Dans une vidéo diffusée récemment, Jean-Jacques Morel, délégué départemental du Rassemblement National à La Réunion, a vivement critiqué la gestion municipale de Saint-Denis, à la suite des inondations dévastatrices qui ont touché plusieurs quartiers de la ville. Il s’adresse directement aux Dionysiens, dénonçant "un échec grave de l’aménagement" de la capitale réunionnaise.
Selon lui, les scènes de voitures emportées par les crues rappellent les catastrophes naturelles dans des pays en développement : « comme au Bangladesh, comme dans ces pays du tiers-monde », déplore-t-il, dénonçant une situation indigne pour une ville française.
Jean-Jacques Morel pointe du doigt un manque d’investissements publics dans les infrastructures d’évacuation des eaux pluviales. Il affirme que les canaux utilisés aujourd’hui datent de l’époque d’Auguste Legros, il y a plus de 50 ans, et étaient alors dimensionnés pour une ville de 80 000 à 90 000 habitants. Or, Saint-Denis en compte aujourd’hui près de 160 000. « Cette déresponsabilisation totale » aurait, selon lui, mis en danger de nombreuses familles, notamment à La Colline, La Grande Chaloupe, au Chaudron ou dans les hauts.
L’élu RN déplore le sort de familles obligées de quitter leur maison, parfois propriétaires de leur terrain depuis plusieurs décennies. « Quel désastre, quel gâchis », s’indigne-t-il.
Sans nommer directement la maire actuelle, Ericka Bareigts, il accuse la gauche locale d’avoir ignoré les enjeux fondamentaux en privilégiant une politique "de flonflons" : fêtes, décorations, événements populaires. « C’est bien de faire la fête, de mettre des lampions partout, mais il y a évidemment plus important », affirme-t-il. Ce qui compte selon lui, c’est « d’assurer à chaque Dionysien une vie tranquille » et la sécurité de leur foyer.
Enfin, Jean-Jacques Morel appelle à un changement politique à Saint-Denis, pour que « ce gâchis sur tant de vies ne se reproduise plus jamais ».
Selon lui, les scènes de voitures emportées par les crues rappellent les catastrophes naturelles dans des pays en développement : « comme au Bangladesh, comme dans ces pays du tiers-monde », déplore-t-il, dénonçant une situation indigne pour une ville française.
Jean-Jacques Morel pointe du doigt un manque d’investissements publics dans les infrastructures d’évacuation des eaux pluviales. Il affirme que les canaux utilisés aujourd’hui datent de l’époque d’Auguste Legros, il y a plus de 50 ans, et étaient alors dimensionnés pour une ville de 80 000 à 90 000 habitants. Or, Saint-Denis en compte aujourd’hui près de 160 000. « Cette déresponsabilisation totale » aurait, selon lui, mis en danger de nombreuses familles, notamment à La Colline, La Grande Chaloupe, au Chaudron ou dans les hauts.
L’élu RN déplore le sort de familles obligées de quitter leur maison, parfois propriétaires de leur terrain depuis plusieurs décennies. « Quel désastre, quel gâchis », s’indigne-t-il.
Sans nommer directement la maire actuelle, Ericka Bareigts, il accuse la gauche locale d’avoir ignoré les enjeux fondamentaux en privilégiant une politique "de flonflons" : fêtes, décorations, événements populaires. « C’est bien de faire la fête, de mettre des lampions partout, mais il y a évidemment plus important », affirme-t-il. Ce qui compte selon lui, c’est « d’assurer à chaque Dionysien une vie tranquille » et la sécurité de leur foyer.
Enfin, Jean-Jacques Morel appelle à un changement politique à Saint-Denis, pour que « ce gâchis sur tant de vies ne se reproduise plus jamais ».
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