
Nous nous sommes rendus à ce « Festival », la joie au cœur et l’appétit à l’estomac.
En arrivant nous constatons, tout de suite , que cet établissement pratique le système de surbooking des compagnies d’aviation afin que l’avion soit hyper plein. En effet, nous avons faillit finir dans les cuisines à 50 mètres de la scène.
Personne, pour vous accueillir, personne pour vous placer, personne pour vous servir un apéro, un verre d’eau… il n’y avait que les comédiens qui essayaient de palier à l’absence du patron & des ses employés qu’il fallait compter au nombre impressionnant de 1, quand même, dont la discrétion était manifestement la conséquence d’une éducation très bourgeoise et très feutrée, largement pratiquée en Sicile chez les témoins de règlements de comptes à l’Italienne.
Une heure pour être servi d’un cocktail que seul un chimiste alimentaire, avec 40 ans d’expérience, pourrait nous donner la composition et quelques morceaux de pizzas froids et durs pour accompagner ce breuvage qui ne nous a pas enivré, loin de là.
Les pâtes, en auto service, étaient froides, le vin, quand on pouvait obtenir une bouteille, était chaud et le Tira-machin était fondu voir coulant.
Heureusement que les humoristes péi ont su nous faire oublier ce repas frôlant les 30€ sans les liquides, malgré une mauvaise humeur ambiante et des spectateurs devenus peu enclins à la rigolade devant tant de PASTA froides et de VINO chaud.
La dizaine de comiques péi, dont les styles sont très variés, nous ont offerts deux cessions d’excellente qualité malgré une chaleur très peu supportable . (Même la clim était chaude).
Dommage, pour les comédiens et les spectateurs, mais les responsables de cette salle devraient comprendre que le client est devenu un produit rare et qu’il ne veut plus de ce genre de cantine même si le spectacle est de qualité.
En arrivant nous constatons, tout de suite , que cet établissement pratique le système de surbooking des compagnies d’aviation afin que l’avion soit hyper plein. En effet, nous avons faillit finir dans les cuisines à 50 mètres de la scène.
Personne, pour vous accueillir, personne pour vous placer, personne pour vous servir un apéro, un verre d’eau… il n’y avait que les comédiens qui essayaient de palier à l’absence du patron & des ses employés qu’il fallait compter au nombre impressionnant de 1, quand même, dont la discrétion était manifestement la conséquence d’une éducation très bourgeoise et très feutrée, largement pratiquée en Sicile chez les témoins de règlements de comptes à l’Italienne.
Une heure pour être servi d’un cocktail que seul un chimiste alimentaire, avec 40 ans d’expérience, pourrait nous donner la composition et quelques morceaux de pizzas froids et durs pour accompagner ce breuvage qui ne nous a pas enivré, loin de là.
Les pâtes, en auto service, étaient froides, le vin, quand on pouvait obtenir une bouteille, était chaud et le Tira-machin était fondu voir coulant.
Heureusement que les humoristes péi ont su nous faire oublier ce repas frôlant les 30€ sans les liquides, malgré une mauvaise humeur ambiante et des spectateurs devenus peu enclins à la rigolade devant tant de PASTA froides et de VINO chaud.
La dizaine de comiques péi, dont les styles sont très variés, nous ont offerts deux cessions d’excellente qualité malgré une chaleur très peu supportable . (Même la clim était chaude).
Dommage, pour les comédiens et les spectateurs, mais les responsables de cette salle devraient comprendre que le client est devenu un produit rare et qu’il ne veut plus de ce genre de cantine même si le spectacle est de qualité.