
Un emploi en C.D.D. c'est : une vie de galère : la précarité. Voir les études faites par les sociolgues. Occupé un emploi, n'est pas exercer un métier. Toutes les travailleuses, tous les travailleurs savent mieux que quiconque que : J' occupe un emploi parce que "je dois manger', "je dois faire vivre ma famille". J'accepte...je suis dans l'obligation.
L'emploi , les créations des emplois ne se décrètent pas . La situation économique de notre ILE est importante. Nos entreprises : c'est la réalité. Les études faites par nos chercheurs de l'INSEE : c'est de la réalité. Vouloir "décider" seules, seuls est un signe de la méconnaissance des ces réalités.C'est "parer" à l'urgence et non préparer un avenir économique pour La Réunion.
Aujourd'hui, il m'est permis de "parler". J'ai été pendant des années à la direction d'un Grand Service de l'Emploi. J'ai eu comme Ministre, Madame Aubry. Je garde de ce Ministre ce sentiment "qu'elle sait tout. Tout". Et que nous les "conseillers"- "techniciens" Hauts Responsables, celles et ceux qui vivent la réalité de l'emploi au quotidien : nos contacts avec les chef d'entreprise, avec les organisations professionnelles-les fédérations- nos travaux avec le Monde de l'entreprise: les salariées, les salariés, et leurs représentants; les associations… "Je m'en moque".
Nous avons été les premiers à alerter "ses" services de l'erreur de vouloir considérer des secteurs professionnels comme la restauration, le secteur du Tourisme et autres , comme tous les autres secteurs : pour l'application des 35 heures.
Nous avons "alerté" ses services sur ces "emploi jeunes". Nous avons proposé des réponses afin que ces jeunes ne soient pas encore une fois "bernées, bernés". J'ai personnellement en tant que Réunionnais organisé des cours pour que nos jeunes Réunionnaises et Réunionnais puissent passer des concours- tout un programme en collaboration avec l' A.N.P.E. le C.N.A.R.M. et l' association A.O.M.- Il faut savoir "mouiller sa chemise". La diretion Parisienne du CNARM et de l' antenne du Conseil Général à PARIS peuvent en témoigner.
Non l'emploi ne se décrète pas comme "la magie de demain". Et puis vous annoncez 10 000 emplois Quels emplois ? Savez-vous combien de jeunes Réunionnaises et jeunes Réunionnais sortent du système scolaire chaque année? Combien ? Et puis 10 000 emplois pour combien de jeunes chômeuses , chômeurs, inscrites, inscrits aujourd'hui ?
Je suis scandalisé quand je lis avec beaucoup d'intérêt les publications de nos chercheurs de l'I.N.S.E.E. J'ai publié ces chiffres dans des articles écrits pendant cette campagne cantonale à La Réunion, comme porte- parole du collectif "oubli pa nou".
Mesdames, Messieurs : soyons responsables comme vous le dites. L'emploi est la première préoccupation des Réunionnaises et des Réunionnais. Ce n'est pas le" jardin secret "de tel ou tel parti politique. La situation de l'emploi éxige que toutes les femmes responsables que tous les hommes responsables se doivent d'être rassemblées, rassemblés pour trouver une solution humaine à nos compatriotes. Aucun parti politique. Aucune organisation syndicale patronale ou salariée.
Aucune association. Oui la situation de l'emploi dans notre Ile exige de nous, de nous toutes, de nous tous, de "nous mettre autour d'une table et de travailler ensemble" . C'est une exigence. Cette exigence nous est réclamée par celles et ceux qui souffrent...par ces plus de 100 000 compatriotes qui sont inscrits à POLE EMPLOI, par ces jeunes qui demain vont "sortir" de la vie scolaire, de ces prochains "nouveaux arrivants " dans notre Ile...
J'ai en tant qu'Administrateur de classe exceptionnel de ce Grand Service de l'Emploi été souvent sollicité par les Préfets de Région ou par les Préfets de département pour mener des études , des réflexions et surtout "'être concret" : des propositions réalistes. J'ai toujours appris que c'est en mutualisant nos connaissances, nos forces et nos convictions que des réponses sont trouvées.
Employeurs. Syndicalistes. Chercheurs. Techniciens de l'emploi. Responsables politiques.Responsables associatifs. Voilà les bases sur lesquelles nous devons travailler. Une exigence d'aujourd'hui.
Je suis disposé à vous rencontrer lors de mon séjour dans notre Ile. Septembre -octobre 2011. Je vous décrirai tout ce que nous avons fait. Nous avons essayé. Lorsque un climat de confiance et de responsabilité a été "ressenti" et "montré": nous avons fait du beau travail. Il est vrai que je suis animé que par un seul souci: une solution humaine . Rien d'autre.
Si vous aussi vous souhaitez trouver une solution humaine alors répondez à cette lettre et je vous communiquerai mon adresse. Je serai heureux de vous rencontrer, de travailler ensemble dans l'intérêt de nos compatriotes qui souffrent.
