Le secrétariat des Nations Unies (en Afrique du Sud) et les pays de la Commission de l'océan, Indien (Madagascar, Comores, Seychelles, Maurice, Rodrigues et La Réunion, ont échangé, débattu, comparé et proposé des pistes de travail, pour parvenir à des solutions efficaces dans la réduction des violences intra-familiales.
Nassimah Dindar veut engager un peu plus le Conseil général dans cette guerre contre les souffrances qui amènent des souffrances toujours plus grandes. "L'axe qui a été voulu et porté par la Commission de l'océan Indien, sur l'égalité Genre, passe par les violences faites aux femmes. C'est un axe prioritaire avec des plateformes nationales et régionales. Aujourd'hui, il faut un vrai travail de partenariat avec des échanges d'expériences".
"Modestement, nous pouvons dire qu'à La Réunion, Conseil général et Etat, nous avons mis en place des outils qui donnent des résultats, mais qui restent largement insuffisants. Dans l'immédiateté, ce n'est qu'un pansement sur une jambe de bois. Il est vrai que nous ne traitons pas le problème de fond".
"Le problème de fond est lié à l'image, à l'estime de soi qu'une femme ou qu'un homme peut avoir d'elle-même ou de lui-même. Il y a aussi le rôle de l'éducation, au rôle sexué que l'on donne aux uns et autres, à la violence dans la société, violence que l'on traine et que l'on rapporte dans le cercle familial".
"Cette violence est vécue et subie par la famille, plus tard, les enfants, une fois adultes, reproduiront ces schémas violents au sein de leur ménage. C'est pour toutes ces raisons que le Conseil général a voulu un plan de cohésion familiale. Il faut une réponse globale à ce phénomène de société. Parler contre les violences, c'est parler espérance, c'est parler d'amour, c'est parler partage…"
"Il n'y a pas d'amour qu'on construit, s'il n'y pas d'accord entre homme et femme…"
Sur la deuxième partie de la vidéo, Nassimah Dindar évoque la possibilité d'augmenter le nombre de volontaires du progrès pour mieux travailler dans les îles de la zones océan Indien
Nassimah Dindar veut engager un peu plus le Conseil général dans cette guerre contre les souffrances qui amènent des souffrances toujours plus grandes. "L'axe qui a été voulu et porté par la Commission de l'océan Indien, sur l'égalité Genre, passe par les violences faites aux femmes. C'est un axe prioritaire avec des plateformes nationales et régionales. Aujourd'hui, il faut un vrai travail de partenariat avec des échanges d'expériences".
"Modestement, nous pouvons dire qu'à La Réunion, Conseil général et Etat, nous avons mis en place des outils qui donnent des résultats, mais qui restent largement insuffisants. Dans l'immédiateté, ce n'est qu'un pansement sur une jambe de bois. Il est vrai que nous ne traitons pas le problème de fond".
"Le problème de fond est lié à l'image, à l'estime de soi qu'une femme ou qu'un homme peut avoir d'elle-même ou de lui-même. Il y a aussi le rôle de l'éducation, au rôle sexué que l'on donne aux uns et autres, à la violence dans la société, violence que l'on traine et que l'on rapporte dans le cercle familial".
"Cette violence est vécue et subie par la famille, plus tard, les enfants, une fois adultes, reproduiront ces schémas violents au sein de leur ménage. C'est pour toutes ces raisons que le Conseil général a voulu un plan de cohésion familiale. Il faut une réponse globale à ce phénomène de société. Parler contre les violences, c'est parler espérance, c'est parler d'amour, c'est parler partage…"
"Il n'y a pas d'amour qu'on construit, s'il n'y pas d'accord entre homme et femme…"
Sur la deuxième partie de la vidéo, Nassimah Dindar évoque la possibilité d'augmenter le nombre de volontaires du progrès pour mieux travailler dans les îles de la zones océan Indien