Les parents d'élèves de l'école primaire de Deux-Rives à Sainte-Suzanne, "veulent que le Rectorat revoit sa copie" Ils demandent la réouverture de la classe maternelle, petite section, de Victor Hugo. "C'est incompréhensible !". Florent Hurhungee, du comité des parents d'élèves, ne comprend pas la méthode surtout.
"L'année dernière, nous avons à plusieurs reprises les pouvoirs public sur la situation de notre école. Nous avons rencontré le Rectorat. Lors de la visite de la ministre de l'Outre-mer, Marie-Luce Penchard à La Réunion, nous avons obtenu une audience avec l'un de ses collaborateurs. A chaque fois, nous avons eu droit à un discours rassurant".
"On nous a même expliqué que si les chiffres le nécessitent, il peut y avoir une ouverture de classe chez nous. Avec la construction de nouveaux logements, le développement économique, l'évolution démographique de Deux-Rives, nous sommes au-dessus de la moyenne de 26 élèves par classe. Avec la fermeture de cette petite section de maternelle, certaines classes passent à 29 élèves".
Florent Hurhungee déplore l'attitude méprisant de certains interlocuteurs. "Comme le Rectorat ne sait plus quoi répondre ou comment justifier sa décision, le représentant de l'Education nationale pratique la politique du pire, c'est souvent pourquoi, vous plaignez-vous, il y a des écoles où il n'y a pas de directeur ou de professeur".
C'est vrai, Florent Hurhungee a raison. Le Rectorat est hors-sujet.
"L'année dernière, nous avons à plusieurs reprises les pouvoirs public sur la situation de notre école. Nous avons rencontré le Rectorat. Lors de la visite de la ministre de l'Outre-mer, Marie-Luce Penchard à La Réunion, nous avons obtenu une audience avec l'un de ses collaborateurs. A chaque fois, nous avons eu droit à un discours rassurant".
"On nous a même expliqué que si les chiffres le nécessitent, il peut y avoir une ouverture de classe chez nous. Avec la construction de nouveaux logements, le développement économique, l'évolution démographique de Deux-Rives, nous sommes au-dessus de la moyenne de 26 élèves par classe. Avec la fermeture de cette petite section de maternelle, certaines classes passent à 29 élèves".
Florent Hurhungee déplore l'attitude méprisant de certains interlocuteurs. "Comme le Rectorat ne sait plus quoi répondre ou comment justifier sa décision, le représentant de l'Education nationale pratique la politique du pire, c'est souvent pourquoi, vous plaignez-vous, il y a des écoles où il n'y a pas de directeur ou de professeur".
C'est vrai, Florent Hurhungee a raison. Le Rectorat est hors-sujet.
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