Notre fédération, au vu des courriers qui nous ont été adressés, condamne l’attitude et les propos tenus envers des enseignantes de la part d’un chef d’établissement, supérieur hiérarchique et représentant de l’Etat devant les élèves.
Sur la Langue Culture Régionale, la FCPE nationale avait été saisie de cette situation en 2009 et avait rencontré à l’époque Monsieur Patrick Karam, délégué interministériel à l’outre- mer à ce sujet qui lui-même avait alerté Monsieur Xavier DARCOS et qui à son tour avait adressé une missive au recteur de l’Académie de La Réunion. Et selon nos informations, chaque année plane une épée de Damoclès sur la LCR et sur les enseignants intervenants bien qu’il y ait une demande des élèves et des parents.
Lors des grèves de 2009, des élèves ont été privés d’internat suite aux participations aux manifestations. Ces élèves se sont retrouvés à la rue le soir et sont partis dormir chez leurs camarades et certains d’entre eux, sur le terrain de sport face à l’établissement. Ces faits ont été dénoncés par les syndicats de l’établissement et notre fédération.
Dans un article paru dans le Journal de l’Ile du 14 avril 2009, un professeur certifié à la retraite avait dénoncé le traitement qui lui a été réservé et avait écrit avoir reçu un coup de poing dans l’abdomen et un coup de pied dans le bas ventre dans l’aéroport de Roland GARROS de la part du proviseur.
Dans un courrier qui nous a été adressé le 26 mars 2012 par une mère de famille, un lycéen, délégué de classe a été mis à la porte de l’internat à la fin d'un conseil de classe sans décision émanant d’un quelconque conseil de discipline. Monsieur le Proviseur a failli en venir aux mains en pleine séance de conseil, a poursuivi l’élève, puis le proviseur l’a secoué par le col avec des invectives voulant le pousser à la confrontation physique. L’élève s’est retrouvé à la rue et fort heureusement a été accompagné à son domicile par une tierce personne.
La FCPE demande qu’une enquête soit diligentée dans les meilleurs délais et si les faits sont avérés que des sanctions soient prises par le Ministre de l’Education nationale conte le proviseur. L’institution sanctionne bien nos enfants quand ils ne respectent pas le règlement intérieur de l’établissement.
La FCPE demande que l’équité soit appliquée ou sinon à croire que certaines personnes bénéficient d’une protection voire d’une immunité.
Sur la Langue Culture Régionale, la FCPE nationale avait été saisie de cette situation en 2009 et avait rencontré à l’époque Monsieur Patrick Karam, délégué interministériel à l’outre- mer à ce sujet qui lui-même avait alerté Monsieur Xavier DARCOS et qui à son tour avait adressé une missive au recteur de l’Académie de La Réunion. Et selon nos informations, chaque année plane une épée de Damoclès sur la LCR et sur les enseignants intervenants bien qu’il y ait une demande des élèves et des parents.
Lors des grèves de 2009, des élèves ont été privés d’internat suite aux participations aux manifestations. Ces élèves se sont retrouvés à la rue le soir et sont partis dormir chez leurs camarades et certains d’entre eux, sur le terrain de sport face à l’établissement. Ces faits ont été dénoncés par les syndicats de l’établissement et notre fédération.
Dans un article paru dans le Journal de l’Ile du 14 avril 2009, un professeur certifié à la retraite avait dénoncé le traitement qui lui a été réservé et avait écrit avoir reçu un coup de poing dans l’abdomen et un coup de pied dans le bas ventre dans l’aéroport de Roland GARROS de la part du proviseur.
Dans un courrier qui nous a été adressé le 26 mars 2012 par une mère de famille, un lycéen, délégué de classe a été mis à la porte de l’internat à la fin d'un conseil de classe sans décision émanant d’un quelconque conseil de discipline. Monsieur le Proviseur a failli en venir aux mains en pleine séance de conseil, a poursuivi l’élève, puis le proviseur l’a secoué par le col avec des invectives voulant le pousser à la confrontation physique. L’élève s’est retrouvé à la rue et fort heureusement a été accompagné à son domicile par une tierce personne.
La FCPE demande qu’une enquête soit diligentée dans les meilleurs délais et si les faits sont avérés que des sanctions soient prises par le Ministre de l’Education nationale conte le proviseur. L’institution sanctionne bien nos enfants quand ils ne respectent pas le règlement intérieur de l’établissement.
La FCPE demande que l’équité soit appliquée ou sinon à croire que certaines personnes bénéficient d’une protection voire d’une immunité.