
"Malgré ce nombre impressionnant de sans emplois à la Réunion, soit près de 40% de la population active, des entreprises ne trouveraient pas de la main d’œuvre nécessaire sur place, pour faire appel à des travailleurs non réunionnais. On peut se demander à quoi servent les filières de formation à la Réunion, et surtout se poser la question du rôle de l’Education nationale (française) à la Réunion".
"Un scandale récent a retenu l’attention de l’opinion publique, à propos de l’embauche de travailleurs étrangers sur la centrale thermique du Port. Une brèche dans laquelle se sont aussitôt emboîté les opportunistes de tout poil - syndicats, partis politiques traditionnels et leurs satellites. Uniquement pour faire du bruit et mobiliser l’espace médiatique".
"Mais il y a toujours eu l’embauche de non réunionnais, tant dans les entreprises privées ou publiques. Tandis que nos jeunes diplômés, sont condamnés à l’exil pour trouver un emploi, dans l’enseignement, rentrent à la Réunion tous les ans entre 700 à 800 enseignants, non réunionnais".
"Les entreprises privées font appel à main d’œuvre étrangère, qu’on se souvienne, toujours au Port, pour le pavage des rues de la villes, pourtant « communiste » des portugais travaillaient sur ce chantier, les soudures de cuves à l’usine du Gol ont été assuré par la même communauté de travailleurs étrangers".
"Dans l’espace restreint de la Réunion, l’invasion du marché du travail par des travailleurs étrangers cause d’important dégâts, et crée dans le même temps un ressentiment de réprobation générale, que n’ont pas manqué d’exploiter à des fins médiatiques et politiques, syndicats et partis politiques traditionnels, notamment le PCR et ses satellites".
"Les mêmes qui n’ont jamais remis en cause la politique de domination coloniale franco- européenne sur notre pays - la Réunion".
"D’ailleurs en tant qu’élus, après qu’ils aient dans le temps condamné la CEE pendant plus de 20 ans, comme députés ou sénateurs, ils participent aujourd’hui et depuis bien longtemps à l’assemblée nationale française mais aussi à l’assemblée européenne de Bruxelles à la co-élaboration de la politique menée à la Réunion – qu’ils accompagnent localement".
"Pour mémoire, en 1979, l’élection d’un premier député communiste réunionnais !… à l’Assemblée européenne, marque la fin, ou plutôt le renoncement de ce parti à la lutte contre le colonialisme. Aujourd’hui, ils amusent la galerie en feignant de dénoncer l’emploi de travailleurs européens, sur un chantier dans une région périphérique de l’Europe qu’ils ont favorisé depuis 1946".
"D’ailleurs lors des élections régionales de l’an dernier, ce même parti s’est permis d’afficher royalement son mépris de la jeunesse réunionnaise en coiffant sa liste de 5 non – réunionnais, donc de 5 étrangers !!!!".
"La population réunionnaise dans son ensemble paye les conséquences de cette politique menée dans le pays, Plus de 52% de la jeunesse sont condamnées au chômage ou à la déportation, baptisée « migration, mobilité » aujourd’hui – En important à la Réunion autant de populations étrangères, essentiellement venues de France, mais aussi d’autres pays européens ou d’anciennes colonies libérée du joug colonial ( sans doute la libre circulation des hommes et des marchandises)".
"Cette mobilité présentée comme la panacées pour résoudre le problème du chômage ne ferait-elle pas pas parti d’un vaste plan de politique criminelle pour changer le rapport démographique de la population à la Réunion, Nous assistons ainsi au remplacement de nos enfants sur les chantiers et services publics par les "nouveaux réunionnais".
Les résistants à cette politique de transfert, de troc de population, sont condamnés à l’oisiveté, à sombrer dans l’alcoolisme la drogue, et dans la petite délinquance de survie. Pour la « bonne société » et les gens biens, ces jeunes réunionnais seront des paresseux, des délinquants alcooliques droguées. Il est scandaleux, choquant de voir les responsables, coupables de cette politique de dénuement tirer sur leurs victimes. Politiques qu’aucun élus, droite ou gauche ne remettent en cause.
Pour palier au manque cruel d’emplois, et éviter une explosion sociale tant redoutée dans l’île - au lieu de mettre sur pieds une politique de développement durable, le gouvernement socialiste français, et ses relais paillassons, ont inventé en 1988 le RMI, l’obole pour les pauvres qui semble jusqu’à maintenant maintenir une relative paix sociale.
"Les décideurs de cette politique de misère, continuent de s’engraisser en s’auto-augmentant leurs indemnités avec les différents cumuls de mandat leur permettent de mener une vie de pacha et de mépris dans un océan de misère et de souffrance. Comme des chiffonniers, ils se déchirent pour se placer et leurs proches avec des salaires à faire rougir l’ensemble de la classe travailleuse qui n’arrive plus à joindre les deux bouts".
