L'union de la Droite prend corps. René-Paul Victoria "a fait un pas important vers l'union", mardi soir. Jean-Luc Poudroux aussi. Nassimah Dindar a participé à sa deuxième réunion. Une rencontre très arrosée… par la pluie à l'extérieur. Le travail du coordonnateur du groupe, Cyrille Hamilcaro, semble porter ses fruits. C'est d'ailleurs lui qui à la charge d'établir le calendrier des consultations des postulants à l'investiture de l'union de la Droite.
Ils seront neuf (et non pas dix) à entendre la démarche et le projet des candidats à la candidature. Il s'agit de Michel Fontaine, Béatrice Sigismeau, et Cyrille Melchoir (UMP), Didier Robert, Cyrille Hamilcaro et Jean-Louis Lagourgue (La Réunion en confiance), et Stéphane Fouassin, Ibrahim Dindar et Olivier Rivière (UDI). Ils commenceront par les ténors de Saint-Denis : Michel Lagourgue, René-Paul Victoria, Gino-Ponin-Ballom, Jean-Jacques Morel, Nadia Ramassamy… Il est évident que l'opinion et la position de Nassimah Dindar demeure incontournable. Et pas seulement à Saint-Denis.
La Droite doit-elle pour autant ouvrir une porte à Thierry Robert, député-maire de Saint-leu et fondateur de "La politique autrement" ? La réponse est non d'abord et oui ensuite. Du moins sur le terrain. C'est toute la pertinence de la question d'Ibrahim Dindar. A un moment ou un autre, "en misouk ou non", "de devant ou de derrière la cuisine" ou non, une partie de la Droite aura besoin de "l'irréductible centriste". Ne serait-ce en cas de second tour des Municipales 2014 à Saint-Louis.
Autre élément en faveur du parlementaire, sa position au Conseil général. Les élus de ce l'on appelle encore par habitude "opposition départementale", sont conscients de la place qu'occupe l'édile de Saint-Leu dans la majorité de Nassimah Dindar. Il n'y avait rien d'innocent dans l'intervention d'Ibrahim Dindar. C'est un constat. La Droite (au moins une partie) devra composer avec Thierry Robert.
Ils seront neuf (et non pas dix) à entendre la démarche et le projet des candidats à la candidature. Il s'agit de Michel Fontaine, Béatrice Sigismeau, et Cyrille Melchoir (UMP), Didier Robert, Cyrille Hamilcaro et Jean-Louis Lagourgue (La Réunion en confiance), et Stéphane Fouassin, Ibrahim Dindar et Olivier Rivière (UDI). Ils commenceront par les ténors de Saint-Denis : Michel Lagourgue, René-Paul Victoria, Gino-Ponin-Ballom, Jean-Jacques Morel, Nadia Ramassamy… Il est évident que l'opinion et la position de Nassimah Dindar demeure incontournable. Et pas seulement à Saint-Denis.
La Droite doit-elle pour autant ouvrir une porte à Thierry Robert, député-maire de Saint-leu et fondateur de "La politique autrement" ? La réponse est non d'abord et oui ensuite. Du moins sur le terrain. C'est toute la pertinence de la question d'Ibrahim Dindar. A un moment ou un autre, "en misouk ou non", "de devant ou de derrière la cuisine" ou non, une partie de la Droite aura besoin de "l'irréductible centriste". Ne serait-ce en cas de second tour des Municipales 2014 à Saint-Louis.
Autre élément en faveur du parlementaire, sa position au Conseil général. Les élus de ce l'on appelle encore par habitude "opposition départementale", sont conscients de la place qu'occupe l'édile de Saint-Leu dans la majorité de Nassimah Dindar. Il n'y avait rien d'innocent dans l'intervention d'Ibrahim Dindar. C'est un constat. La Droite (au moins une partie) devra composer avec Thierry Robert.