Le vendredi 14 septembre, c'était le jour d'anniversaire du nouveau préfet de La Réunion. Et, il a été à la fête tout au long de ce week-end. Même si Jean-Luc Marx a été au courant de la démarche du député de la septième circonscription, l'action du parlementaire a vite pris une tournure surprenante. Une mauvaise surprise pour le représentant de l'Etat. Et, la communication entre les deux hommes, a été vite rompue. C'est sans aucun doute la première erreur de Thierry Robert, ce week-end.
Alors qu'il ne cessait de répéter aux journalistes que "le préfet n'était plus son interlocuteur", de son côté Jean-Luc Marx réitérait sa "proposition d'une rencontre, la plus proche possible, entre les services de la commune, du département et ceux ce l'Etat, afin qu'un examen technique, juridique et financier approfondi de la situation puisse être fait". Dans son courrier daté du 15 septembre, le préfet a aussi invité la mairie de St-Leu "à prendre part à une séance de travail en sous-préfecture de St-Paul, aujourd'hui à 11 heures".
Même si ce ne sont que des écrits, Jean-Luc Marx va s'efforcer "dans le cadre des échanges que j'engage avec l'administration centrale, d'évaluer les possibilités nationales supplémentaires, telles que le ministre des Outre-mer l'a indiqué aux élus de La Réunion dans une lettre du 14 août dernier". Le préfet de La Réunion souhaite ainsi placer les revendications de Thierry Robert dans une démarche globale.
"Ainsi, l'ensemble de la situation des contrats aidés pourra-t-elle être examinée avec vous et dans le cadre d'une toute prochaine commission de la transparence, instituée pour que le volet essentiel de l'aide de l'Etat aux collectivités locales de l'île, soit mis en œuvre avec la plus grande efficacité et en toute clarté", a écrit Jean-Luc Marx au maire de St-Leu. Thierry Robert a préféré en faire qu'à sa tête. Le maire de St-Leu a privilégié la forme par rapport au fond. Et cela s'est retourné contre lui.
C'est son deuxième erreur. A vouloir trop en faire et à utiliser la presse tous azimuts pour rester au devant de la scène politique et médiatique, Thierry Robert, sous pression par ses multiples fonctions électives, a eu la faiblesse de croire que les médias ne savent pas garder leur distance, même avec les élus de prime abord, sympathiques. C'est bien là, le deuxième péché d'orgueil d'un jeune député-maire de 35 ans qui tombé ce week-end de son haut piédestal.
Alors qu'il ne cessait de répéter aux journalistes que "le préfet n'était plus son interlocuteur", de son côté Jean-Luc Marx réitérait sa "proposition d'une rencontre, la plus proche possible, entre les services de la commune, du département et ceux ce l'Etat, afin qu'un examen technique, juridique et financier approfondi de la situation puisse être fait". Dans son courrier daté du 15 septembre, le préfet a aussi invité la mairie de St-Leu "à prendre part à une séance de travail en sous-préfecture de St-Paul, aujourd'hui à 11 heures".
Même si ce ne sont que des écrits, Jean-Luc Marx va s'efforcer "dans le cadre des échanges que j'engage avec l'administration centrale, d'évaluer les possibilités nationales supplémentaires, telles que le ministre des Outre-mer l'a indiqué aux élus de La Réunion dans une lettre du 14 août dernier". Le préfet de La Réunion souhaite ainsi placer les revendications de Thierry Robert dans une démarche globale.
"Ainsi, l'ensemble de la situation des contrats aidés pourra-t-elle être examinée avec vous et dans le cadre d'une toute prochaine commission de la transparence, instituée pour que le volet essentiel de l'aide de l'Etat aux collectivités locales de l'île, soit mis en œuvre avec la plus grande efficacité et en toute clarté", a écrit Jean-Luc Marx au maire de St-Leu. Thierry Robert a préféré en faire qu'à sa tête. Le maire de St-Leu a privilégié la forme par rapport au fond. Et cela s'est retourné contre lui.
C'est son deuxième erreur. A vouloir trop en faire et à utiliser la presse tous azimuts pour rester au devant de la scène politique et médiatique, Thierry Robert, sous pression par ses multiples fonctions électives, a eu la faiblesse de croire que les médias ne savent pas garder leur distance, même avec les élus de prime abord, sympathiques. C'est bien là, le deuxième péché d'orgueil d'un jeune député-maire de 35 ans qui tombé ce week-end de son haut piédestal.