
L’adoption ce mercredi du projet de loi sur les emplois d’avenir marque la volonté de ce gouvernement d’ap- porter un début de solutions au chômage des jeunes.
L’Outre-mer : zone prioritaire
Cette loi stipule comme zones prioritaires, les zones urbaines sensibles, les zones de revitalisation rurale mais également les collectivités et départements d’Outre-Mer. Cette inscription dans la loi résulte du travail mené en commission des affaires sociales et de l’adoption d’un amendement déposé en ce sens.
Malgré l’opposition de l’UMP qui demandait l’annulation de l’alinéa 7 qui stipulait cette distinction, le ministre a défendu la néces- sité de prioriser les territoires en fonction des inégalités liées au taux de chômage mais surtout à l’extrême difficulté pour certains jeunes vivant sur ces territoires d’accéder à un bassin d’emplois dans leur quartier.
Un quota d’emplois d’avenir plus important à négocier
Cette reconnaissance montre que la voix de l’Outre-mer à été entendue. Elle a eu pour effet d’élargir le dis- positif aux jeunes diplômés vivant sur ces territoires. Cette inscription devrait permettre de négocier un quota à la hauteur du défi que nous avons à relever.
Une application dès le mois de novembre
Ceci dit, c’est un premier pas vers la prise en compte du chômage des jeunes. Je rappelle que 60 % des jeunes Réunionnais sont touchés par ce fléau qui met à mal notre cohésion sociale et notre vivre ensemble. Un fléau touche de plus en plus nos jeunes diplômés. Il était temps d’agir. Le décret d’application devrait être pris rapidement pour une mise en œuvre au mois de novembre.
L’Outre-mer : zone prioritaire
Cette loi stipule comme zones prioritaires, les zones urbaines sensibles, les zones de revitalisation rurale mais également les collectivités et départements d’Outre-Mer. Cette inscription dans la loi résulte du travail mené en commission des affaires sociales et de l’adoption d’un amendement déposé en ce sens.
Malgré l’opposition de l’UMP qui demandait l’annulation de l’alinéa 7 qui stipulait cette distinction, le ministre a défendu la néces- sité de prioriser les territoires en fonction des inégalités liées au taux de chômage mais surtout à l’extrême difficulté pour certains jeunes vivant sur ces territoires d’accéder à un bassin d’emplois dans leur quartier.
Un quota d’emplois d’avenir plus important à négocier
Cette reconnaissance montre que la voix de l’Outre-mer à été entendue. Elle a eu pour effet d’élargir le dis- positif aux jeunes diplômés vivant sur ces territoires. Cette inscription devrait permettre de négocier un quota à la hauteur du défi que nous avons à relever.
Une application dès le mois de novembre
Ceci dit, c’est un premier pas vers la prise en compte du chômage des jeunes. Je rappelle que 60 % des jeunes Réunionnais sont touchés par ce fléau qui met à mal notre cohésion sociale et notre vivre ensemble. Un fléau touche de plus en plus nos jeunes diplômés. Il était temps d’agir. Le décret d’application devrait être pris rapidement pour une mise en œuvre au mois de novembre.