"Je souhaite donc informer mes camarades, et plus généralement l’opinion, de ma décision irrévocable de me démettre en 2013, c’est-à-dire à mi-mandat, de mon poste de conseiller général.
Cette démission d’un mandat électif n’entame en rien ma volonté de poursuivre mon engagement politique.
Cette décision me semble dans le droit fil des proclamations résolues de notre parti. Elle concerne la volonté de faire émerger une nouvelle génération, et de tenir compte de l’exigence de parité.
Poursuivre le travail engagé
Pourquoi durant le second semestre 2013 et pas avant ?
La présidente m’a confié deux délégations importantes : les transports et l’agriculture.
En ce qui concerne les transports, je suis déjà engagé dans l’élaboration d’un plan départemental des transports qui doit être validé avant fin 2012, afin de lancer la consultation pour la mise en place d’un nouveau réseau départemental de transports à l’échelle de l’île pour les 10 ans à venir, coordonné avec les réseaux urbains des communautés d’agglomération. Tout cela dans un délai contraint nous amenant à mi 2013.
En ce qui concerne l’agriculture, je dois participer avec les acteurs agricoles et l’Etat à la réalisation des Cahiers de l’agriculture, pour fixer la "feuille de route" pour les 10 ans à venir, tâche délicate dans la période d’incertitude au niveau européen et mondial. Ce processus devrait s’achever au plus tard à mi 2013.
Je ne peux donc pas "abandonner le navire" immédiatement.
Accompagner et encourager celle ou celui qui prendra le relais
Il est évident qu’après mi 2013, tous les problèmes ne seront pas encore résolus. Mais en raisonnant ainsi, les problèmes existant toujours, jamais le relais ne sera transmis à quelqu’un de plus jeune.
Ma responsabilité immédiate est de fournir à celle à qui je transmettrai le relais toutes les informations propres à lui permettre de prendre ces délégations, sous réserve bien sûr que la présidente du Conseil général veuille bien les lui confier.
Ma décision rendue publique est ferme et définitive, et prise devant ma suppléante Firose Gador, mon parti, mes collègues du département, et l’opinion publique en général".
Cette démission d’un mandat électif n’entame en rien ma volonté de poursuivre mon engagement politique.
Cette décision me semble dans le droit fil des proclamations résolues de notre parti. Elle concerne la volonté de faire émerger une nouvelle génération, et de tenir compte de l’exigence de parité.
Poursuivre le travail engagé
Pourquoi durant le second semestre 2013 et pas avant ?
La présidente m’a confié deux délégations importantes : les transports et l’agriculture.
En ce qui concerne les transports, je suis déjà engagé dans l’élaboration d’un plan départemental des transports qui doit être validé avant fin 2012, afin de lancer la consultation pour la mise en place d’un nouveau réseau départemental de transports à l’échelle de l’île pour les 10 ans à venir, coordonné avec les réseaux urbains des communautés d’agglomération. Tout cela dans un délai contraint nous amenant à mi 2013.
En ce qui concerne l’agriculture, je dois participer avec les acteurs agricoles et l’Etat à la réalisation des Cahiers de l’agriculture, pour fixer la "feuille de route" pour les 10 ans à venir, tâche délicate dans la période d’incertitude au niveau européen et mondial. Ce processus devrait s’achever au plus tard à mi 2013.
Je ne peux donc pas "abandonner le navire" immédiatement.
Accompagner et encourager celle ou celui qui prendra le relais
Il est évident qu’après mi 2013, tous les problèmes ne seront pas encore résolus. Mais en raisonnant ainsi, les problèmes existant toujours, jamais le relais ne sera transmis à quelqu’un de plus jeune.
Ma responsabilité immédiate est de fournir à celle à qui je transmettrai le relais toutes les informations propres à lui permettre de prendre ces délégations, sous réserve bien sûr que la présidente du Conseil général veuille bien les lui confier.
Ma décision rendue publique est ferme et définitive, et prise devant ma suppléante Firose Gador, mon parti, mes collègues du département, et l’opinion publique en général".