
"Les moyens humains, matériels, logistiques et financiers des candidats sont immanquablement inégaux entre tous ceux et celles qui postulent à se présenter devant le peuple souverain. Ainsi, l’exemple le plus flagrant est à mettre au profit du Parti socialiste qui au cours de cette campagne législative fait rouler à fond la caisse, toute la machine municipale pour la candidature de la 2ème adjointe de la mairie de Saint-Denis.
L’analyse comparative des campagnes de 2007 et 2012 sur Saint-Denis démontre bel et bien que les moyens colossaux municipaux actuels déployés pour soutenir la candidature de la 2ème adjointe à la mairie de Saint-Denis ont été multipliés par dix.
A titre de comparaison en 2007, le candidat socialiste sur Saint-Denis disposait seulement d’un micro et d’une sono dans un camion banalisé.
A contrario aujourd’hui, les dispositifs de communication de masse véhiculés autour de l'image de la deuxième adjointe à la mairie de Saint-Denis se chiffrent à plusieurs camions sonorisés battant pavillon à son effigie.
Chapiteaux des gâteaux et distribution gratuite de samoussas, journaux 4 pages en guise de prospectus... Rien n'est trop cher pour faire oublier à la population le manque de charisme, l'absence sur le terrain et les échecs électoraux répétés.
Les employés communaux de services incontournables pour une campagne politique tous azimuts (informatique, transport, communication, manutention, etc.) sont obligés de propager insidieusement la bonne parole électorale sans broncher d’un poil et de mettre les moyens communaux au service de la candidate investie par la mairie de Saint-Denis.
Le recours massif aux contrats aidés brouille encore un peu plus encore, les cartes de transparence et d'honnêteté qui régissent le bon ordre rituel d'une campagne électorale juste, sincère et impartiale pour tous.
Des preuves accumulées, certifiées et consignées attestent de la véracité de ces dérapages éthiques qui faussent en arrière-fond la réelle sincérité du scrutin à venir.
Le recrutement massif de ces employés communaux temporaires en cette période électorale constitue dès lors la pierre angulaire de cette inégalité flagrante de moyens entre tous les candidats.
Force est de constater qu’étrangement, la durée des contrats accordés aux bénéficiaires du RSA ou des minima sociaux coïncide exclusivement avec la période électorale.
A l’unanimité, les analystes politiques confirment qu’un contrat aidé va générer 3 voire 4 voix dans les urnes. L’achat facile des électeurs par ce biais est donc manifeste.
Je crois sincèrement que les Réunionnaises et Réunionnais peuvent prétendre à un traitement social et professionnel plus respectueux pour tout un chacun.
La population réunionnaise a le droit de pouvoir bénéficier de contrats de travail à durée indéterminée et ne pas être des sujets qu’on manipule odieusement, uniquement en période électorale.
Durant les années qui précèdent la période électorale, aucun contrat n’est disponible et subitement, comme par miracle, l’octroi de contrat providentiel est possible juste avant les élections.
Cette relation contractuelle ambiguë engendre à l'envi une servitude et une manipulation mentale.
Les bénéficiaires de contrats aidés appréhendent immanquablement l’avenir, car cette précarité fragilise leur vie sociale et économique.
La peur du lendemain avec ces petits contrats en poche fragilise les esprits et soumet inéluctablement ces bénéficiaires.
Ces derniers votent dès lors avec une épée de Damoclès au dessus de leurs têtes.
De plus, cette obligation de "servir" la cause du candidat et de faire du porte-à-porte pour leurs bienfaiteurs du moment créent une obligation de vote qui constitue inévitablement une entrave à la liberté démocratique de tout citoyen à se prononcer librement en son âme et conscience.
En période électorale, les échanges sociaux s’appauvrissent, car si on a eu un petit contrat, on est tout de suite catalogué dans un camp ou l'autre.
Comme si nos voisins savaient déjà pour qui nous allions voter.
Cette peur est destructrice et fragilise la socialisation réunionnaise.
L’avenir professionnel à long terme de ces Dionysiens bénéficiaires ces contrats aidés, n’intéresse aucunement ces politiques, car l’insertion sociale durable des Réunionnais n’est pas leur priorité, mais plutôt un moyen inique de pression et d'asservissement sur des sujets malheureusement malléables à souhait.
