
"Je suis de longue date un militant du développement de la commune de Bras-Panon et plus particulièrement dans le domaine économique et sportif.
Fondateur et ancien président pendant 15 ans de l'Union des Commercants et Artisans (UCABP) de la ville de Bras-Panon, j'y exploite depuis 34 ans un commerce alimentaire. J'ai eu à maintes reprises l'occasion de défendre les intêrets des entreprises de Bras-Panon et aussi de porter les projets lorsqu'ils servent l'intérêt général.
Ce qui m'a aussi amené à être élu à CCIR depuis 2005, mais également conseiller prudhommale. Je fus également fondateur et premier président du Syndicat Réunionnais du Commerce Alimentaire de Proximité (SYRCAP). Ce syndicat, affilié à la Fédération Nationale Des Epiceries Alimentaires (FNDE) est une première en outremer. Son but étant de défendre le petit commerce alimentaire à la Réunion.
J'ai eu aussi l'honneur de présider le club de Football "La Gauloise" de 1987 à 1992, période pendant laquelle elle a accédé pour la première fois en division 1.
J'ai eu la surprise de découvrir dans la presse du vendredi 30 novembre 2012, l'accord de la CDAC au projet d'implantation de l'enseigne Leclerc à Bras-Panon.
Cette situation m'interpelle :
Tout d'abord le manque d'information et de concertation sur ce projet. Nous avons été mis devant le fait accompli. Il aurait été plus judicieux au Maire de la Commune de préparer l'arrivée de cette enseigne, mesurer son impact sur l'activité économique existante et accompagner ce changement. De nombreux commerçants sont inquiets, mais n'osent pas s'exprimer par peur.
Quel avenir pour les petits commerces de Bras-Panon ?
Ensuite, l'implantation est prévue dans la zone industrielle. Cette zone a été créée pour accueillir les activités de production et de fabrication. D'ailleurs l'emplacement prévu pour le Leclerc devait initialement accueillir un concassage.
Propriétaire moi-même de la parcelle jouxtant celle du futur supermarché, le maire de la commune m'a toujours déconseillé d'y implanter mon commerce car pour lui ce n'est pas "l'endroit" et "c'est très mal desservi en accès et parking". Il m'a même proposé dans un courrier du mois d'avril 2012 de racheter ma parcelle pour y implanter les services techniques municipaux.
Aujourd'hui les règles semblent avoir changées ! Pour quelles raisons ?
Cette situation m'inquiète au plus au point, car mon commerce est désormais menacée de disparition. Avec lui disparaîtra neuf emplois, disparaîtra également les services que seul le commerce de proximité peut rendre aux habitants".
Fondateur et ancien président pendant 15 ans de l'Union des Commercants et Artisans (UCABP) de la ville de Bras-Panon, j'y exploite depuis 34 ans un commerce alimentaire. J'ai eu à maintes reprises l'occasion de défendre les intêrets des entreprises de Bras-Panon et aussi de porter les projets lorsqu'ils servent l'intérêt général.
Ce qui m'a aussi amené à être élu à CCIR depuis 2005, mais également conseiller prudhommale. Je fus également fondateur et premier président du Syndicat Réunionnais du Commerce Alimentaire de Proximité (SYRCAP). Ce syndicat, affilié à la Fédération Nationale Des Epiceries Alimentaires (FNDE) est une première en outremer. Son but étant de défendre le petit commerce alimentaire à la Réunion.
J'ai eu aussi l'honneur de présider le club de Football "La Gauloise" de 1987 à 1992, période pendant laquelle elle a accédé pour la première fois en division 1.
J'ai eu la surprise de découvrir dans la presse du vendredi 30 novembre 2012, l'accord de la CDAC au projet d'implantation de l'enseigne Leclerc à Bras-Panon.
Cette situation m'interpelle :
Tout d'abord le manque d'information et de concertation sur ce projet. Nous avons été mis devant le fait accompli. Il aurait été plus judicieux au Maire de la Commune de préparer l'arrivée de cette enseigne, mesurer son impact sur l'activité économique existante et accompagner ce changement. De nombreux commerçants sont inquiets, mais n'osent pas s'exprimer par peur.
Quel avenir pour les petits commerces de Bras-Panon ?
Ensuite, l'implantation est prévue dans la zone industrielle. Cette zone a été créée pour accueillir les activités de production et de fabrication. D'ailleurs l'emplacement prévu pour le Leclerc devait initialement accueillir un concassage.
Propriétaire moi-même de la parcelle jouxtant celle du futur supermarché, le maire de la commune m'a toujours déconseillé d'y implanter mon commerce car pour lui ce n'est pas "l'endroit" et "c'est très mal desservi en accès et parking". Il m'a même proposé dans un courrier du mois d'avril 2012 de racheter ma parcelle pour y implanter les services techniques municipaux.
Aujourd'hui les règles semblent avoir changées ! Pour quelles raisons ?
Cette situation m'inquiète au plus au point, car mon commerce est désormais menacée de disparition. Avec lui disparaîtra neuf emplois, disparaîtra également les services que seul le commerce de proximité peut rendre aux habitants".