
"En nommant dans son administration les différents visages de l'Amérique (juif, catholique, Musulman, Latino, black, indien, américains nouvellement naturalisés...).
Ce faisant, et particulièrement en ayant deux noirs (Condoleeza Rice puis Colin Powel) comme Secrétaire d'Etat (le plus prestigieux poste après le président), Georges Bush a fait passer l'idée dans le camp républicain (le plus conservateur) qu'un noir peut devenir le premier des américains.
Ce que je veux dire, c'est que d'une certaine manière, lorsque les républicains ont commencé à percevoir Colin Powel (noir) comme un possible candidat à la succession de Bush (blanc), la voie de l'investiture démocrate s'est plus ouverte à Barak Obama. En gros, Georges Bush a aussi permis l'élection d'Obama par une certaine ouverture d'esprit.
Nicolas Sarkozy a essayé, inconsciemment peut-être, de faire la même chose avec Rachida Dati, Fadela Amara ou Rama Yade. Malheureusement, ce n'était pas des expertes et de vraies politiques, ce qui fait que l'opportunité de l'ouverture psycho-sociale de la société française aux minorités dans les postes à responsabilités a été plus ou moins ratée.
Le président de la République, accueilli en héros dans le monde lybien (et peut-être demain en Syrie), a l'opportunité extraordinaire de donner une fierté d'être vraiment français à des fils et filles d'immigrés arabes : il lui faut soutenir la demande de création d'un Etat Palestinien à l'ONU vendredi.
C'est une démarche lourde de conséquences sur le plan international; mais sur le plan intérieur, c'est l'occasion pour lui d'être un héros pour les français qui se sont sentis méprisés par une politique sécuritaire et un discours d'exclusion durant son mandat !
Je suis pour un Etat Palestinien car les Israéliens ne peuvent nier à un peuple ce qu'ils ont toujours recherché: une terre pour leur peuple, un Etat pour mieux vivre !
Si j'ai pris l'exemple américain pour arriver à la Palestine, c'est que dans la vie politique, les mots et les actions peuvent mourir, mais jamais lorsqu'ils deviennent des symboles !"
Ce faisant, et particulièrement en ayant deux noirs (Condoleeza Rice puis Colin Powel) comme Secrétaire d'Etat (le plus prestigieux poste après le président), Georges Bush a fait passer l'idée dans le camp républicain (le plus conservateur) qu'un noir peut devenir le premier des américains.
Ce que je veux dire, c'est que d'une certaine manière, lorsque les républicains ont commencé à percevoir Colin Powel (noir) comme un possible candidat à la succession de Bush (blanc), la voie de l'investiture démocrate s'est plus ouverte à Barak Obama. En gros, Georges Bush a aussi permis l'élection d'Obama par une certaine ouverture d'esprit.
Nicolas Sarkozy a essayé, inconsciemment peut-être, de faire la même chose avec Rachida Dati, Fadela Amara ou Rama Yade. Malheureusement, ce n'était pas des expertes et de vraies politiques, ce qui fait que l'opportunité de l'ouverture psycho-sociale de la société française aux minorités dans les postes à responsabilités a été plus ou moins ratée.
Le président de la République, accueilli en héros dans le monde lybien (et peut-être demain en Syrie), a l'opportunité extraordinaire de donner une fierté d'être vraiment français à des fils et filles d'immigrés arabes : il lui faut soutenir la demande de création d'un Etat Palestinien à l'ONU vendredi.
C'est une démarche lourde de conséquences sur le plan international; mais sur le plan intérieur, c'est l'occasion pour lui d'être un héros pour les français qui se sont sentis méprisés par une politique sécuritaire et un discours d'exclusion durant son mandat !
Je suis pour un Etat Palestinien car les Israéliens ne peuvent nier à un peuple ce qu'ils ont toujours recherché: une terre pour leur peuple, un Etat pour mieux vivre !
Si j'ai pris l'exemple américain pour arriver à la Palestine, c'est que dans la vie politique, les mots et les actions peuvent mourir, mais jamais lorsqu'ils deviennent des symboles !"