
"Je me permets de réagir en tant que consommatrice avertie. J'aime les plantes et surtout les plantes médicinales et aromatiques.
Cela fait maintenant sept ans que je suis consommatrice de cannabis. Je fume. J'ai appris à réguler ma consommation contrairement à quand j'étais plus jeune. Je ne fume plus que le soir et les week ends. Le cannabis est pour moi mon moment de détente, comme la petit apéro qu'on prend en rentrant d'une journée de dur labeur.
D'ailleurs c'est grâce au "zamal" que j'ai réduit ma consommation d'apéro. Terminé pour moi les lendemains de soirée avec la crise de foi et la gueule de bois. L'alcool est plus nocif. Et pourtant n'importe qui peut en avoir la quantité qu'il souhaite non ?
Ce qui est injuste c'est que les effets de l'alcool sont plus dévastateurs. Le cannabis n'est pas aussi dangereux qu'on veut bien nous le faire croire. Il ne fait pas de quelqu'un un monstre capable de tout et n'importe quoi. Exactement comme l'alcool, il désinhibe, mais il ne donne pas de pulsions meurtrières ou dangereuses.
Ensuite un autre préjugé, il concerne les consommateurs de cannabis. Il y a en a dans tous les milieux. Dans mon cercle d'amis fumeurs de "weed", j'e fréquente des avocats, psychologues, professeurs d'école et j'en passe. On peut être un fumeur de joints et avoir un brillant avenir professionnel (et pas seulement dans la musique ou le cinéma !)
On devrait avoir le droit d'en consommer librement parce que c'est avant tout une plante aux milles vertues. Nos grands-mères à La Réunion l'utilisent et elles seront d'accord à mon avis avec les études américaines qui parlent du cannabis comme remède miracle contre l'insomnie, les rhumatismes et les douleurs articulaires, l'anorexie... Il y en aurait tellement à citer. Je vous invite à lire l'article de Paul Benkimoun qui l'explique mieux que moi "Les vertus médicales du cannabis redécouvertes".
Qui osera pointer du doigt le vrai problème ? Et c'est pas le petit gars qu'on appelle dealer, qui a pris trois mois pour deux pieds ? Quel élu voudra bien se mouiller face aux dangers que représente la pilule contraceptive, du Médiator ou encore d'autres drogues délivrées sur ordonnance ?
Cela fait maintenant sept ans que je suis consommatrice de cannabis. Je fume. J'ai appris à réguler ma consommation contrairement à quand j'étais plus jeune. Je ne fume plus que le soir et les week ends. Le cannabis est pour moi mon moment de détente, comme la petit apéro qu'on prend en rentrant d'une journée de dur labeur.
D'ailleurs c'est grâce au "zamal" que j'ai réduit ma consommation d'apéro. Terminé pour moi les lendemains de soirée avec la crise de foi et la gueule de bois. L'alcool est plus nocif. Et pourtant n'importe qui peut en avoir la quantité qu'il souhaite non ?
Ce qui est injuste c'est que les effets de l'alcool sont plus dévastateurs. Le cannabis n'est pas aussi dangereux qu'on veut bien nous le faire croire. Il ne fait pas de quelqu'un un monstre capable de tout et n'importe quoi. Exactement comme l'alcool, il désinhibe, mais il ne donne pas de pulsions meurtrières ou dangereuses.
Ensuite un autre préjugé, il concerne les consommateurs de cannabis. Il y a en a dans tous les milieux. Dans mon cercle d'amis fumeurs de "weed", j'e fréquente des avocats, psychologues, professeurs d'école et j'en passe. On peut être un fumeur de joints et avoir un brillant avenir professionnel (et pas seulement dans la musique ou le cinéma !)
On devrait avoir le droit d'en consommer librement parce que c'est avant tout une plante aux milles vertues. Nos grands-mères à La Réunion l'utilisent et elles seront d'accord à mon avis avec les études américaines qui parlent du cannabis comme remède miracle contre l'insomnie, les rhumatismes et les douleurs articulaires, l'anorexie... Il y en aurait tellement à citer. Je vous invite à lire l'article de Paul Benkimoun qui l'explique mieux que moi "Les vertus médicales du cannabis redécouvertes".
Qui osera pointer du doigt le vrai problème ? Et c'est pas le petit gars qu'on appelle dealer, qui a pris trois mois pour deux pieds ? Quel élu voudra bien se mouiller face aux dangers que représente la pilule contraceptive, du Médiator ou encore d'autres drogues délivrées sur ordonnance ?