La compétence relative à la planification des déchets a en effet été transférée à La Région par la loi NOTRe du 7 août 2015. Cette loi prévoit également que les plans départementaux dont les procédures d’élaboration et de révisions ont été engagées avant la publication de la loi sont soumis à enquête publique, puis approuvés par délibération du Conseil régional, avant le 1er juillet 2016, sur proposition de la collectivité territoriale précédemment compétente. C’est le cas du projet de Plan Départemental de Prévention et de Gestion des Déchets Non Dangereux qui a été initié en février 2013 puis arrêté le 29 octobre 2014 par le Conseil départemental en retenant le scénario multi filières.
Ce plan respecte ainsi la hiérarchisation du mode de gestion des déchets comprenant par ordre de priorité : la prévention, la préparation en vue du réemploi, le recyclage, la valorisation et enfin l’élimination, qui ne doit être qu’une ultime mesure et être soucieuse de la notion du moindre impact environnemental et de valorisation énergétique, selon des procédés innovants fortement soutenus par Didier ROBERT, Président du Conseil régional.
Le Président du Conseil régional, tient à réaffirmer son opposition ferme aux unités d’incinération, qui sont, faut-il le rappeler, en totale contradiction avec la loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte. La Région Réunion renouvelle aussi son profond engagement en faveur de la préservation de la biodiversité et du développement durable.
Il est important de rappeler également que notre île se trouve dans une situation critique en matière de traitement des déchets non dangereux, avec notamment la saturation des deux sites actuels d’enfouissement. Nous avons aujourd’hui la responsabilité de valider des solutions en cohérence avec notre environnement naturel et à l’intérêt des réunionnais, sous peine d’assister à un désastre écologique et économique.
Ainsi, le premier objectif que se fixe la collectivité pour La Réunion est l’optimisation de la valorisation des déchets afin de réduire la part des déchets ultimes de 30 % à 12 % à l’horizon 2020. C’est en ce sens que La Région souhaite encourager les dispositifs s’intégrant aux principes de l’économie circulaire.
Concernant les déchets ultimes, il convient d’explorer l’ensemble des modes alternatifs de traitement autorisés par la loi de 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte. Ainsi, les pouvoirs publics devront œuvrer de concert pour que le mode choisi consiste bien à la préparation et à la valorisation des déchets, qui n’ont pu être ni recyclés ni valorisés, comme source d’énergie renouvelable, selon des procédés innovants et respectueux des Hommes et de la nature.
Ce plan respecte ainsi la hiérarchisation du mode de gestion des déchets comprenant par ordre de priorité : la prévention, la préparation en vue du réemploi, le recyclage, la valorisation et enfin l’élimination, qui ne doit être qu’une ultime mesure et être soucieuse de la notion du moindre impact environnemental et de valorisation énergétique, selon des procédés innovants fortement soutenus par Didier ROBERT, Président du Conseil régional.
Le Président du Conseil régional, tient à réaffirmer son opposition ferme aux unités d’incinération, qui sont, faut-il le rappeler, en totale contradiction avec la loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte. La Région Réunion renouvelle aussi son profond engagement en faveur de la préservation de la biodiversité et du développement durable.
Il est important de rappeler également que notre île se trouve dans une situation critique en matière de traitement des déchets non dangereux, avec notamment la saturation des deux sites actuels d’enfouissement. Nous avons aujourd’hui la responsabilité de valider des solutions en cohérence avec notre environnement naturel et à l’intérêt des réunionnais, sous peine d’assister à un désastre écologique et économique.
Ainsi, le premier objectif que se fixe la collectivité pour La Réunion est l’optimisation de la valorisation des déchets afin de réduire la part des déchets ultimes de 30 % à 12 % à l’horizon 2020. C’est en ce sens que La Région souhaite encourager les dispositifs s’intégrant aux principes de l’économie circulaire.
Concernant les déchets ultimes, il convient d’explorer l’ensemble des modes alternatifs de traitement autorisés par la loi de 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte. Ainsi, les pouvoirs publics devront œuvrer de concert pour que le mode choisi consiste bien à la préparation et à la valorisation des déchets, qui n’ont pu être ni recyclés ni valorisés, comme source d’énergie renouvelable, selon des procédés innovants et respectueux des Hommes et de la nature.