"Il y a bien deux monde qui vivent à la Réunion, les élus , leurs amis qu’ils place à la tête d’organisme public, tel le dernier scandale relaté dans la presse, à propos du salaire, 20 000€/mois exiger par un monsieur pour gérer les HLMR – pourris, ces cages à lapins construites pour certaines depuis 40 ans, pratiquement sans entretient, mais pas sans encaissement de loyer – pour loger les pauvres. Bien entendu on trouve rarement de « ces nouveaux réunionnais » dans ces logements,ou devant Pôle emploi".
"Les 75 000 bénéficiaires de prestations sociales, RMI – RSA, sont constamment soupçonnés d’être des voleurs, des paresseux qui refuseraient le travail en se complaisant de ces maigres allocations de survie. Il bruite actuellement que plus 40 000 dossiers demande RSA seraient bloqués, officiellement par manque de personnel vue l’affluence des demandes, en fait la CAF feraient la chasse aux supposés fraudeurs – un blocage pas sans conséquence dans les familles pauvres dans l’attente, une attente qui peut durer 3 mois et plus".
"En temps de crise, il n’y a pas de petites économies, les prestations sociales bloquées, placées dans les banques rapportent de l’argent aux profitèrs de la situation… Ils privent les allocataires de leurs droits, et dans le même temps leur reprochent de travailler au noir. Voudraient-ils que ces pères et mères de famille crèvent de faim avec leurs enfants ?"
"C’est peut-être le but recherché par le gouvernement français qui rogne les pensions des vieux travailleurs salariés, les prive de CMU, les contraint ainsi au recours aux Mutuelles privées au coût exorbitant de 75 à 100 € par mois par rapport à leurs maigres revenus. Revenus ne leur permettant même plus de se soigner dignement."
"Cette politique d’assistance massive à la Réunion frappe principalement la jeunesse réunionnaise, les travailleurs en général, qui ont recours aux colis alimentaires de survie… dans un département français depuis 65 ans".
"Pour le droit de vivre et de travailler au pays, priorité à l’embauche des enfants de la Réunion.. Cette revendication ne peut être revendication à caractère raciste, mais d’une logique humaine et réunionnaise. Dans le contexte local, le blocage de travailleurs étranger sur le marché du travail, déjà restreint est une nécessité vitale pour la classe ouvrière réunionnaise".
"Un scandale récent a retenu l’attention de l’opinion publique, à propos de l’embauche de travailleurs étrangers sur la centrale thermique du Port. Une brèche dans laquelle se sont aussitôt emboîté les opportunistes de tout poil - syndicats, partis politiques traditionnels et leurs satellites. Uniquement pour faire du bruit et mobiliser l’espace médiatique".
"Mais il y a toujours eu l’embauche de non réunionnais, tant dans les entreprises privées ou publiques. Tandis que nos jeunes diplômés, sont condamnés à l’exil pour trouver un emploi, dans l’enseignement, rentrent à la Réunion tous les ans entre 700 à 800 enseignants, non réunionnais".
"Les entreprises privées font appel à main d’œuvre étrangère, qu’on se souvienne, toujours au Port, pour le pavage des rues de la villes, pourtant « communiste » des portugais travaillaient sur ce chantier, les soudures de cuves à l’usine du Gol ont été assuré par la même communauté de travailleurs étrangers".
"Dans l’espace restreint de la Réunion, l’invasion du marché du travail par des travailleurs étrangers cause d’important dégâts, et crée dans le même temps un ressentiment de réprobation générale, que n’ont pas manqué d’exploiter à des fins médiatiques et politiques, syndicats et partis politiques traditionnels, notamment le PCR et ses satellites".
"Les mêmes qui n’ont jamais remis en cause la politique de domination coloniale franco- européenne sur notre pays - la Réunion".
"D’ailleurs en tant qu’élus, après qu’ils aient dans le temps condamné la CEE pendant plus de 20 ans, comme députés ou sénateurs, ils participent aujourd’hui et depuis bien longtemps à l’assemblée nationale française mais aussi à l’assemblée européenne de Bruxelles à la co-élaboration de la politique menée à la Réunion – qu’ils accompagnent localement".
"Pour mémoire, en 1979, l’élection d’un premier député communiste réunionnais !… à l’Assemblée européenne, marque la fin, ou plutôt le renoncement de ce parti à la lutte contre le colonialisme. Aujourd’hui, ils amusent la galerie en feignant de dénoncer l’emploi de travailleurs européens, sur un chantier dans une région périphérique de l’Europe qu’ils ont favorisé depuis 1946".
