Examinons d'abord les chiffres arrêter hier à 10h20 : sur 873 "votants" Jean-Paul Virapoullé totalise (49,94 %), Michel Fontaine (44,22%), Didier Robert (3,09 %) et Jean-Louis Lagourgue (2,75 %). Le sénateur sortant a toujours fait la course en tête. Dans les premières semaines, son score était de 65 % alors que celui de Michel Fontaine était de 25 %.
Puis, il y a eu un vrai duel des internautes. Ceux du maire de Saint-Pierre ont réussi l'exploit de hisser leur favori à 44 % contre 45 % à Jean-Paul Virapoullé, à un certain moment. Le lendemain, les internautes du parlementaires reprenaient du service pour réussir le score que vous savez.
Premier enseignement : les internautes de Jean-Paul Virapoullé ont été plus performants et efficaces que ceux de Michel Fontaine. Deuxième enseignement : les sénatoriales à Droite, passionnent plus à Droite qu'à Gauche. Troisième enseignement : tous les moyens sont bons pour faire pencher Paris vers le "bon" candidat. Et quatrième enseignement : la campagne électorale se déroule d'abord dans les médias.
Analyse : il est évident la Droite est partagée entre la nécessité de tourner la page : se débarrasser d'un Jean-Paul Virapoullé "qui n'hésite pas à faire contre sa famille politique", ou conserver un leader charismatique qui a déjà fait ses preuves, et qui par ailleurs est un rempart contre l'hégémonie de Didier Robert.
Sur un plan purement stratégique, lors des Présidentielles et des Législatives de 2012, la Droite sera-t-elle plus performante et efficace : avec ou sans Jean-Paul Virapoullé ?
Puis, il y a eu un vrai duel des internautes. Ceux du maire de Saint-Pierre ont réussi l'exploit de hisser leur favori à 44 % contre 45 % à Jean-Paul Virapoullé, à un certain moment. Le lendemain, les internautes du parlementaires reprenaient du service pour réussir le score que vous savez.
Premier enseignement : les internautes de Jean-Paul Virapoullé ont été plus performants et efficaces que ceux de Michel Fontaine. Deuxième enseignement : les sénatoriales à Droite, passionnent plus à Droite qu'à Gauche. Troisième enseignement : tous les moyens sont bons pour faire pencher Paris vers le "bon" candidat. Et quatrième enseignement : la campagne électorale se déroule d'abord dans les médias.
Analyse : il est évident la Droite est partagée entre la nécessité de tourner la page : se débarrasser d'un Jean-Paul Virapoullé "qui n'hésite pas à faire contre sa famille politique", ou conserver un leader charismatique qui a déjà fait ses preuves, et qui par ailleurs est un rempart contre l'hégémonie de Didier Robert.
Sur un plan purement stratégique, lors des Présidentielles et des Législatives de 2012, la Droite sera-t-elle plus performante et efficace : avec ou sans Jean-Paul Virapoullé ?