La sur-rémunération ne peut pas être une prime de vie chère parce que la vie est moins chère pour un fonctionnaire ou assimilé : taux prêt bancaire, assurance, voyage, ... Elle ne peut pas être une prime de vie chère parce qu’elle est inexistante dans les quartiers les plus chers de France (exemple 16ème arrondissement de Paris). Elle est aussi inexistante sur nos iles françaises métropolitaines.
Si la sur-rémunération était un moteur économique, comme certains le prétendent, le gouvernement l'aurait généralisée à tous les fonctionnaires de la République. La sur-rémunération ne participe qu’au développement éphémère et fragile de La Réunion, basé uniquement sur une économie de consommation de produits importés de Métropole.
A noter que le niveau des prix des produits en Outre mer suit le niveau de la sur-rémunération des salaires des fonctionnaires dans chacun des DOM TOM.
Aussi, nous ne pouvons plus continuer à donner 2 salaires ou 1 salaire et demi à un salarié de la fonction publique, pendant que la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, pendant que plus de 120 000 chômeurs attendent à pôle emploi.
LES PROPOSITIONS DU MOUV :
Pour les nouvelles affectations :
Le MOUV propose la suppression de cette sur-rémunération pour tous les nouveaux postes et toutes nouvelles affectations à La Réunion et que le nombre de nouveaux postes remplacés ou créés soit calculé sur le budget intégrant la sur-rémunération économisée.
Cette solution aurait 2 effets positifs :
Elle augmenterait le nombre de postes dans les secteurs publics où les besoins sont plus importants.
Elle rééquilibrerait le flux migratoire des fonctionnaires entre La Métropole et La Réunion.
Pour les fonctionnaires déjà en poste :
Le MOUV conscient que cette sur-rémunération ne peut être supprimée brutalement pour les fonctionnaires déjà en fonction, il leur propose un effort en renonçant à 0,5% de cette sur-rémunération chaque mois (La partie sur-rémunération serait grignotée chaque mois à hauteur de 5 euros pour 1000 euros), ce qui effacerait la sur-rémunération sur 17 ans. La somme récupérée serait versée dans un fond d'investissement pour le développement économique de La Réunion.
Ces solutions auraient pour effet la baisse des prix des produits.
Ces solutions ne pourraient aboutir que si tous les responsables syndicaux et politiques font preuve de courage, de responsabilité et de pédagogie en privilégiant l’intérêt général des Réunionnais et le développement économique durable de La Réunion et non des intérêts électoralistes ou personnels à court terme.
Pour Le MOUV
Si la sur-rémunération était un moteur économique, comme certains le prétendent, le gouvernement l'aurait généralisée à tous les fonctionnaires de la République. La sur-rémunération ne participe qu’au développement éphémère et fragile de La Réunion, basé uniquement sur une économie de consommation de produits importés de Métropole.
A noter que le niveau des prix des produits en Outre mer suit le niveau de la sur-rémunération des salaires des fonctionnaires dans chacun des DOM TOM.
Aussi, nous ne pouvons plus continuer à donner 2 salaires ou 1 salaire et demi à un salarié de la fonction publique, pendant que la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, pendant que plus de 120 000 chômeurs attendent à pôle emploi.
LES PROPOSITIONS DU MOUV :
Pour les nouvelles affectations :
Le MOUV propose la suppression de cette sur-rémunération pour tous les nouveaux postes et toutes nouvelles affectations à La Réunion et que le nombre de nouveaux postes remplacés ou créés soit calculé sur le budget intégrant la sur-rémunération économisée.
Cette solution aurait 2 effets positifs :
Elle augmenterait le nombre de postes dans les secteurs publics où les besoins sont plus importants.
Elle rééquilibrerait le flux migratoire des fonctionnaires entre La Métropole et La Réunion.
Pour les fonctionnaires déjà en poste :
Le MOUV conscient que cette sur-rémunération ne peut être supprimée brutalement pour les fonctionnaires déjà en fonction, il leur propose un effort en renonçant à 0,5% de cette sur-rémunération chaque mois (La partie sur-rémunération serait grignotée chaque mois à hauteur de 5 euros pour 1000 euros), ce qui effacerait la sur-rémunération sur 17 ans. La somme récupérée serait versée dans un fond d'investissement pour le développement économique de La Réunion.
Ces solutions auraient pour effet la baisse des prix des produits.
Ces solutions ne pourraient aboutir que si tous les responsables syndicaux et politiques font preuve de courage, de responsabilité et de pédagogie en privilégiant l’intérêt général des Réunionnais et le développement économique durable de La Réunion et non des intérêts électoralistes ou personnels à court terme.
Pour Le MOUV