Le samedi 12 novembre plusieurs personnalités et associations ont rendu un hommage à ces hommes pour qui l\'humanité a été bafouée, la liberté volée.
Pendant que certains, émus ont laissé un bouquet de fleurs à la mémoire de leurs ancêtres,d\'autres personnes encadrées par l\'association Miaro ont rendu un hommage selon les croyances et les coutumes funéraires des esclaves.
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La semaine créole est le moment pour partager et faire découvrir notre façon de vivre à La Réunion.
Le respect de nos ainés, notre conception de la famille, de l’éducation, notre langue qui est encore et pour longtemps je l’espère le moyen le plus sûr pour transmettre notre histoire, nos valeurs, nos coutumes et toutes les images qui vont avec.
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Ici même, dans notre île, ce système a changé de forme, à chaque fois que cela a été nécessaire.
Nous sommes passés de l\'esclavage à l\'engagisme sans transition, toujours pour le profit d\'un petit nombre au dépend d\'un plus grand nombre.
Rare sont les médias de l\'époque qui n\'étaient pas au service de ce petit nombre !
Et quel soulèvement possible dans cette île-prison aux murs couleur océan ?
Aujourd\'hui grâce à tous les moyens de communications modernes et technologiques, l’information circule plus rapidement et permet à chacun de connaître toutes sortes d\'informations et d\'évènements.
Dans ce contexte de crise mondiale, la rue s\'indigne.
Les gouvernements actuels ont du mal à cacher et à contenir ces mouvements populaires.
Et l\'exemple de ces contestations possibles ailleurs entraînent une chaîne ou une cascade d\'événements souvent violents à travers les capitales d\'Afrique, d\'Europe, d\'Amérique.
Cette société ultralibérale a perdu l’écoute des citoyens.
Les hommes s\'en remettent tout à coup à leur boussole personnelle. Ils n\'ont plus confiance dans les capitaines d\'hier, adulés par ces mêmes médias trop fiers de cirer les bottes des grands gourmands de ce monde.
Si aujourd\'hui nous avons la conscience d\'un monde commun, il ne faut surtout pas refuser la mondialisation mais y inclure toutes nos valeurs les plus chères, nos repères, nos appartenances.
Nous nous devons de participer à cette marche, pas en la subissant mais en y étant des acteurs fiers.
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Ce radier qui relie le centre ville aux quartiers de Sainte Suzanne sur la RN 2002, d\'une longueur de 80 m est submergé en moyenne 30 jours par an rendant son franchissement impossible.
La fermeture à la circulation de ce radier paralyse lourdement les dépacements sur notre territoire. Les services de secours sont alors limités dans leur efficacité.
De plus, il s\'agit aussi de mettre en adéquation cet accès avec le projet d’aménagement du site du Bocage réalisé par la CINOR.
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