
"Sénatoriales : un courrier de lecteurs du Quotidien met en cause l'âge de Paul Vergès". (http://www.inforeunion.net/Senatoriales-un-courrier-de-lecteurs-du-Quotidien-met-en-cause-l-age-de-Paul-Verges_a1031.html?com#comments )
"Partir à temps c’est pérenniser l’action politique, s’accrocher à jamais c’est partir avec tout, c’est mourir et faire mourir !
Oui il faut savoir partir pour pouvoir diriger…
Partir la tête haute, après avoir montré la direction, après avoir inculqué les valeurs humaines et sociétales, après avoir fait le choix de « l’immortalité » au travers de nos enfants.
Partir est un luxe qui est réservé qu’aux grands…
Force est de constater que nos hommes politiques d’aujourd’hui, sont pour la plupart dans l’incapacité de partir ; alors pourquoi ?
Pour répondre à cette question il faut bien évidement appréhendé la situation en toute globalité…
Est-ce un problème de surestime de soi, d’intérêt personnel, de vide ou de trop plein, ou tout simplement ont-ils perdu leur liberté ? … les questions sont nombreuses.
Quoi qu’il en soit il ne faut pas se tromper. S’ils sont encore et toujours présents, au détriment de l’intérêt général, il faut le reconnaître, c’est le résultat de leur stratégie, facilité par nos attitudes abjectes : «Systémiser la démocratie et faire le vide autour de soi » ; et maîtriser l’environnement…
Ces attitudes grotesques (que nous avons d’une manière ou d’une autre cautionné, ou que nous allons cautionner lors des sénatoriales…) ont fragilisées pour longtemps notre système sociétal.
Le bilan est dramatique !
La politique est devenue aux yeux de nos propres enfants « le lieu de la débauche », c’est un échec collectif indiscutable…
« Beurk » nous disent nos enfants lorsqu’on évoque avec eux le sujet de la politique !
« Pas pour moi, je veux vivre proprement, je ne veux pas finir en tôle !», c’est dramatique…
Personne
Le regard de nos jeunes sur la classe politique est des plus négatifs ! « Regarde nous disent-ils… » ; difficile sujet de discussion…
Ces jeunes sont tout simplement les futurs responsables de demain…
Qu’avons-nous fait là ? Au nom de quoi avons-nous laissé faire, ou allons-nous encore laisser faire ?
L’auteur du courrier écrit «[Même s'il est vrai qu'aujourd'hui que Paul Vergès n'a plus la même fougue, la même vigueur et la même constance, le choix de son retrait de la vie politique n'appartient qu'au président de l'Alliance.»
Fort de ces certitudes, persister encore et encore serait une faute politique… Réagissons que diable !!!
L’auteur écrit encore que le choix reviendrait « … en second lieu aux militants du PCR lors d'élections internes. Et peut-être aux grands électeurs qui auront aussi leur mot à dire, lors des prochaines Sénatoriales.»
Mais où sont-ils ces militants du PCR ? Sur la liste ? Pourquoi ont-ils cédé leur place ? Vont-ils accepter ces arrangements sur leur dos et voir ainsi disparaître avec «le vieux» tout le PCR puisque «le vieux» a décidé de céder sa place au sénat à un «étranger»… ?
Il vous revient à vous grands électeurs de sauver ce qui peut encore l’être, moi je suis personne, vous qui avez le pouvoir réagissez pour ne laissez pas mourir toute une société pour la gloire d’un seul homme !!!"
"Partir à temps c’est pérenniser l’action politique, s’accrocher à jamais c’est partir avec tout, c’est mourir et faire mourir !
Oui il faut savoir partir pour pouvoir diriger…
Partir la tête haute, après avoir montré la direction, après avoir inculqué les valeurs humaines et sociétales, après avoir fait le choix de « l’immortalité » au travers de nos enfants.
Partir est un luxe qui est réservé qu’aux grands…
Force est de constater que nos hommes politiques d’aujourd’hui, sont pour la plupart dans l’incapacité de partir ; alors pourquoi ?
Pour répondre à cette question il faut bien évidement appréhendé la situation en toute globalité…
Est-ce un problème de surestime de soi, d’intérêt personnel, de vide ou de trop plein, ou tout simplement ont-ils perdu leur liberté ? … les questions sont nombreuses.
Quoi qu’il en soit il ne faut pas se tromper. S’ils sont encore et toujours présents, au détriment de l’intérêt général, il faut le reconnaître, c’est le résultat de leur stratégie, facilité par nos attitudes abjectes : «Systémiser la démocratie et faire le vide autour de soi » ; et maîtriser l’environnement…
Ces attitudes grotesques (que nous avons d’une manière ou d’une autre cautionné, ou que nous allons cautionner lors des sénatoriales…) ont fragilisées pour longtemps notre système sociétal.
Le bilan est dramatique !
La politique est devenue aux yeux de nos propres enfants « le lieu de la débauche », c’est un échec collectif indiscutable…
« Beurk » nous disent nos enfants lorsqu’on évoque avec eux le sujet de la politique !
« Pas pour moi, je veux vivre proprement, je ne veux pas finir en tôle !», c’est dramatique…
Personne
Le regard de nos jeunes sur la classe politique est des plus négatifs ! « Regarde nous disent-ils… » ; difficile sujet de discussion…
Ces jeunes sont tout simplement les futurs responsables de demain…
Qu’avons-nous fait là ? Au nom de quoi avons-nous laissé faire, ou allons-nous encore laisser faire ?
L’auteur du courrier écrit «[Même s'il est vrai qu'aujourd'hui que Paul Vergès n'a plus la même fougue, la même vigueur et la même constance, le choix de son retrait de la vie politique n'appartient qu'au président de l'Alliance.»
Fort de ces certitudes, persister encore et encore serait une faute politique… Réagissons que diable !!!
L’auteur écrit encore que le choix reviendrait « … en second lieu aux militants du PCR lors d'élections internes. Et peut-être aux grands électeurs qui auront aussi leur mot à dire, lors des prochaines Sénatoriales.»
Mais où sont-ils ces militants du PCR ? Sur la liste ? Pourquoi ont-ils cédé leur place ? Vont-ils accepter ces arrangements sur leur dos et voir ainsi disparaître avec «le vieux» tout le PCR puisque «le vieux» a décidé de céder sa place au sénat à un «étranger»… ?
Il vous revient à vous grands électeurs de sauver ce qui peut encore l’être, moi je suis personne, vous qui avez le pouvoir réagissez pour ne laissez pas mourir toute une société pour la gloire d’un seul homme !!!"