Naillet défend le bilan de Gilbert Annette qui est aussi le sien. Le militant socialiste prend aussi le temps d'expliquer les aspects positifs de la présidence Hollande et du gouvernement Ayrault. "Tout ne peut se faire en un an".
"Entre ma vie de famille, mes responsabilités professionnelles et mes mandats politiques, il y a des exigences auxquelles je ne peux me soustraire. Se mettre au service de la population, au sein d'une équipe, implique un comportement exemplaire. D'une part, dans le respect de nos engagements, et d'autre part, dans l'idée que je me fais de mes diverses missions et de la politique. Même s'il y a la nécessité de hiérarchiser les priorités, nous devons toutes les assumer dans la réciprocité et la limite des règles et de mes principes. Et toujours avec conviction".
Philippe Naillet maintient le cap. Comme tous les conseillers municipaux de la majorité de Gilbert Annette, il est depuis un moment déjà, dans les Municipales 2014. "Nous avons une équipe solidaire. Chaque élu, chaque administratif, connaît ses tâches et son objectif. Nous poursuivons sur la feuille de route fixée dès la campagne et notre élection de 2008. Chaque samedi matin, dans chaque quartier, nous recevons la population. Ce lien n'a jamais été rompu. C'est ce qui nous permet aussi de répondre, quand nous le pouvons, à certaines doléances".
Le respect de la parole donnée. Une valeur chevillée au corps, au cœur et à l'esprit. "Nous avons tenu sur la plupart de nos projets : le cœur familial, le centre aquatique, la cité des Arts, le Projet éducatif global, le Plan anglais… En matière d'emploi, nous faisons mieux que l'ancienne majorité. Nous sommes à vingt chantiers d'insertion par an au lieu d'un seul à Victoria. Sur les contrats d'avenir, la municipalité mobilise 2 millions d'euros pour 300 emplois…"
Philippe Naillet défend le bilan de Gilbert Annette qui est aussi le sien. Le militant socialiste prend aussi le temps d'expliquer les aspects positifs de la présidence Hollande et du gouvernement Ayrault. "Tout ne peut se faire en un an".