Le climat ne s'est pas totalement apaisé à trois jours du conseil d'Administration de la SHLMR. Le climat s'est au contraire détérioré suite de la publication d'une information dans le Quotidien de La Réunion : "Jean-François Moser tient la corde, mais ses prétentions salariales s'élèveraient à 20.000 euros". Info ou intox, ce "salaire de président de la République" a fait le buzz sur plusieurs sites.
Il y a ceux qui ont trouvé que cette rémunération est une "insulte à la misère et à la précarité actuelle". Il y a aussi ceux qui ont ouvert l'intarissable et perpétuel débat créole/zoreil. Il y a enfin ceux qui essayent de savoir ce qui se passe réellement au sein de la SHLMR. Pour l'heure, tout est en mode silence surtout du côté de la vingtaine des candidats à la succession de Véronique Ozil-Douyère, à la direction général de la SHLMR.
Ces candidatures ont été retenues à La Réunion et en métropole auprès de cabinets de recrutements. Selon nos informations, chaque candidat a été soumis à la règlement d'embauche de l'Union sociale de l'habitat : étude de profil, entretiens et propositions salariales. Selon la presse, c'est Jean-François Moser, ancien directeur de l'Usine de Bois-Rouge et un moment annoncé à l'Urcoopa, qui a la faveur des pronostics.
C'est vrai, Jean-François Moser est bien placé. C'est ce que confirmera sans doute ce jeudi 25 août le conseil d'Administration de la SHLMR. Ce CA annoncera les objectifs du nouveau directeur général, son salaire, ses avantages (également définis dans le cadre de l'Union sociale de l'habitat)… "L'essentiel se situe ailleurs. Le futur salaire de Jean-François Moser n'est qu'un prétexte à des règlements de comptes". Du Médef au SHLMR, le patronat est une nouvelle fois au pied du mur...
Il y a ceux qui ont trouvé que cette rémunération est une "insulte à la misère et à la précarité actuelle". Il y a aussi ceux qui ont ouvert l'intarissable et perpétuel débat créole/zoreil. Il y a enfin ceux qui essayent de savoir ce qui se passe réellement au sein de la SHLMR. Pour l'heure, tout est en mode silence surtout du côté de la vingtaine des candidats à la succession de Véronique Ozil-Douyère, à la direction général de la SHLMR.
Ces candidatures ont été retenues à La Réunion et en métropole auprès de cabinets de recrutements. Selon nos informations, chaque candidat a été soumis à la règlement d'embauche de l'Union sociale de l'habitat : étude de profil, entretiens et propositions salariales. Selon la presse, c'est Jean-François Moser, ancien directeur de l'Usine de Bois-Rouge et un moment annoncé à l'Urcoopa, qui a la faveur des pronostics.
C'est vrai, Jean-François Moser est bien placé. C'est ce que confirmera sans doute ce jeudi 25 août le conseil d'Administration de la SHLMR. Ce CA annoncera les objectifs du nouveau directeur général, son salaire, ses avantages (également définis dans le cadre de l'Union sociale de l'habitat)… "L'essentiel se situe ailleurs. Le futur salaire de Jean-François Moser n'est qu'un prétexte à des règlements de comptes". Du Médef au SHLMR, le patronat est une nouvelle fois au pied du mur...