L'opposition départementale va-t-elle faire entendre sa voix, lors de la discussion des orientations budgétaires ? car, il est évident que la majorité aura un argument percutant : le désengagement de l'Etat. Sa dette vis-à-vis du Conseil général, pour les multiples non-compensations, et ce depuis 2004, s'élèvera à la fin de cette année, à 500 millions d'€.
Et, quid de la dotation de l'Etat dans un contexte économique, social et financier de plus en plus restreint ? En matière de recettes, "nous sommes passés de quatre taxes à une seule". Toutefois, le budget 2012 devrait rester autour d'1,4 milliard d'€, comme en 2011. Globalement, le Conseil général maintiendra ses dispositifs d'aide sociale.
Nassimah Dindar l'a répété à plusieurs reprises, "l'institution départementale veut être au plus près des publics les plus fragiles". Sur d'autres lignes budgétaires, la présidente devra malgré tout arbitrer entre les politiques jugés aujourd'hui obsolètes, et le besoin de financement ou de renforcement d'autres aspects de sa politique.
L'un des secteurs que la majorité départementale souhaite préserver, c'est l'investissement. L'enveloppe est de 180 millions d'€ pour cette année. Nassimah Dindar et son équipe souhaitent que le Conseil général puisse continuer à apporter de l'activité à l'économie locale. Ce qui devrait aussi permettre à l'institution de développer son dispositif d'insertion sociale et professionnelle, surtout pour les jeunes.
Et, quid de la dotation de l'Etat dans un contexte économique, social et financier de plus en plus restreint ? En matière de recettes, "nous sommes passés de quatre taxes à une seule". Toutefois, le budget 2012 devrait rester autour d'1,4 milliard d'€, comme en 2011. Globalement, le Conseil général maintiendra ses dispositifs d'aide sociale.
Nassimah Dindar l'a répété à plusieurs reprises, "l'institution départementale veut être au plus près des publics les plus fragiles". Sur d'autres lignes budgétaires, la présidente devra malgré tout arbitrer entre les politiques jugés aujourd'hui obsolètes, et le besoin de financement ou de renforcement d'autres aspects de sa politique.
L'un des secteurs que la majorité départementale souhaite préserver, c'est l'investissement. L'enveloppe est de 180 millions d'€ pour cette année. Nassimah Dindar et son équipe souhaitent que le Conseil général puisse continuer à apporter de l'activité à l'économie locale. Ce qui devrait aussi permettre à l'institution de développer son dispositif d'insertion sociale et professionnelle, surtout pour les jeunes.