"D’ailleurs lors des élections régionales de l’an dernier, ce même parti s’est permis d’afficher royalement son mépris de la jeunesse réunionnaise en coiffant sa liste de 5 non – réunionnais, donc de 5 étrangers !!!!".
"La population réunionnaise dans son ensemble paye les conséquences de cette politique menée dans le pays, Plus de 52% de la jeunesse sont condamnées au chômage ou à la déportation, baptisée « migration, mobilité » aujourd’hui – En important à la Réunion autant de populations étrangères, essentiellement venues de France, mais aussi d’autres pays européens ou d’anciennes colonies libérée du joug colonial ( sans doute la libre circulation des hommes et des marchandises)".
"Cette mobilité présentée comme la panacées pour résoudre le problème du chômage ne ferait-elle pas pas parti d’un vaste plan de politique criminelle pour changer le rapport démographique de la population à la Réunion, Nous assistons ainsi au remplacement de nos enfants sur les chantiers et services publics par les "nouveaux réunionnais".
Les résistants à cette politique de transfert, de troc de population, sont condamnés à l’oisiveté, à sombrer dans l’alcoolisme la drogue, et dans la petite délinquance de survie. Pour la « bonne société » et les gens biens, ces jeunes réunionnais seront des paresseux, des délinquants alcooliques droguées. Il est scandaleux, choquant de voir les responsables, coupables de cette politique de dénuement tirer sur leurs victimes. Politiques qu’aucun élus, droite ou gauche ne remettent en cause.
Pour palier au manque cruel d’emplois, et éviter une explosion sociale tant redoutée dans l’île - au lieu de mettre sur pieds une politique de développement durable, le gouvernement socialiste français, et ses relais paillassons, ont inventé en 1988 le RMI, l’obole pour les pauvres qui semble jusqu’à maintenant maintenir une relative paix sociale.
"Les décideurs de cette politique de misère, continuent de s’engraisser en s’auto-augmentant leurs indemnités avec les différents cumuls de mandat leur permettent de mener une vie de pacha et de mépris dans un océan de misère et de souffrance. Comme des chiffonniers, ils se déchirent pour se placer et leurs proches avec des salaires à faire rougir l’ensemble de la classe travailleuse qui n’arrive plus à joindre les deux bouts".
"Il y a bien deux monde qui vivent à la Réunion, les élus , leurs amis qu’ils place à la tête d’organisme public, tel le dernier scandale relaté dans la presse, à propos du salaire, 20 000€/mois exiger par un monsieur pour gérer les HLMR – pourris, ces cages à lapins construites pour certaines depuis 40 ans, pratiquement sans entretient, mais pas sans encaissement de loyer – pour loger les pauvres. Bien entendu on trouve rarement de « ces nouveaux réunionnais » dans ces logements,ou devant Pôle emploi".
"Les 75 000 bénéficiaires de prestations sociales, RMI – RSA, sont constamment soupçonnés d’être des voleurs, des paresseux qui refuseraient le travail en se complaisant de ces maigres allocations de survie. Il bruite actuellement que plus 40 000 dossiers demande RSA seraient bloqués, officiellement par manque de personnel vue l’affluence des demandes, en fait la CAF feraient la chasse aux supposés fraudeurs – un blocage pas sans conséquence dans les familles pauvres dans l’attente, une attente qui peut durer 3 mois et plus".
"En temps de crise, il n’y a pas de petites économies, les prestations sociales bloquées, placées dans les banques rapportent de l’argent aux profitèrs de la situation… Ils privent les allocataires de leurs droits, et dans le même temps leur reprochent de travailler au noir. Voudraient-ils que ces pères et mères de famille crèvent de faim avec leurs enfants ?"
"C’est peut-être le but recherché par le gouvernement français qui rogne les pensions des vieux travailleurs salariés, les prive de CMU, les contraint ainsi au recours aux Mutuelles privées au coût exorbitant de 75 à 100 € par mois par rapport à leurs maigres revenus. Revenus ne leur permettant même plus de se soigner dignement."
"Cette politique d’assistance massive à la Réunion frappe principalement la jeunesse réunionnaise, les travailleurs en général, qui ont recours aux colis alimentaires de survie… dans un département français depuis 65 ans".
"Pour le droit de vivre et de travailler au pays, priorité à l’embauche des enfants de la Réunion.. Cette revendication ne peut être revendication à caractère raciste, mais d’une logique humaine et réunionnaise. Dans le contexte local, le blocage de travailleurs étranger sur le marché du travail, déjà restreint est une nécessité vitale pour la classe ouvrière réunionnaise".