
C'est une évidence même, si l'on dispose de 300 contrats pour ce seul scrutin.
La presse dans son ensemble, a relayé les différentes positions des partis politiques et des collectivités locales. Ceux qui n'ont pas eu un quota conséquent dénonce - à raison - les candidats qui bénéficient pleinement de cette manne providentielle.
Alors faut-il supprimer l'attribution des contrats aidés pendant cette période des élections ? Si oui, qui en souffrirait le plus les bénéficiaires de ce clientélisme électoral ou les candidats qui sont chargés de la distribution de ces contrats ?
Quel élu, quel syndicaliste ou quel citoyen prendra la responsabilité de sensibiliser l'Etat sur ce point bien particulier ? En effet, les contrats aidés sont aussi des soupapes qui évitent par séquence (surtout en période électorale), l'explosion sociale redoutée par les hommes politiques.
La presse dans son ensemble, a relayé les différentes positions des partis politiques et des collectivités locales. Ceux qui n'ont pas eu un quota conséquent dénonce - à raison - les candidats qui bénéficient pleinement de cette manne providentielle.
Alors faut-il supprimer l'attribution des contrats aidés pendant cette période des élections ? Si oui, qui en souffrirait le plus les bénéficiaires de ce clientélisme électoral ou les candidats qui sont chargés de la distribution de ces contrats ?
Quel élu, quel syndicaliste ou quel citoyen prendra la responsabilité de sensibiliser l'Etat sur ce point bien particulier ? En effet, les contrats aidés sont aussi des soupapes qui évitent par séquence (surtout en période électorale), l'explosion sociale redoutée par les hommes politiques.