Mon papa travaillait pour les colons. Ma maman, elle, ne savait ni lire ni écrire, mais elle savait aimer, partager, et tenir debout la maison.
C’est auprès d’eux que j’ai appris que la vraie richesse, c’est la dignité et la solidarité.
Mon enfance s’est déroulée entre le chemin Rivière du Mat et le centre-ville.
Je me souviens des rires d’école à la maternelle du centre, puis à l’école primaire Narasigin, avant de poursuivre au collège de Bras Panon, près de l’ancienne fontaine.
C’était une enfance entre poussière et lumière, entre débrouillardise et rêves d’avenir.
Après le passage du cyclone, ma famille a obtenu une maison sociale au lotissement des Évis, à Rivière des Roches.
C’est là que j’ai grandi, que j’ai appris à devenir adulte, à mesurer la valeur de chaque effort.
Plus tard, j’ai suivi des études littéraires, puis deux années d’espagnol.
Issue d’un foyer modeste, j’ai compris très tôt que le travail est une fierté, pas une contrainte.
J’ai élevé mes enfants, puis multiplié les activités pour subvenir à nos besoins : la pêche de bichiques, en saison, les mains dans l’eau froide au petit matin… puis la création d’une entreprise de location saisonnière, bâtie avec patience et volonté.
Aujourd’hui, j’ai mis cette activité entre parenthèses pour prendre soin de mon papa, atteint de la maladie d’Alzheimer.
Parce que la famille, c’est là que tout commence et que tout revient.
Je suis mariée depuis plusieurs années à Gérard Félicité, figure reconnue du monde du sport de combat, instructeur national de MMA. Ensemble, nous partageons les mêmes valeurs : le respect, la discipline et la persévérance.
À 49 ans, je ressens le besoin profond de redonner à Bras Panon ce que la vie m’a appris :
la force de l’entraide, le courage des familles modestes, la dignité des gens simples.
Je crois en une politique du cœur, proche des gens, à l’écoute, ancrée dans la réalité du quotidien.
Une politique qui donne sa place à chaque famille, surtout à celles qui, comme la mienne, ont grandi sans rien, mais ont tout construit avec amour et solidarité.
Parce que c’est là, dans ces vies discrètes et courageuses, que bat le vrai cœur de Bras Panon.
C’est auprès d’eux que j’ai appris que la vraie richesse, c’est la dignité et la solidarité.
Mon enfance s’est déroulée entre le chemin Rivière du Mat et le centre-ville.
Je me souviens des rires d’école à la maternelle du centre, puis à l’école primaire Narasigin, avant de poursuivre au collège de Bras Panon, près de l’ancienne fontaine.
C’était une enfance entre poussière et lumière, entre débrouillardise et rêves d’avenir.
Après le passage du cyclone, ma famille a obtenu une maison sociale au lotissement des Évis, à Rivière des Roches.
C’est là que j’ai grandi, que j’ai appris à devenir adulte, à mesurer la valeur de chaque effort.
Plus tard, j’ai suivi des études littéraires, puis deux années d’espagnol.
Issue d’un foyer modeste, j’ai compris très tôt que le travail est une fierté, pas une contrainte.
J’ai élevé mes enfants, puis multiplié les activités pour subvenir à nos besoins : la pêche de bichiques, en saison, les mains dans l’eau froide au petit matin… puis la création d’une entreprise de location saisonnière, bâtie avec patience et volonté.
Aujourd’hui, j’ai mis cette activité entre parenthèses pour prendre soin de mon papa, atteint de la maladie d’Alzheimer.
Parce que la famille, c’est là que tout commence et que tout revient.
Je suis mariée depuis plusieurs années à Gérard Félicité, figure reconnue du monde du sport de combat, instructeur national de MMA. Ensemble, nous partageons les mêmes valeurs : le respect, la discipline et la persévérance.
À 49 ans, je ressens le besoin profond de redonner à Bras Panon ce que la vie m’a appris :
la force de l’entraide, le courage des familles modestes, la dignité des gens simples.
Je crois en une politique du cœur, proche des gens, à l’écoute, ancrée dans la réalité du quotidien.
Une politique qui donne sa place à chaque famille, surtout à celles qui, comme la mienne, ont grandi sans rien, mais ont tout construit avec amour et solidarité.
Parce que c’est là, dans ces vies discrètes et courageuses, que bat le vrai cœur de Bras Panon.












