"La nouvelle de cette dissidence a surpris plus d’un en pleine séance plénière, signée à la hâte. Ces alimentaires de la politique n’ont même pas eu l’honnêteté, la bonne éducation et le respect des anciens (valeur tant respecté dans notre île) d’en informer le chef de leur groupe, Roland Robert, par ailleurs doyen de la noble assemblée départementale (la plus vieille institution démocratique de l’île), président de l’Association des maires et l’un des co-fondateurs du PCR. On rajoutera également victime de l'Ordonnance Debré. Cette "façon" de faire de la politique a répugné plus d’un, notamment leurs propres collègues de la "majorité départementale" PS et Modérés.
Pourquoi peut-on parler de galimatias ? Parce que la logique des 8 "dissidents" ne rejoint aucune logique politique si ce n’est que celle des intérêts sectoriels, territoriaux et surtout personnels de chaque élus. Passons les en revue : Robert Nativel. Celui qu'on appelle Monsieur "Je dirais que…" par les administratifs du Conseil général.
Ne pouvant pas aligner deux phrases sans répéter quatre fois "je dirais que …", une façon de masquer sa propension à faire du suivisme administratif par manque d'analyse politique également de compétence ... Voulant être calife à la place du calife (c'est-à-dire chef de groupe à la place de Roland Robert), il se met lui-même en porte à faux avec les orientations de son maire, Eric Fruteau en travaillant avec le beau-frère de Ratenon qui officie comme chargé de groupe (cherchez l’erreur !).
Prenons ensuite le cas de Daniel Alamélou pour rester dans l’Est. Encercler par les socialistes à Saint-André , Eric Fruteau espère t-il voir en un Daniel Alamélou un allié de circonstance ? Contre qui ? Surtout pas contre les socialistes avec qui M. Alamélou a pactisé pour déstabiliser Maurice Gironcel à la Cinor, au Sidelec et aux dernières Législatives.
Prenons enfin le cas des élus de Saint-Paul, dont les rivalités sont encore plus criantes. Entre Incana, Melin et Nemazine, c’est "je t’aime moi non plus". Entre un Gérald Incana qui vise la mairie en 2014, un Melin qui se situe plus à Droite qu’à gauche (le pouvoir n’a pas d’odeur..).
Comment Robert Nativel va-t-il faire pour trouver un sens politique à la constitution d’un groupe d’opportunistes ?. Aura-t-il du poids quand on sait ce qu’il représente au Conseil général face à une présidente qui se "droitise" et un PS qui se met de plus en plus dans l’opposition ? Un coup d’épée dans l’eau en somme qui aura montrer le vrai visage de ses sois disants "communistes".
Au final, ces jérémiades et situations tragi-comiques n’ont fait que renforcer l’idée que le PCR doit se recomposer et balayer tous ses artisans qui l’ont mis dans cette situation. Domin komans zordi ? Pas avec ceux-là !"
Pourquoi peut-on parler de galimatias ? Parce que la logique des 8 "dissidents" ne rejoint aucune logique politique si ce n’est que celle des intérêts sectoriels, territoriaux et surtout personnels de chaque élus. Passons les en revue : Robert Nativel. Celui qu'on appelle Monsieur "Je dirais que…" par les administratifs du Conseil général.
Ne pouvant pas aligner deux phrases sans répéter quatre fois "je dirais que …", une façon de masquer sa propension à faire du suivisme administratif par manque d'analyse politique également de compétence ... Voulant être calife à la place du calife (c'est-à-dire chef de groupe à la place de Roland Robert), il se met lui-même en porte à faux avec les orientations de son maire, Eric Fruteau en travaillant avec le beau-frère de Ratenon qui officie comme chargé de groupe (cherchez l’erreur !).
Prenons ensuite le cas de Daniel Alamélou pour rester dans l’Est. Encercler par les socialistes à Saint-André , Eric Fruteau espère t-il voir en un Daniel Alamélou un allié de circonstance ? Contre qui ? Surtout pas contre les socialistes avec qui M. Alamélou a pactisé pour déstabiliser Maurice Gironcel à la Cinor, au Sidelec et aux dernières Législatives.
Prenons enfin le cas des élus de Saint-Paul, dont les rivalités sont encore plus criantes. Entre Incana, Melin et Nemazine, c’est "je t’aime moi non plus". Entre un Gérald Incana qui vise la mairie en 2014, un Melin qui se situe plus à Droite qu’à gauche (le pouvoir n’a pas d’odeur..).
Comment Robert Nativel va-t-il faire pour trouver un sens politique à la constitution d’un groupe d’opportunistes ?. Aura-t-il du poids quand on sait ce qu’il représente au Conseil général face à une présidente qui se "droitise" et un PS qui se met de plus en plus dans l’opposition ? Un coup d’épée dans l’eau en somme qui aura montrer le vrai visage de ses sois disants "communistes".
Au final, ces jérémiades et situations tragi-comiques n’ont fait que renforcer l’idée que le PCR doit se recomposer et balayer tous ses artisans qui l’ont mis dans cette situation. Domin komans zordi ? Pas avec ceux-là !"