Vendredi 10 février, en Préfecture, M. Richard-Daniel BOISSON, Sous-Préfet à la Cohésion Sociale et à la Jeunesse, au nom de l’Etat, a signé, avec les représentants des sept organismes de logement social de La Réunion, SIDR – SHLMR – SEMADER – SODIAC – SEDRE – SEMAC – SODEGIS, une nouvelle convention relative au contingent préfectoral de réservation de logements sociaux.
Par cette convention, les bailleurs se sont engagés à réserver chaque année 30% des nouveaux logements de leur parc au contingent préfectoral, au lieu des 20% inscrits dans la précédente convention. Ceci permettra d’augmenter de 50% le nombre de logements futurs attribués au contingent préfectoral.
Le contingent préfectoral est aujourd’hui un des outils essentiels de la stratégie du « logement d’abord » développée par l’Etat : améliorer la réponse aux personnes les plus démunies privées de logement personnel en favorisant autant que possible l’accès direct à un logement pérenne.
Mis en place en 1994, le contingent préfectoral comprend des logements dont l’affectation est gérée par l’Etat. Il s’agit de proposer aux bailleurs de loger des familles particulièrement défavorisées dont les situations ont été signalées par les services sociaux. Le contingent préfectoral est par conséquent réservé aux personnes les plus prioritaires parmi celles qui sollicitent l’attribution d’un logement social.
Cette possibilité, accordée au représentant de l’Etat, constitue la contrepartie de la participation de l’Etat au financement du parc de logements sociaux. Il existe également un contingent de logement pour les communes, la CAF, le Conseil Général et les organismes collecteurs du « 1% logement ».
La gestion du contingent préfectoral est assurée depuis janvier 2011 par la direction de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale de La Réunion (DJSCS).
Chiffres clés du contingent préfectoral
- Croissance moyenne annuelle depuis 1994 de 240 logements
- En 2011, croissance plus forte : 500 logements supplémentaires, liée à l’augmentation de la production de logements sociaux sur le département.
- Au 1er janvier 2012, le contingent Préfectoral pour l’ensemble de l’île de la Réunion dépasse les 6000 logements répartis sur l’ensemble du territoire pour un parc de 55 000 logements.
Par cette convention, les bailleurs se sont engagés à réserver chaque année 30% des nouveaux logements de leur parc au contingent préfectoral, au lieu des 20% inscrits dans la précédente convention. Ceci permettra d’augmenter de 50% le nombre de logements futurs attribués au contingent préfectoral.
Le contingent préfectoral est aujourd’hui un des outils essentiels de la stratégie du « logement d’abord » développée par l’Etat : améliorer la réponse aux personnes les plus démunies privées de logement personnel en favorisant autant que possible l’accès direct à un logement pérenne.
Mis en place en 1994, le contingent préfectoral comprend des logements dont l’affectation est gérée par l’Etat. Il s’agit de proposer aux bailleurs de loger des familles particulièrement défavorisées dont les situations ont été signalées par les services sociaux. Le contingent préfectoral est par conséquent réservé aux personnes les plus prioritaires parmi celles qui sollicitent l’attribution d’un logement social.
Cette possibilité, accordée au représentant de l’Etat, constitue la contrepartie de la participation de l’Etat au financement du parc de logements sociaux. Il existe également un contingent de logement pour les communes, la CAF, le Conseil Général et les organismes collecteurs du « 1% logement ».
La gestion du contingent préfectoral est assurée depuis janvier 2011 par la direction de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale de La Réunion (DJSCS).
Chiffres clés du contingent préfectoral
- Croissance moyenne annuelle depuis 1994 de 240 logements
- En 2011, croissance plus forte : 500 logements supplémentaires, liée à l’augmentation de la production de logements sociaux sur le département.
- Au 1er janvier 2012, le contingent Préfectoral pour l’ensemble de l’île de la Réunion dépasse les 6000 logements répartis sur l’ensemble du territoire pour un parc de 55 000 logements.