
"A la suite de la rencontre qui s’était déroulée à Bellevue il y a deux semaines, les services de la mairie ont mis en place les mesures pour répondre à la demande d’emploi soulevée par les jeunes du quartier, notamment par le recours au quota de contrats aidés, l’élargissement des effectifs dans le domaine de l’aide à la personne, et la mise en place de contrats d’avenir. Ces mesures sont en train d’être appliquées.
Apprenant que d’autres personnes allaient bénéficier de mesures, un groupe a, samedi 23 février, retenu l'élue de Bellevue dans la maison de quartier. Ayant la responsabilité de toute la commune de Saint-Louis et de La Rivière, le maire n’a plus l’intention de se rendre sur les mêmes lieux pour régler les mêmes problèmes.
De plus, les formes d’action, qui consistent à faire pression sur le maire, en séquestrant l’une de ces élues, sont inacceptables, et passibles de lourdes condamnations. Le maire précise donc qu’il ne se rendra pas à Bellevue, et rappelle chacun à ses responsabilités en matière d’ordre public.
Compte tenu de la tendance au harcèlement et au chantage, qui consiste à élever des barrages pour faire pression sur la municipalité, le maire précise qu’il ne se rendra plus sur aucun barrage. Il ne serait pas acceptable que ceux qui, sereinement, attendent soient lésés. Il n’y aura pas de prime à ceux qui attentent aux biens et aux personnes, et entravent la liberté de circulation".
Apprenant que d’autres personnes allaient bénéficier de mesures, un groupe a, samedi 23 février, retenu l'élue de Bellevue dans la maison de quartier. Ayant la responsabilité de toute la commune de Saint-Louis et de La Rivière, le maire n’a plus l’intention de se rendre sur les mêmes lieux pour régler les mêmes problèmes.
De plus, les formes d’action, qui consistent à faire pression sur le maire, en séquestrant l’une de ces élues, sont inacceptables, et passibles de lourdes condamnations. Le maire précise donc qu’il ne se rendra pas à Bellevue, et rappelle chacun à ses responsabilités en matière d’ordre public.
Compte tenu de la tendance au harcèlement et au chantage, qui consiste à élever des barrages pour faire pression sur la municipalité, le maire précise qu’il ne se rendra plus sur aucun barrage. Il ne serait pas acceptable que ceux qui, sereinement, attendent soient lésés. Il n’y aura pas de prime à ceux qui attentent aux biens et aux personnes, et entravent la liberté de circulation".