
Une société anonyme privée, financée par des capitaux publics, et qui connait depuis plus de trente ans, d'énormes difficultés pour se réformer. Une transformation des mentalités, mais aussi de la culture professionnelle serait bénéfique, salutaire et nécessaire. Cette évolution apparaît cependant impossible à réaliser du fait de l'attitude constamment hostiles de syndicats obsolètes d'un autre âge et partisans de la défense d'intérêts purement catégoriels. Ils ne voient en rien l'intérêt du client qui reste à leur yeux un "usager" (quelle horrible qualification..).
C'est en effet, tellement pratique de ne pas avoir à plaire ou être jugé sur ses propres compétences par une clientèle. Une attitude lâche des pouvoirs publics, actionnaires majoritaires, volontairement abstraite, pour ne pas mécontenter et provoquer ces fameux syndicats est perceptible. Ils pourraient en effet, à loisir, perturber par leurs actions grévistes incontrôlées, une France malade, qui aujourd'hui souffre.
Difficile de ne pas comprendre le mal qu'ils pourraient faire au pays et à l'économie par des actions de grèves à répétitions. Le salut des Français, des clients de la Poste même, réside dans l'abolition du monopole de l'institution actuellement en cours depuis 2006, même si elle apparaît difficilement perceptible à l'usager.
Mais c'est aussi et surtout de l'activité bancaire de la Poste, dont il nous faut parler. La Banque postale gère les comptes bancaires de plus de 11 millions de Français et compte plus de 10 millions de clients actifs et 475 000 clients personnes morales. Le 1er janvier 2006, les services financiers de La Poste ont laissé la place à une banque à part entière. Et quelle banque !!! Si la Loi de modernisation de l'économie de 2008 lui a vu reconnaître sa mission d'accessibilité bancaire, il faut avouer qu'elle en souffre quelque peu aujourd'hui.
A la Poste, la méfiance est de rigueur. Championne de la captation des prestations sociales, elle en a oublié les prestations qualitatives dues aux famille moyennes qui n'ont pas le temps de passer des heures dans ses files d'attentes. Elle se drape alors dans des mots forts, des symboles, que ne renierait pas la gauche. Ainsi, se nomme t-elle aujourd'hui "la banque citoyenne". A croire que les autres banques ne le serait donc pas. Quelle fourberie !... à l'instar des autres banques, elle ne prête aujourd'hui quasiment jamais aux entreprises, pourtant créatrices d'emplois et donc forcément citoyennes.
A bien analyser la chose, le terme de « banque citoyenne » lui permet finalement de s'exonérer de ses obligations qualitatives envers une clientèle de niveau économiquement moyen et viable. La politique commerciale, d'accueil notamment de la banque Postale se cantonne ainsi à un niveau de qualité qui reste médiocre, pour ne pas dire parfois honteux au nom de cette prétendue « citoyenneté ». Si le client, ou l'usager encore pour certains, se rebelle, c'est qu'il n'est pas un bon citoyen !..CQFD
Une dépose de courrier qui laisse de plus en plus à désirer, avec dans les agence, des queues et files d'attente ne permettant qu'aux sans emplois de pouvoir y venir tenir un siège. Des services bancaires toujours plus lents car dénués de réactivités (450 000 "entreprises" seulement... », la Poste nous fait payer cher sa qualité de « banque citoyenne et sociale ». Impossible de pouvoir retirer son argent quand on le souhaiterait, agrémenté d'une obligation de prévenir plusieurs jours à l'avance pour un retrait de plus de 1500 euros.
Des délais d'encaissement des chèques de plus de 15 jours (même de compte à compte au sein de la banque postale..!),. Assurément, la Banque Postale est une banque qui nuit à la bonne tenue économique des entreprises car incapable de s'adapter encore une fois à la demande de ses clients. Le pire étant cependant, de devoir, pour le détenteur d'un compte, justifier à l'institution postale les raisons d'un retrait supérieur à 1.500 € !...
