
Les élus de l'Alliance ont fait dans la sobriété : "Marie-Luce Penchard a passé deux jours à La Réunion, juste pour dire que tout ce que fait Didier Robert est bien. C'est le cas du Trans Eco Express et de la route du Littoral. Comment peut-on dire que ces projets avancent alors que les études ne sont pas terminées".
Catherine Gaud, Philippe Jean-Pierre, Aline Murin-Hoarau, Michel Lagourgue, Béatrice Leperlier, Maya Césari, André Thien-Ah-Koon et Paul Vergès, ont regretté qu'il n'y ait pas eu de rencontre entre la ministre de l'Outre-mer et l'opposition régionale. "Les parents et les enseignants voulaient aussi échanger avec elle sur les menaces qui pèsent sur l'éducation", a dit Aline Murin-Hoarau.
Maya Césari, elle, aurait aimé avoir des précisions sur le vrai objectif du gouvernement pour GERRI. "Comment atteindre l'autonomie énergétique lorsque l'Etat initiateur du projet ne le soutien plus, et réduit ses aides sur le photovoltaïque". Béatrice Leperlier et les étudiants avaient également des interrogations.
"Il y a le devenir des filières, il y a aussi une incohérence dans la façon de fermer certaines filières". La conseillère régionale attendait aussi des réponses "pour la mise en place" d'un moratoire sur ce point précis. "Le contexte est tel que certains étudiants pensent arrêter leurs études".
Catherine Gaud, Philippe Jean-Pierre, Aline Murin-Hoarau, Michel Lagourgue, Béatrice Leperlier, Maya Césari, André Thien-Ah-Koon et Paul Vergès, ont regretté qu'il n'y ait pas eu de rencontre entre la ministre de l'Outre-mer et l'opposition régionale. "Les parents et les enseignants voulaient aussi échanger avec elle sur les menaces qui pèsent sur l'éducation", a dit Aline Murin-Hoarau.
Maya Césari, elle, aurait aimé avoir des précisions sur le vrai objectif du gouvernement pour GERRI. "Comment atteindre l'autonomie énergétique lorsque l'Etat initiateur du projet ne le soutien plus, et réduit ses aides sur le photovoltaïque". Béatrice Leperlier et les étudiants avaient également des interrogations.
"Il y a le devenir des filières, il y a aussi une incohérence dans la façon de fermer certaines filières". La conseillère régionale attendait aussi des réponses "pour la mise en place" d'un moratoire sur ce point précis. "Le contexte est tel que certains étudiants pensent arrêter leurs études".