
"En ce jour anniversaire du renversement d’un gouvernement légitime par une junte militaire d’extrême-droite, soutenue et financée par le gouvernement des Etats-Unis dans le cadre du Plan Condor (cf : http://www.rfi.fr/ameriques/20130306-argentine-condor-proces-videla-pinochet), le PG Réunion tient à honorer la mémoire de nos camarades chiliens, et latino-américains, assassinés et torturés parce qu’ils s’opposaient au capitalisme et à l’impérialisme dans leur pays.
Nous avons partagé, et partageons toujours, leur combat et voulons rappeler la responsabilité d’une partie de la droite et de l’armée française qui a collaboré activement à l’époque avec le régime meurtrier de Pinochet, exportant même les méthodes de tortures appliquée pendant par la Bataille d’Alger par le Colonel Massu, de sinistre mémoire. Nous n’oublions pas ceux de nos compatriotes qui ont souillé la République Française du sang du peuple chilien.
Plus jamais ça
A l’heure où le Proconsul Kerry n’a toujours pas reconnu l’élection du camarade Maduro au Venezuela ; au contraire d’Hillary Clinton qui a toujours reconnu le caractère "excessivement démocratique" , pour reprendre les mots de Lula, de la révolution citoyenne en cours depuis quinze ans au Venezuela ; et où la France emboîte servilement le pas à un impérialisme américain aussi brouillon que belliqueux en Amérique Latine comme au Moyen-Orient : nous affirmons que la France doit continuer d’incarner le respect du droit international et respecter la liberté des peuples – et non la liberté des capitaux comme le fait le gouvernement actuel- à se gouverner eux-mêmes, sans ingérence extérieure.
De la même manière nous militons pour la création d’instances de coopération régionales - à l’image de l’ALBA, Petrocaribe et autre UNASUR en Amérique Latine - qui garantissent la souveraineté de chaque pays sur ses ressources naturelles et les droits humains et écologiques fondamentaux. Notre dette envers Salvador Allende et toute cette génération sacrifiée sur l’autel du capitalisme et de l’impérialisme est immense.
En ce jour le cœur de chaque internationaliste, de chaque révolutionnaire, de chaque démocrate humaniste, est lourd lorsqu’il entend les dernières paroles de cet homme digne et intègre jusque dans la mort et se souvient de la folie meurtrière qui s’est alors emparée du gouvernement fasciste de Pinochet soutenu par les gouvernements occidentaux, entraînant la mort de 45 000 chiliens tués pour leurs opinions politiques.
Camarade Allende, comme tu le dis si bien nous continuons à t’entendre car tu es toujours à nos côtés, dans nos cœurs et nos esprits. La graine que vous avez semée dans les consciences, ton peuple et toi, a donné naissance aux révolutions citoyennes, pacifiques et démocratiques qui balaient les oligarchies prédatrices-relais de l’impérialisme- partout en Amérique Latine…et bientôt en Europe.
El pueblo unido jamas sera vencido"
Le dernier discours de Salvador Allende : http://www.youtube.com/watch?v=ufHIrEEl0_o&feature=shar
Nous avons partagé, et partageons toujours, leur combat et voulons rappeler la responsabilité d’une partie de la droite et de l’armée française qui a collaboré activement à l’époque avec le régime meurtrier de Pinochet, exportant même les méthodes de tortures appliquée pendant par la Bataille d’Alger par le Colonel Massu, de sinistre mémoire. Nous n’oublions pas ceux de nos compatriotes qui ont souillé la République Française du sang du peuple chilien.
Plus jamais ça
A l’heure où le Proconsul Kerry n’a toujours pas reconnu l’élection du camarade Maduro au Venezuela ; au contraire d’Hillary Clinton qui a toujours reconnu le caractère "excessivement démocratique" , pour reprendre les mots de Lula, de la révolution citoyenne en cours depuis quinze ans au Venezuela ; et où la France emboîte servilement le pas à un impérialisme américain aussi brouillon que belliqueux en Amérique Latine comme au Moyen-Orient : nous affirmons que la France doit continuer d’incarner le respect du droit international et respecter la liberté des peuples – et non la liberté des capitaux comme le fait le gouvernement actuel- à se gouverner eux-mêmes, sans ingérence extérieure.
De la même manière nous militons pour la création d’instances de coopération régionales - à l’image de l’ALBA, Petrocaribe et autre UNASUR en Amérique Latine - qui garantissent la souveraineté de chaque pays sur ses ressources naturelles et les droits humains et écologiques fondamentaux. Notre dette envers Salvador Allende et toute cette génération sacrifiée sur l’autel du capitalisme et de l’impérialisme est immense.
En ce jour le cœur de chaque internationaliste, de chaque révolutionnaire, de chaque démocrate humaniste, est lourd lorsqu’il entend les dernières paroles de cet homme digne et intègre jusque dans la mort et se souvient de la folie meurtrière qui s’est alors emparée du gouvernement fasciste de Pinochet soutenu par les gouvernements occidentaux, entraînant la mort de 45 000 chiliens tués pour leurs opinions politiques.
Camarade Allende, comme tu le dis si bien nous continuons à t’entendre car tu es toujours à nos côtés, dans nos cœurs et nos esprits. La graine que vous avez semée dans les consciences, ton peuple et toi, a donné naissance aux révolutions citoyennes, pacifiques et démocratiques qui balaient les oligarchies prédatrices-relais de l’impérialisme- partout en Amérique Latine…et bientôt en Europe.
El pueblo unido jamas sera vencido"
Le dernier discours de Salvador Allende : http://www.youtube.com/watch?v=ufHIrEEl0_o&feature=shar