
"Vous continuez à véhiculer des préjugés déjà bien ancrés dans la croyance populaire.
Comme le disait Barack Obama lors de sa première campagne, libérons-nous de ces fausses excuses, Assumons nous et devenons responsables. Cessons d'expliquer nos défaites, nos défauts, nos malheurs à cause de notre couleur, de notre négritude (cf Aimé Césaire).
A t-on vu beaucoup d'entre nous expliquer notre réussite, nos qualités, nos bonheurs à cause de notre couleur ? NON ! Voilà un début de preuves que nous reportons sur les autres nos malheurs mais pas nos bonheurs.
Nous cherchons une cause extérieure quand c'est en négatif et une cause intérieure quand c'est positif. Or imprégnés de cette mentalité, nous avons déjà un pied dans l'abîme des préjugés et de l'ignorance.
Vous dites au début de votre savante démonstration pour la seconde méthode "je retourne l'arme contre moi, suivant un processus lent ou rapide, celle utilisée par le déclencheur de l'insurrection en Tunisie, celle des premières manifestations egyptiennes, syriennes." Comparez Gandhi avec Mouen est un honneur pour le second, qui ne lui arrive pas au pieds.
En effet ce qui a provoqué "les printemps arabes" c'est dans 3 cas sur 4, l'inflation brutale des prix et la raréfication des denrées. Le côté politique a été le détonateur. L'armée, venant réprouver les actes de violence et d'impatience sur ordre du pouvoir politique, est devenue le bouc émissaire de la fureur des manifestants.
Le pouvoir local enfermé dans sa tour d'ivoire n'a pas compris l'origine des émeutes et a vu la colère des émeutiers se retourner contre lui. Les émeutiers ont cru les opposants qui leur a fait croire que l'ensemble des problèmes venait du pouvoir en place (ce qui n'était pas forcément faux tout le temps). D'où l'irreversible marche vers la rébellion, la révolution voire la guerre civile (comme en Egypte actuellement)
Quant à la société spectacle que vous décriez, vous y participez et vous continuez en écrivant cet article.
Comme le disait Barack Obama lors de sa première campagne, libérons-nous de ces fausses excuses, Assumons nous et devenons responsables. Cessons d'expliquer nos défaites, nos défauts, nos malheurs à cause de notre couleur, de notre négritude (cf Aimé Césaire).
A t-on vu beaucoup d'entre nous expliquer notre réussite, nos qualités, nos bonheurs à cause de notre couleur ? NON ! Voilà un début de preuves que nous reportons sur les autres nos malheurs mais pas nos bonheurs.
Nous cherchons une cause extérieure quand c'est en négatif et une cause intérieure quand c'est positif. Or imprégnés de cette mentalité, nous avons déjà un pied dans l'abîme des préjugés et de l'ignorance.
Vous dites au début de votre savante démonstration pour la seconde méthode "je retourne l'arme contre moi, suivant un processus lent ou rapide, celle utilisée par le déclencheur de l'insurrection en Tunisie, celle des premières manifestations egyptiennes, syriennes." Comparez Gandhi avec Mouen est un honneur pour le second, qui ne lui arrive pas au pieds.
En effet ce qui a provoqué "les printemps arabes" c'est dans 3 cas sur 4, l'inflation brutale des prix et la raréfication des denrées. Le côté politique a été le détonateur. L'armée, venant réprouver les actes de violence et d'impatience sur ordre du pouvoir politique, est devenue le bouc émissaire de la fureur des manifestants.
Le pouvoir local enfermé dans sa tour d'ivoire n'a pas compris l'origine des émeutes et a vu la colère des émeutiers se retourner contre lui. Les émeutiers ont cru les opposants qui leur a fait croire que l'ensemble des problèmes venait du pouvoir en place (ce qui n'était pas forcément faux tout le temps). D'où l'irreversible marche vers la rébellion, la révolution voire la guerre civile (comme en Egypte actuellement)
Quant à la société spectacle que vous décriez, vous y participez et vous continuez en écrivant cet article.