
Intervention de Najat Vallaud-Belkacem
Lors de l’ouverture de ces rencontres initiées par Ernestine Ronai, la Présidente de l’observatoire créé en 2002, Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes, a annoncé la tenue d’un comité intermi- nistériel sur les violences le 30 novembre prochain suivi de la mise en place de l’Observatoire national des violences faites aux femmes. La ministre a notamment signé une convention de partenariat «Jeunes contre le sexisme », entre le Conseil général, la Direction Départementale des Services de l’Education national et le Mouvement français pour le planning familial.
Des échanges nombreux en faveur de la lutte contre les violences
Cette journée a réuni plus de 1000 personnes : professionnels de santé, avocats, magistrats, associations etc. L’occasion de faire le point pour chacun sur les initiatives prises dans ce Département pour lutter contre les violences et la prise en charge des victimes. La Seine-Saint-Denis fait figure d’exemple dans ce domaine. D’ailleurs plusieurs initiatives seront reprises par l’observatoire national pour être étendues sur tout le territoire national.
D’autres illustres invités ont pu partager leurs expériences telles que Fatoumata Sire Diakité, présidente nationale de l’association pour le progrès et la défense des droits des femmes (ADPF) et ancienne ambas- sadrice du Mali en Allemagne. A pu également s’exprimer Maria America Pires coordonnatrice des poli- tiques publiques des droits des femmes dans l’Etat de Rio de Janeiro. Egalement Julia Ramos, Secrétaire nationale de la Confédération des femmes paysannes et Indigènes en Bolivie.
Des initiatives intéressantes à transposer à La Réunion
Cette journée m’a permis de découvrir nombreuses initiatives que ce soit au niveau de l’écoute, de la sensibilisation, ou de l’accompagnement des femmes violentées. Des initiatives menées dans le cadre de l’application de l’ordonnance de protection, de la formation des acteurs en charge du suivi des victimes, des mesures d’accompagnement pour protéger des enfants dans le cadre de l’ordonnance de protection mais aussi l’occasion de faire un bilan sur les trois années d’expérimentation sur la mise en place des télé- phones portable d’alerte pour les femmes en très grand danger.
J’ai pu intervenir pour expliquer les actions menées dans le cadre de la délégation des droits des femmes mais aussi pour parler de la violence à La Réunion.
Mieux combattre les violences à La Réunion grâce à une synergie des moyens et des actions.
L’occasion de dresser un diagnostic des violences dans mon Département et de partager les actions me- nées. J’ai souhaité un partenariat de nos deux territoires afin de faire des échanges d’expériences et de savoir-faire. Par exemple au niveau des outils innovants d’informations, de la mise en place des guides d’accompagnements pour les professionnels ou les campagnes visuelles en lieu public. J’ai souhaité également une transposition de cet observatoire dans nos départements d’Outre-mer.
Cette journée m’a permis enfin de constater une coopération forte entre les différents partenaires et une volonté d’agir ensemble pour porter et faire aboutir les initiatives menées. Une synergie qui doit nous inspirer à la Réunion pour lutter plus efficacement contre les violences, véritable fléau de la Société Réu- nionnaise.
Lors de l’ouverture de ces rencontres initiées par Ernestine Ronai, la Présidente de l’observatoire créé en 2002, Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes, a annoncé la tenue d’un comité intermi- nistériel sur les violences le 30 novembre prochain suivi de la mise en place de l’Observatoire national des violences faites aux femmes. La ministre a notamment signé une convention de partenariat «Jeunes contre le sexisme », entre le Conseil général, la Direction Départementale des Services de l’Education national et le Mouvement français pour le planning familial.
Des échanges nombreux en faveur de la lutte contre les violences
Cette journée a réuni plus de 1000 personnes : professionnels de santé, avocats, magistrats, associations etc. L’occasion de faire le point pour chacun sur les initiatives prises dans ce Département pour lutter contre les violences et la prise en charge des victimes. La Seine-Saint-Denis fait figure d’exemple dans ce domaine. D’ailleurs plusieurs initiatives seront reprises par l’observatoire national pour être étendues sur tout le territoire national.
D’autres illustres invités ont pu partager leurs expériences telles que Fatoumata Sire Diakité, présidente nationale de l’association pour le progrès et la défense des droits des femmes (ADPF) et ancienne ambas- sadrice du Mali en Allemagne. A pu également s’exprimer Maria America Pires coordonnatrice des poli- tiques publiques des droits des femmes dans l’Etat de Rio de Janeiro. Egalement Julia Ramos, Secrétaire nationale de la Confédération des femmes paysannes et Indigènes en Bolivie.
Des initiatives intéressantes à transposer à La Réunion
Cette journée m’a permis de découvrir nombreuses initiatives que ce soit au niveau de l’écoute, de la sensibilisation, ou de l’accompagnement des femmes violentées. Des initiatives menées dans le cadre de l’application de l’ordonnance de protection, de la formation des acteurs en charge du suivi des victimes, des mesures d’accompagnement pour protéger des enfants dans le cadre de l’ordonnance de protection mais aussi l’occasion de faire un bilan sur les trois années d’expérimentation sur la mise en place des télé- phones portable d’alerte pour les femmes en très grand danger.
J’ai pu intervenir pour expliquer les actions menées dans le cadre de la délégation des droits des femmes mais aussi pour parler de la violence à La Réunion.
Mieux combattre les violences à La Réunion grâce à une synergie des moyens et des actions.
L’occasion de dresser un diagnostic des violences dans mon Département et de partager les actions me- nées. J’ai souhaité un partenariat de nos deux territoires afin de faire des échanges d’expériences et de savoir-faire. Par exemple au niveau des outils innovants d’informations, de la mise en place des guides d’accompagnements pour les professionnels ou les campagnes visuelles en lieu public. J’ai souhaité également une transposition de cet observatoire dans nos départements d’Outre-mer.
Cette journée m’a permis enfin de constater une coopération forte entre les différents partenaires et une volonté d’agir ensemble pour porter et faire aboutir les initiatives menées. Une synergie qui doit nous inspirer à la Réunion pour lutter plus efficacement contre les violences, véritable fléau de la Société Réu- nionnaise.