
"Cet élan de la population a toutes les raisons de s’amplifier et de donner raisonnablement à François Hollande une chance d’être le candidat unique issu des primaires le 16 octobre, pour affronter Sarkozy, dans 6 mois.
Nul doute que toutes les électrices et que tous les électeurs, confrontés au choix du 2e tour, réfléchiront, quand ils voteront, aux conditions créées par le scrutin du 9 octobre : et pour des raisons non seulement nationales, mais aussi pour des raisons spécifiques à La Réunion, ces électrices et ces électeurs pourront contribuer à la réalisation de la victoire, dans 6 mois.
Une victoire qui pourra amener – enfin – un changement radical dans la politique française menée depuis des années, changement qui, dans tous les Départements d’Outre-mer, fera en sorte que le coût de la crise ne soit plus supporté essentiellement par les plus démunis et les plus défavorisés, notamment les jeunes, mais réparti en priorité sur ceux qui ont, jusque-là été préservés, voire qui ont pu bénéficier de cette crise.
Jamais les électrices et électeurs réunionnais n’ont été confrontés à un tel rendez-vous : celui de pouvoir contribuer concrètement à la sortie d’une crise qui pèse non seulement sur eux, mais sur leur famille, et surtout les jeunes.
Et ils le feront en solidarité avec les autres régions d’outre-mer – la Martinique, la Guadeloupe et la Guyane – aussi ont voté le 9 octobre, comme La Réunion, pour le même candidat".
Nul doute que toutes les électrices et que tous les électeurs, confrontés au choix du 2e tour, réfléchiront, quand ils voteront, aux conditions créées par le scrutin du 9 octobre : et pour des raisons non seulement nationales, mais aussi pour des raisons spécifiques à La Réunion, ces électrices et ces électeurs pourront contribuer à la réalisation de la victoire, dans 6 mois.
Une victoire qui pourra amener – enfin – un changement radical dans la politique française menée depuis des années, changement qui, dans tous les Départements d’Outre-mer, fera en sorte que le coût de la crise ne soit plus supporté essentiellement par les plus démunis et les plus défavorisés, notamment les jeunes, mais réparti en priorité sur ceux qui ont, jusque-là été préservés, voire qui ont pu bénéficier de cette crise.
Jamais les électrices et électeurs réunionnais n’ont été confrontés à un tel rendez-vous : celui de pouvoir contribuer concrètement à la sortie d’une crise qui pèse non seulement sur eux, mais sur leur famille, et surtout les jeunes.
Et ils le feront en solidarité avec les autres régions d’outre-mer – la Martinique, la Guadeloupe et la Guyane – aussi ont voté le 9 octobre, comme La Réunion, pour le même candidat".