"Comment faire face à cette situation quand bien même nous avons le sentiment que le changement promis n’est pas vraiment pour maintenant.
Le chômage continue à augmenter, le coût de la vie ne baisse pas, les revenus stagnent, tout cela accompagné d’un service public qui fonctionne en dessous des besoins.
Face à cela, notre incompréhension sur la gestion des emplois aidés par le gouvernement et les politiques locaux est de mise.
Nous ne manquerons pas de vous faire part d’un exposé plus explicite sur la problématique globale du sous emploi et de la politique publique à la Réunion. Mais en l’état actuel de la situation, nous voulons vous interpeller sur les quotas d’emplois aidés pour l’année 2013.
Que se passe-t-il Monsieur le ministre ? Avez-vous conscience des dégâts causés par le flou fait autour sur ces contrats depuis quelques mois ?
Pensez-vous honnêtement que nous pouvons continuer comme cela avec un taux de chômage aussi élevé et un service public aussi désordonné ?
Qui vous conseille à La Réunion pour être aussi décalé des besoins de la population ?
L’ARCP à travers ce courrier souhaite encore une fois vous interpeller sur l’état de catastrophe sociale dans lequel se trouve notre département La Réunion. Nous vous demandons d’agir en conséquence en débloquant dès à présent les quotas d’emplois aidés afin de permettre à nos collectivités et associations de continuer à assurer les services d’intérêts publics.
Aussi, nous comprenons vos réticences face à la mauvaise gestion par certaines collectivités de l’île. Nous pensons qu’il est possible d’y remédier en retirant l’embauche des bénéficiaires par les maires et en confiant sa gestion par l’unique pôle emploi.
Ainsi le choix des personnes se fera sur la base de compétence, de motivation, de besoins sociaux et non plus sur des critères de complaisance électoraliste. Des orientations qui nécessitent du courage politique et un sens développé de l’intérêt général et non partisan. L’ARCP ne doute pas de votre capacité à y faire face.
En l’état actuel des choses et dans l’intérêt de ceux qui attendent aussi un moyen de pouvoir travailler nous vous demandons de répondre favorablement à notre requête sur le déblocage du quota 2013 des emplois aidés pour le département de la Réunion".
Le chômage continue à augmenter, le coût de la vie ne baisse pas, les revenus stagnent, tout cela accompagné d’un service public qui fonctionne en dessous des besoins.
Face à cela, notre incompréhension sur la gestion des emplois aidés par le gouvernement et les politiques locaux est de mise.
Nous ne manquerons pas de vous faire part d’un exposé plus explicite sur la problématique globale du sous emploi et de la politique publique à la Réunion. Mais en l’état actuel de la situation, nous voulons vous interpeller sur les quotas d’emplois aidés pour l’année 2013.
Que se passe-t-il Monsieur le ministre ? Avez-vous conscience des dégâts causés par le flou fait autour sur ces contrats depuis quelques mois ?
Pensez-vous honnêtement que nous pouvons continuer comme cela avec un taux de chômage aussi élevé et un service public aussi désordonné ?
Qui vous conseille à La Réunion pour être aussi décalé des besoins de la population ?
L’ARCP à travers ce courrier souhaite encore une fois vous interpeller sur l’état de catastrophe sociale dans lequel se trouve notre département La Réunion. Nous vous demandons d’agir en conséquence en débloquant dès à présent les quotas d’emplois aidés afin de permettre à nos collectivités et associations de continuer à assurer les services d’intérêts publics.
Aussi, nous comprenons vos réticences face à la mauvaise gestion par certaines collectivités de l’île. Nous pensons qu’il est possible d’y remédier en retirant l’embauche des bénéficiaires par les maires et en confiant sa gestion par l’unique pôle emploi.
Ainsi le choix des personnes se fera sur la base de compétence, de motivation, de besoins sociaux et non plus sur des critères de complaisance électoraliste. Des orientations qui nécessitent du courage politique et un sens développé de l’intérêt général et non partisan. L’ARCP ne doute pas de votre capacité à y faire face.
En l’état actuel des choses et dans l’intérêt de ceux qui attendent aussi un moyen de pouvoir travailler nous vous demandons de répondre favorablement à notre requête sur le déblocage du quota 2013 des emplois aidés pour le département de la Réunion".