Soyez assurées, Mesdames, soyez assurés, Messieurs, de mon dévouement réunionnais.
L'emploi , les créations des emplois ne se décrètent pas . La situation économique de notre ILE est importante. Nos entreprises : c'est la réalité. Les études faites par nos chercheurs de l'INSEE : c'est de la réalité. Vouloir "décider" seules, seuls est un signe de la méconnaissance des ces réalités.C'est "parer" à l'urgence et non préparer un avenir économique pour La Réunion.
Aujourd'hui, il m'est permis de "parler". J'ai été pendant des années à la direction d'un Grand Service de l'Emploi. J'ai eu comme Ministre, Madame Aubry. Je garde de ce Ministre ce sentiment "qu'elle sait tout. Tout". Et que nous les "conseillers"- "techniciens" Hauts Responsables, celles et ceux qui vivent la réalité de l'emploi au quotidien : nos contacts avec les chef d'entreprise, avec les organisations professionnelles-les fédérations- nos travaux avec le Monde de l'entreprise: les salariées, les salariés, et leurs représentants; les associations… "Je m'en moque".
Nous avons été les premiers à alerter "ses" services de l'erreur de vouloir considérer des secteurs professionnels comme la restauration, le secteur du Tourisme et autres , comme tous les autres secteurs : pour l'application des 35 heures.
Nous avons "alerté" ses services sur ces "emploi jeunes". Nous avons proposé des réponses afin que ces jeunes ne soient pas encore une fois "bernées, bernés". J'ai personnellement en tant que Réunionnais organisé des cours pour que nos jeunes Réunionnaises et Réunionnais puissent passer des concours- tout un programme en collaboration avec l' A.N.P.E. le C.N.A.R.M. et l' association A.O.M.- Il faut savoir "mouiller sa chemise". La diretion Parisienne du CNARM et de l' antenne du Conseil Général à PARIS peuvent en témoigner.
Non l'emploi ne se décrète pas comme "la magie de demain". Et puis vous annoncez 10 000 emplois Quels emplois ? Savez-vous combien de jeunes Réunionnaises et jeunes Réunionnais sortent du système scolaire chaque année? Combien ? Et puis 10 000 emplois pour combien de jeunes chômeuses , chômeurs, inscrites, inscrits aujourd'hui ?
Je suis scandalisé quand je lis avec beaucoup d'intérêt les publications de nos chercheurs de l'I.N.S.E.E. J'ai publié ces chiffres dans des articles écrits pendant cette campagne cantonale à La Réunion, comme porte- parole du collectif "oubli pa nou".
Mesdames, Messieurs : soyons responsables comme vous le dites. L'emploi est la première préoccupation des Réunionnaises et des Réunionnais. Ce n'est pas le" jardin secret "de tel ou tel parti politique. La situation de l'emploi éxige que toutes les femmes responsables que tous les hommes responsables se doivent d'être rassemblées, rassemblés pour trouver une solution humaine à nos compatriotes. Aucun parti politique. Aucune organisation syndicale patronale ou salariée.
Aucune association. Oui la situation de l'emploi dans notre Ile exige de nous, de nous toutes, de nous tous, de "nous mettre autour d'une table et de travailler ensemble" . C'est une exigence. Cette exigence nous est réclamée par celles et ceux qui souffrent...par ces plus de 100 000 compatriotes qui sont inscrits à POLE EMPLOI, par ces jeunes qui demain vont "sortir" de la vie scolaire, de ces prochains "nouveaux arrivants " dans notre Ile...
J'ai en tant qu'Administrateur de classe exceptionnel de ce Grand Service de l'Emploi été souvent sollicité par les Préfets de Région ou par les Préfets de département pour mener des études , des réflexions et surtout "'être concret" : des propositions réalistes. J'ai toujours appris que c'est en mutualisant nos connaissances, nos forces et nos convictions que des réponses sont trouvées.
Employeurs. Syndicalistes. Chercheurs. Techniciens de l'emploi. Responsables politiques.Responsables associatifs. Voilà les bases sur lesquelles nous devons travailler. Une exigence d'aujourd'hui.
Je suis disposé à vous rencontrer lors de mon séjour dans notre Ile. Septembre -octobre 2011. Je vous décrirai tout ce que nous avons fait. Nous avons essayé. Lorsque un climat de confiance et de responsabilité a été "ressenti" et "montré": nous avons fait du beau travail. Il est vrai que je suis animé que par un seul souci: une solution humaine . Rien d'autre.
Si vous aussi vous souhaitez trouver une solution humaine alors répondez à cette lettre et je vous communiquerai mon adresse. Je serai heureux de vous rencontrer, de travailler ensemble dans l'intérêt de nos compatriotes qui souffrent.
Soyez assurées, Mesdames, soyez assurés, Messieurs, de mon dévouement réunionnais.