A La banque Postale, le client n'a aucun droit si ce n'est celui de se taire et se dire qu'il participe, là encore, à ce fameux effort de solidarité que nos politiques nous réclament continuellement. Des hommes politiques qui n'ont bien évidemment pas leur compte à la Banque Postale et que vous ne verrez donc jamais faire les queues et files d'attentes qui depuis plus de 40 ans caractérisent si bien l'institution. Essayez plutôt l'Union des Banques Suisses (UBS), vous risqueriez d'y rencontrer une connaissance....
C'est en effet, tellement pratique de ne pas avoir à plaire ou être jugé sur ses propres compétences par une clientèle. Une attitude lâche des pouvoirs publics, actionnaires majoritaires, volontairement abstraite, pour ne pas mécontenter et provoquer ces fameux syndicats est perceptible. Ils pourraient en effet, à loisir, perturber par leurs actions grévistes incontrôlées, une France malade, qui aujourd'hui souffre.
Difficile de ne pas comprendre le mal qu'ils pourraient faire au pays et à l'économie par des actions de grèves à répétitions. Le salut des Français, des clients de la Poste même, réside dans l'abolition du monopole de l'institution actuellement en cours depuis 2006, même si elle apparaît difficilement perceptible à l'usager.
Mais c'est aussi et surtout de l'activité bancaire de la Poste, dont il nous faut parler. La Banque postale gère les comptes bancaires de plus de 11 millions de Français et compte plus de 10 millions de clients actifs et 475 000 clients personnes morales. Le 1er janvier 2006, les services financiers de La Poste ont laissé la place à une banque à part entière. Et quelle banque !!! Si la Loi de modernisation de l'économie de 2008 lui a vu reconnaître sa mission d'accessibilité bancaire, il faut avouer qu'elle en souffre quelque peu aujourd'hui.
A la Poste, la méfiance est de rigueur. Championne de la captation des prestations sociales, elle en a oublié les prestations qualitatives dues aux famille moyennes qui n'ont pas le temps de passer des heures dans ses files d'attentes. Elle se drape alors dans des mots forts, des symboles, que ne renierait pas la gauche. Ainsi, se nomme t-elle aujourd'hui "la banque citoyenne". A croire que les autres banques ne le serait donc pas. Quelle fourberie !... à l'instar des autres banques, elle ne prête aujourd'hui quasiment jamais aux entreprises, pourtant créatrices d'emplois et donc forcément citoyennes.
A bien analyser la chose, le terme de « banque citoyenne » lui permet finalement de s'exonérer de ses obligations qualitatives envers une clientèle de niveau économiquement moyen et viable. La politique commerciale, d'accueil notamment de la banque Postale se cantonne ainsi à un niveau de qualité qui reste médiocre, pour ne pas dire parfois honteux au nom de cette prétendue « citoyenneté ». Si le client, ou l'usager encore pour certains, se rebelle, c'est qu'il n'est pas un bon citoyen !..CQFD
Une dépose de courrier qui laisse de plus en plus à désirer, avec dans les agence, des queues et files d'attente ne permettant qu'aux sans emplois de pouvoir y venir tenir un siège. Des services bancaires toujours plus lents car dénués de réactivités (450 000 "entreprises" seulement... », la Poste nous fait payer cher sa qualité de « banque citoyenne et sociale ». Impossible de pouvoir retirer son argent quand on le souhaiterait, agrémenté d'une obligation de prévenir plusieurs jours à l'avance pour un retrait de plus de 1500 euros.
Des délais d'encaissement des chèques de plus de 15 jours (même de compte à compte au sein de la banque postale..!),. Assurément, la Banque Postale est une banque qui nuit à la bonne tenue économique des entreprises car incapable de s'adapter encore une fois à la demande de ses clients. Le pire étant cependant, de devoir, pour le détenteur d'un compte, justifier à l'institution postale les raisons d'un retrait supérieur à 1.500 € !...
A La banque Postale, le client n'a aucun droit si ce n'est celui de se taire et se dire qu'il participe, là encore, à ce fameux effort de solidarité que nos politiques nous réclament continuellement. Des hommes politiques qui n'ont bien évidemment pas leur compte à la Banque Postale et que vous ne verrez donc jamais faire les queues et files d'attentes qui depuis plus de 40 ans caractérisent si bien l'institution. Essayez plutôt l'Union des Banques Suisses (UBS), vous risqueriez d'y rencontrer une connaissance....