
"Dans son édition du 21 septembre 2012, le rédacteur en chef du JIR fait état de liens de camaraderie entre le Maire de Saint-André et Monsieur François I. lequel a fait usage de faux diplômes lors de son recrutement. Sur quelle base ces affirmations se fondent-elles ?
Sur le fond de l’affaire, vraisemblablement Monsieur le Rédacteur en chef du JIR n’a pas pris le temps de rechercher la vérité notamment en contactant la mairie.
Il aurait mieux compris donc mieux informé ses lecteurs.
Je rappelle que j’ai suspendu cet agent contractuel sans traitement dès la découverte de la falsification des diplômes.
De plus j’ai émis à son encontre un titre de recettes d’un montant de 53.663€ pour remboursement à la commune d’un traitement indûment perçu. Le comptable public est chargé de recouvrer cette somme.
Il y a donc sur ce sujet ni camaraderie, ni coup de main, ni sauvetage. Affirmer le contraire c’est se complaire dans la diffusion d’informations erronées.
Quant à l’instance devant la juridiction administrative, je considère qu’elle n’a pas lieu d’être puisque je démontre par le titre de recettes de 53 663€ que les intérêts de la ville sont défendus.
Le maire de Saint-André n’a nul besoin qu’un administré, fut-il conseiller de l’opposition, se considère dans l’obligation de se substituer à lui pour la bonne administration de la commune dont la gestion lui a été confiée par les Saint-Andréens".
Sur le fond de l’affaire, vraisemblablement Monsieur le Rédacteur en chef du JIR n’a pas pris le temps de rechercher la vérité notamment en contactant la mairie.
Il aurait mieux compris donc mieux informé ses lecteurs.
Je rappelle que j’ai suspendu cet agent contractuel sans traitement dès la découverte de la falsification des diplômes.
De plus j’ai émis à son encontre un titre de recettes d’un montant de 53.663€ pour remboursement à la commune d’un traitement indûment perçu. Le comptable public est chargé de recouvrer cette somme.
Il y a donc sur ce sujet ni camaraderie, ni coup de main, ni sauvetage. Affirmer le contraire c’est se complaire dans la diffusion d’informations erronées.
Quant à l’instance devant la juridiction administrative, je considère qu’elle n’a pas lieu d’être puisque je démontre par le titre de recettes de 53 663€ que les intérêts de la ville sont défendus.
Le maire de Saint-André n’a nul besoin qu’un administré, fut-il conseiller de l’opposition, se considère dans l’obligation de se substituer à lui pour la bonne administration de la commune dont la gestion lui a été confiée par les Saint-Andréens".