
Si Jean-Bernard Caroupaye, président de la FNTR laissait libre cours à son émotion à l'issue de la signature du document, David Lorion, vice-président de la Région Réunion, a défini la portée et la dimension du protocole signé à la pyramide inversée. "C'est une mesure historique car c'est la première fois que l'on met en place un gazole professionnel au sein de la Région Réunion. Un carburant qui va servir à tous les métiers des transports, et aussi aux ambulanciers, aux taxiteurs et aux auto-écoles".
Le délégué aux affaires économiques précise l'application de l'accord. "Pour les transporteurs de marchandises et de voyageurs, c'est cinq centimes par litre, pour les ambulanciers, les taxiteurs et les auto-écoles, c'est six centimes d'euro par litre". David Lorion et sa collectivité veulent avancer avec méthode et prudence. "Dans un premier temps, les dossiers vont être traités par la Région, puis ce sera directement soit par l'ASP, soit par les douanes. Il y aura bien sûr des contrôles et ce pour éviter des dérives".
Selon l'élu, la pérennisation d'un tel accord est nécessaire à la profession. "Le transport est un métier difficile. Nos routes sont complexes, il y a beaucoup d'embouteillages, les donneurs d'ordre ne sont pas si nombreux que cela. ce sont généralement les collectivités locales. Les marchés publics sont connus et ne sont pas à foison".
De son côté, Jean-Bernard Caroupaye a aussi insisté sur l'aspect historique de ce gazole professionnel, et aussi l'engagement du Conseil régional. "Sans la volonté de la Région, on n'y serait pas arrivé. Cela montre l'évolution de la position des différents partenaires. Je sens un autre état d'esprit, une autre philosophie. Quand on vient à la Région, on est vraiment dans la maison du peuple. Je tiens à remercier le président Didier Robert et ses équipes qui ont su mener à bien ce dossier. Et c'est une page de l'histoire du transport qui se tourne".
Le délégué aux affaires économiques précise l'application de l'accord. "Pour les transporteurs de marchandises et de voyageurs, c'est cinq centimes par litre, pour les ambulanciers, les taxiteurs et les auto-écoles, c'est six centimes d'euro par litre". David Lorion et sa collectivité veulent avancer avec méthode et prudence. "Dans un premier temps, les dossiers vont être traités par la Région, puis ce sera directement soit par l'ASP, soit par les douanes. Il y aura bien sûr des contrôles et ce pour éviter des dérives".
Selon l'élu, la pérennisation d'un tel accord est nécessaire à la profession. "Le transport est un métier difficile. Nos routes sont complexes, il y a beaucoup d'embouteillages, les donneurs d'ordre ne sont pas si nombreux que cela. ce sont généralement les collectivités locales. Les marchés publics sont connus et ne sont pas à foison".
De son côté, Jean-Bernard Caroupaye a aussi insisté sur l'aspect historique de ce gazole professionnel, et aussi l'engagement du Conseil régional. "Sans la volonté de la Région, on n'y serait pas arrivé. Cela montre l'évolution de la position des différents partenaires. Je sens un autre état d'esprit, une autre philosophie. Quand on vient à la Région, on est vraiment dans la maison du peuple. Je tiens à remercier le président Didier Robert et ses équipes qui ont su mener à bien ce dossier. Et c'est une page de l'histoire du transport qui se tourne".