
1949-2013 : 64 ans déjà, que Le Monde commémore la date du 02 Décembre, adoptée par l’Assemblée Générale des Nations Unies, pour la répression et l’abolition de la traite des êtres humains et de l’exploitation de la prostitution d’autrui.
Où en sommes-nous 64 ans après, et comment célébrons-nous cette journée à La Réunion en nous inspirant de l’esprit de l’abolition de la traite des Noirs ?
Comment menons-nous le combat de manière permanente, contre toutes les formes d’esclavage moderne, qui privent de très nombreux êtres humains de leurs libertés, et de leurs droits les plus élémentaires à la dignité, au travail libre, à la vie tout simplement ?
L’actualité récente en Grande Bretagne, nous apprend que « deux sexagénaires ont séquestré 3 femmes pendant 30 ans à Londres, et pourraient être à la tête d’un réseau de trafic d’êtres humains »…
C’est un rappel à admettre que l’esclavage et la servitude restent encore trop fréquents, cachés sous des appellations de travail obligatoire, travail forcé, exploitation de la main d’œuvre enfantine…
Aujourd’hui encore, le poids inique et injuste de la dette, les agressions quotidiennes contre les droits de l’homme, la détérioration des termes de l’échange, l’exploitation sexuelle dont sont victimes les enfants, la prostitution des femmes, sont autant de formes de privation de liberté synonymes d’un esclavage type moderne.
Je souhaite, à cette occasion, sensibiliser l’opinion publique, sur les graves violations des libertés individuelles, en particulier, le trafic d’enfants et de femmes, et lancer un appel pour partager et développer la réflexion sur la nécessaire mobilisation de tous les secteurs de la société, pour combattre ce fléau !
En ce jour, je pense notamment à Madagascar, qui fait partie des pays victimes de cette forme d’esclavage moderne.
Vivement que La Réunion porte particulièrement la célébration de cette date du 02 décembre, qui échappe encore à de nombreux Réunionnais.
Telle est ma contribution à l’occasion de cette Journée Mondiale pour l’abolition de l’esclavage !
Où en sommes-nous 64 ans après, et comment célébrons-nous cette journée à La Réunion en nous inspirant de l’esprit de l’abolition de la traite des Noirs ?
Comment menons-nous le combat de manière permanente, contre toutes les formes d’esclavage moderne, qui privent de très nombreux êtres humains de leurs libertés, et de leurs droits les plus élémentaires à la dignité, au travail libre, à la vie tout simplement ?
L’actualité récente en Grande Bretagne, nous apprend que « deux sexagénaires ont séquestré 3 femmes pendant 30 ans à Londres, et pourraient être à la tête d’un réseau de trafic d’êtres humains »…
C’est un rappel à admettre que l’esclavage et la servitude restent encore trop fréquents, cachés sous des appellations de travail obligatoire, travail forcé, exploitation de la main d’œuvre enfantine…
Aujourd’hui encore, le poids inique et injuste de la dette, les agressions quotidiennes contre les droits de l’homme, la détérioration des termes de l’échange, l’exploitation sexuelle dont sont victimes les enfants, la prostitution des femmes, sont autant de formes de privation de liberté synonymes d’un esclavage type moderne.
Je souhaite, à cette occasion, sensibiliser l’opinion publique, sur les graves violations des libertés individuelles, en particulier, le trafic d’enfants et de femmes, et lancer un appel pour partager et développer la réflexion sur la nécessaire mobilisation de tous les secteurs de la société, pour combattre ce fléau !
En ce jour, je pense notamment à Madagascar, qui fait partie des pays victimes de cette forme d’esclavage moderne.
Vivement que La Réunion porte particulièrement la célébration de cette date du 02 décembre, qui échappe encore à de nombreux Réunionnais.
Telle est ma contribution à l’occasion de cette Journée Mondiale pour l’abolition de l’esclavage !