Toute stratégie implique des concessions. Celle de Maurice Gironcel qui veut retrouver son mandat de maire, n'est pas simple. Yolande Pausé à la prochaine présidence de la Cinor, et Daniel Alamélou, conseiller général et à la Sidélec. Et si l'actuel premier adjoint veut être maire en 2014, il a la possibilité de laisser son poste de conseiller général à sa suppléante, Nadine Damour…
Encore une stratégie. Une de plus. Et pas une seule fois depuis de la défaite de l'Alliance/PCR aux Régionales 2010, les communistes n'ont tenté une remise en cause de leur parti. Aucune reconquête de la base et des militants n'a été mise en place, même après les scores modestes à la Possession et au Port des Cantonales de 2011. Aucune volonté de reconstruire le parti autour des classes "laborieuses", n'est apparue aux lendemains de la gifle des Sénatoriales 2011.
Le PCR maintient ce qui est devenu son crédo : tout pour Paul Vergès et deux ou trois caciques du parti. Tout se définit et se décide autour du projet voulu par Paul Vergès d'abord pour les Régionales 2010, puis les Cantonales et les Sénatoriales 2011. Aujourd'hui, il s'agit de porter le projet de La Réunion pour les Présidentielles, voulu par Paul Vergès. Seulement, le "baobab" ne cache plus la forêt.
Le PCR est devenu un parti de communication tous azimuts et de quelques intellectuels qui inonde la presse de courriers de lecteurs, de motions et de communiqués en tous genres. Et, il faudra plus que le talent des Jeunes communistes comme Geoffroy Géraud-Legros ou d'un bon "soldat" comme Gilles Leperlier (AJFER) pour donner l'impression aux communistes en particulier, et aux électeurs réunionnais en général, que le PCR est toujours un grand parti politique.
Les Municipales partielles, en ce sens, seront un test grandeur nature. Aussi, il y en aura des communistes à Sainte-Suzanne en février 2012. Combien, il y en restera-t-il au soir du second tour...
Encore une stratégie. Une de plus. Et pas une seule fois depuis de la défaite de l'Alliance/PCR aux Régionales 2010, les communistes n'ont tenté une remise en cause de leur parti. Aucune reconquête de la base et des militants n'a été mise en place, même après les scores modestes à la Possession et au Port des Cantonales de 2011. Aucune volonté de reconstruire le parti autour des classes "laborieuses", n'est apparue aux lendemains de la gifle des Sénatoriales 2011.
Le PCR maintient ce qui est devenu son crédo : tout pour Paul Vergès et deux ou trois caciques du parti. Tout se définit et se décide autour du projet voulu par Paul Vergès d'abord pour les Régionales 2010, puis les Cantonales et les Sénatoriales 2011. Aujourd'hui, il s'agit de porter le projet de La Réunion pour les Présidentielles, voulu par Paul Vergès. Seulement, le "baobab" ne cache plus la forêt.
Le PCR est devenu un parti de communication tous azimuts et de quelques intellectuels qui inonde la presse de courriers de lecteurs, de motions et de communiqués en tous genres. Et, il faudra plus que le talent des Jeunes communistes comme Geoffroy Géraud-Legros ou d'un bon "soldat" comme Gilles Leperlier (AJFER) pour donner l'impression aux communistes en particulier, et aux électeurs réunionnais en général, que le PCR est toujours un grand parti politique.
Les Municipales partielles, en ce sens, seront un test grandeur nature. Aussi, il y en aura des communistes à Sainte-Suzanne en février 2012. Combien, il y en restera-t-il au soir du second tour...
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