
"C’est avec une profonde stupéfaction que je prends connaissance, par la presse, des deux résolutions signées par les bureaux des sections communistes du Port et de La Possession.
De façon simultanée, l’une et l’autre me convient à quitter la deuxième circonscription dont je suis la députée.
Ni mon bilan, ni mon action, à l’Assemblée nationale comme à la Réunion, ne sont en mis en cause.
Dans ces deux résolutions, la décision paraît surtout motivée par la volonté de remporter les deuxième et septième circonscriptions. Je comprends cette volonté, je l’approuve. Je ne suis pas indifférente non plus à la faculté qu’on me prête de pouvoir concourir avec succès dans ces deux circonscriptions.
Par contre, je crois qu’il est de mon devoir de souligner qu’il est indispensable, en ces temps difficiles, d’avoir une stratégie claire si l’on souhaite vraiment remporter la victoire dans les deuxième et septième circonscriptions. Et pourquoi pas dans d’autres ?
C’est précisément parce que, comme le disent eux-mêmes les auteurs de ces résolutions, nous allons affronter une période où les difficultés vont s’accumuler que nous devons ensemble, et de manière transparente, préparer les prochaines échéances électorales de 2012.
Nous le savons tous : le résultat d’une élection n’est jamais assuré.
La sagesse et le sens des responsabilités doivent nous guider dans cette période cruciale pour la Réunion. Nous ne devons en aucun cas contribuer à compliquer la situation.
L’action que je mène dans la deuxième circonscription est reconnue - et je crois appréciée -, par un grand nombre de nos concitoyens. Il est donc non seulement légitime, mais encore raisonnable, que je continue à me présenter dans la deuxième circonscription, dont je suis la sortante.
Je ne doute pas que d’autres candidatures soient faciles à trouver pour la deuxième circonscription. Mais je crois aussi que des hommes et des femmes « issu(e)s de nos rangs » sauront se battre et gagner dans la septième circonscription, surtout si toutes les forces de progrès leur apportent leur soutien exclusif et entier. Ce(tte) candidat(e) pourra compter sur mon soutien actif. J’ai confiance en la jeunesse, y compris en politique.
Je sais que les échéances électorales sont propices à l’invention de toutes sortes de scénarii séduisants. Mais, comme tous les acteurs et comme tous les observateurs de la vie politique réunionnaise, je sais aussi que ce qui est imaginé, et présenté comme imparable pendant les périodes pré-électorales, peut se heurter durement à la réalité des urnes".
De façon simultanée, l’une et l’autre me convient à quitter la deuxième circonscription dont je suis la députée.
Ni mon bilan, ni mon action, à l’Assemblée nationale comme à la Réunion, ne sont en mis en cause.
Dans ces deux résolutions, la décision paraît surtout motivée par la volonté de remporter les deuxième et septième circonscriptions. Je comprends cette volonté, je l’approuve. Je ne suis pas indifférente non plus à la faculté qu’on me prête de pouvoir concourir avec succès dans ces deux circonscriptions.
Par contre, je crois qu’il est de mon devoir de souligner qu’il est indispensable, en ces temps difficiles, d’avoir une stratégie claire si l’on souhaite vraiment remporter la victoire dans les deuxième et septième circonscriptions. Et pourquoi pas dans d’autres ?
C’est précisément parce que, comme le disent eux-mêmes les auteurs de ces résolutions, nous allons affronter une période où les difficultés vont s’accumuler que nous devons ensemble, et de manière transparente, préparer les prochaines échéances électorales de 2012.
Nous le savons tous : le résultat d’une élection n’est jamais assuré.
La sagesse et le sens des responsabilités doivent nous guider dans cette période cruciale pour la Réunion. Nous ne devons en aucun cas contribuer à compliquer la situation.
L’action que je mène dans la deuxième circonscription est reconnue - et je crois appréciée -, par un grand nombre de nos concitoyens. Il est donc non seulement légitime, mais encore raisonnable, que je continue à me présenter dans la deuxième circonscription, dont je suis la sortante.
Je ne doute pas que d’autres candidatures soient faciles à trouver pour la deuxième circonscription. Mais je crois aussi que des hommes et des femmes « issu(e)s de nos rangs » sauront se battre et gagner dans la septième circonscription, surtout si toutes les forces de progrès leur apportent leur soutien exclusif et entier. Ce(tte) candidat(e) pourra compter sur mon soutien actif. J’ai confiance en la jeunesse, y compris en politique.
Je sais que les échéances électorales sont propices à l’invention de toutes sortes de scénarii séduisants. Mais, comme tous les acteurs et comme tous les observateurs de la vie politique réunionnaise, je sais aussi que ce qui est imaginé, et présenté comme imparable pendant les périodes pré-électorales, peut se heurter durement à la réalité des urnes".