
"Le but est, bien évidemment, d’éviter que dans une collectivité communale départementale ou régionale, on assiste à une captation du pouvoir par quelques personnes.
L’exemple le plus criant est, sans conteste, celui de La Réunion.
Premièrement, dans les mairies, presque tous les élus bénéficient de sur rémunérations, du fait de leur appartenance à la fonction publique, sinon, dans des professions bénéficiant d’un index de correction du salaire.
Deuxièmement, tous ces élus ou presque siègent au Conseil régional ou au Conseil général, dans des structures intercommunales et ils aspirent à être, en plus, parlementaires.
Tout cela empêche l’émergence de nouveaux cadres politiques. La place accordée aux jeunes est restreinte. En outre, cela ne facilite pas la parité femme / homme.
Par l’adoption du projet de loi du gouvernement, la parité femme/homme, l’émergence de nouveaux cadres et l’apparition d’une nouvelle génération seront possibles.
Cette loi s’appliquera à tous. Et cela va obligatoirement concerner de très nombreux candidats. Dix maires sont candidats à l’élection législative : Saint-Benoît, Salazie, Saint-André, Sainte-Suzanne, Sainte-Marie, Saint-Paul, Saint-Leu, Le Port, Saint-Louis, Saint-Joseph, et Le Tampon. A Saint-Denis, ce sont les deux adjointes au maire.
A Sainte-Suzanne, lors de l’élection municipale partielle, nous l’avons dit et répété : nous destinons à Maurice Gironcel, le mandat de député, et c’est la population qui aura à juger du mandat qu’il aura à conserver : celui de maire ou celui de député.
Jean-Yves Langenier, maire du Port et candidat dans la deuxième circonscription a posé le même problème : s’il est élu, il posera le problème devant le conseil municipal et les membres de la section portoise du PCR et suivra la décision qui sera prise".
L’exemple le plus criant est, sans conteste, celui de La Réunion.
Premièrement, dans les mairies, presque tous les élus bénéficient de sur rémunérations, du fait de leur appartenance à la fonction publique, sinon, dans des professions bénéficiant d’un index de correction du salaire.
Deuxièmement, tous ces élus ou presque siègent au Conseil régional ou au Conseil général, dans des structures intercommunales et ils aspirent à être, en plus, parlementaires.
Tout cela empêche l’émergence de nouveaux cadres politiques. La place accordée aux jeunes est restreinte. En outre, cela ne facilite pas la parité femme / homme.
Par l’adoption du projet de loi du gouvernement, la parité femme/homme, l’émergence de nouveaux cadres et l’apparition d’une nouvelle génération seront possibles.
Cette loi s’appliquera à tous. Et cela va obligatoirement concerner de très nombreux candidats. Dix maires sont candidats à l’élection législative : Saint-Benoît, Salazie, Saint-André, Sainte-Suzanne, Sainte-Marie, Saint-Paul, Saint-Leu, Le Port, Saint-Louis, Saint-Joseph, et Le Tampon. A Saint-Denis, ce sont les deux adjointes au maire.
A Sainte-Suzanne, lors de l’élection municipale partielle, nous l’avons dit et répété : nous destinons à Maurice Gironcel, le mandat de député, et c’est la population qui aura à juger du mandat qu’il aura à conserver : celui de maire ou celui de député.
Jean-Yves Langenier, maire du Port et candidat dans la deuxième circonscription a posé le même problème : s’il est élu, il posera le problème devant le conseil municipal et les membres de la section portoise du PCR et suivra la décision qui sera prise".