Dès lors, je proposerai donc une loi afin que les collectivités locales, territoriales ou les associations subventionnées à plus de 20.000 € par an par une quelconque administration locale ou territoriale ne puissent avoir recours aux contrats aidés 6 mois avant une quelconque élection afin d’offrir une égalité de moyens lors des élections et une égalité de chances à tous les candidats".
L’analyse comparative des campagnes de 2007 et 2012 sur Saint-Denis démontre bel et bien que les moyens colossaux municipaux actuels déployés pour soutenir la candidature de la 2ème adjointe à la mairie de Saint-Denis ont été multipliés par dix.
A titre de comparaison en 2007, le candidat socialiste sur Saint-Denis disposait seulement d’un micro et d’une sono dans un camion banalisé.
A contrario aujourd’hui, les dispositifs de communication de masse véhiculés autour de l'image de la deuxième adjointe à la mairie de Saint-Denis se chiffrent à plusieurs camions sonorisés battant pavillon à son effigie.
Chapiteaux des gâteaux et distribution gratuite de samoussas, journaux 4 pages en guise de prospectus... Rien n'est trop cher pour faire oublier à la population le manque de charisme, l'absence sur le terrain et les échecs électoraux répétés.
Les employés communaux de services incontournables pour une campagne politique tous azimuts (informatique, transport, communication, manutention, etc.) sont obligés de propager insidieusement la bonne parole électorale sans broncher d’un poil et de mettre les moyens communaux au service de la candidate investie par la mairie de Saint-Denis.
Le recours massif aux contrats aidés brouille encore un peu plus encore, les cartes de transparence et d'honnêteté qui régissent le bon ordre rituel d'une campagne électorale juste, sincère et impartiale pour tous.
Des preuves accumulées, certifiées et consignées attestent de la véracité de ces dérapages éthiques qui faussent en arrière-fond la réelle sincérité du scrutin à venir.
Le recrutement massif de ces employés communaux temporaires en cette période électorale constitue dès lors la pierre angulaire de cette inégalité flagrante de moyens entre tous les candidats.
Force est de constater qu’étrangement, la durée des contrats accordés aux bénéficiaires du RSA ou des minima sociaux coïncide exclusivement avec la période électorale.
A l’unanimité, les analystes politiques confirment qu’un contrat aidé va générer 3 voire 4 voix dans les urnes. L’achat facile des électeurs par ce biais est donc manifeste.
Je crois sincèrement que les Réunionnaises et Réunionnais peuvent prétendre à un traitement social et professionnel plus respectueux pour tout un chacun.
La population réunionnaise a le droit de pouvoir bénéficier de contrats de travail à durée indéterminée et ne pas être des sujets qu’on manipule odieusement, uniquement en période électorale.
Durant les années qui précèdent la période électorale, aucun contrat n’est disponible et subitement, comme par miracle, l’octroi de contrat providentiel est possible juste avant les élections.
Cette relation contractuelle ambiguë engendre à l'envi une servitude et une manipulation mentale.
Les bénéficiaires de contrats aidés appréhendent immanquablement l’avenir, car cette précarité fragilise leur vie sociale et économique.
La peur du lendemain avec ces petits contrats en poche fragilise les esprits et soumet inéluctablement ces bénéficiaires.
Ces derniers votent dès lors avec une épée de Damoclès au dessus de leurs têtes.
De plus, cette obligation de "servir" la cause du candidat et de faire du porte-à-porte pour leurs bienfaiteurs du moment créent une obligation de vote qui constitue inévitablement une entrave à la liberté démocratique de tout citoyen à se prononcer librement en son âme et conscience.
En période électorale, les échanges sociaux s’appauvrissent, car si on a eu un petit contrat, on est tout de suite catalogué dans un camp ou l'autre.
Comme si nos voisins savaient déjà pour qui nous allions voter.
Cette peur est destructrice et fragilise la socialisation réunionnaise.
L’avenir professionnel à long terme de ces Dionysiens bénéficiaires ces contrats aidés, n’intéresse aucunement ces politiques, car l’insertion sociale durable des Réunionnais n’est pas leur priorité, mais plutôt un moyen inique de pression et d'asservissement sur des sujets malheureusement malléables à souhait.
Dès lors, je proposerai donc une loi afin que les collectivités locales, territoriales ou les associations subventionnées à plus de 20.000 € par an par une quelconque administration locale ou territoriale ne puissent avoir recours aux contrats aidés 6 mois avant une quelconque élection afin d’offrir une égalité de moyens lors des élections et une égalité de chances à tous les candidats".