Gilbert Annette, ex-premier secrétaire fédéral du PS local, n'aurait pas pu choisir de meilleur fusible pour le succéder et gérer la rupture d'avec ce qui est devenu le Progrès. Philippe Leconstant a une explication positive à chaque événement. "Comment se fait-il qu'il y ait que 9 adhérents qui ont voté à Saint-Joseph, jeudi dernier, lors de la désignation du premier socialiste". Réponse de l'intéressé : "Nous avons décidé de ne pas commenter les scrutins".
"Et le fait qu'il y ait eu des contestations à Saint-Philippe ?" "Nous allons entendre ceux qui ont dénoncé des irrégularités, et nous prendrons une décision". A moins d'un revirement spectaculaire, l'élection de Didier Dalleau devrait être validée. Il y a aussi les cas des Avirons et de Sainte-Rose. "Aux Avirons, c'est une toute jeune section, personne n'a voulu s'imposer. Par contre pour Sainte-Rose, nous n'avons aucune explication pour l'heure". Et ce n'est pas cette situation qui perturbe le premier adjoint au maire de Saint-Benoît.
"Contrairement à ce que certains ont prédit : division, implosion, primaires dans toutes les communes, duel fratricide aux Municipales 2014… rien de cela s'est produit. Nous avons travaillé pour éviter la désunion et les conflits. Ainsi, il n'y aura aucun affrontement entre socialistes, même pas à Saint-Pierre, car Krishna Badamia qui s'opposera à la candidate du PS, Virginie Gobalou, n'est pas adhérent au PS". Toutefois, le Conseil fédéral soumettra le cas Gobalou/Badamia aux instances nationales.
Philippe Leconstant continue à mobiliser ses troupes. "Nous devons poursuivre nos efforts. Ça ne sera pas facile. Car, nous sommes au gouvernement et le contexte ne nous est pas favorable. Il nous faut expliquer la politique de Hollande et aussi dire à la population de ne pas mélanger une élection municipale pour une gestion locale, avec des décisions nationales. Notre objectif à La Réunion est de conserver nos cinq municipalités. Les sondages montrent que nous restons le premier parti politique alors que l'UMP stagne".
Ce qui fait dire à Philippe Leconstant : "Je ne crois pas à la vague bleue".
"Et le fait qu'il y ait eu des contestations à Saint-Philippe ?" "Nous allons entendre ceux qui ont dénoncé des irrégularités, et nous prendrons une décision". A moins d'un revirement spectaculaire, l'élection de Didier Dalleau devrait être validée. Il y a aussi les cas des Avirons et de Sainte-Rose. "Aux Avirons, c'est une toute jeune section, personne n'a voulu s'imposer. Par contre pour Sainte-Rose, nous n'avons aucune explication pour l'heure". Et ce n'est pas cette situation qui perturbe le premier adjoint au maire de Saint-Benoît.
"Contrairement à ce que certains ont prédit : division, implosion, primaires dans toutes les communes, duel fratricide aux Municipales 2014… rien de cela s'est produit. Nous avons travaillé pour éviter la désunion et les conflits. Ainsi, il n'y aura aucun affrontement entre socialistes, même pas à Saint-Pierre, car Krishna Badamia qui s'opposera à la candidate du PS, Virginie Gobalou, n'est pas adhérent au PS". Toutefois, le Conseil fédéral soumettra le cas Gobalou/Badamia aux instances nationales.
Philippe Leconstant continue à mobiliser ses troupes. "Nous devons poursuivre nos efforts. Ça ne sera pas facile. Car, nous sommes au gouvernement et le contexte ne nous est pas favorable. Il nous faut expliquer la politique de Hollande et aussi dire à la population de ne pas mélanger une élection municipale pour une gestion locale, avec des décisions nationales. Notre objectif à La Réunion est de conserver nos cinq municipalités. Les sondages montrent que nous restons le premier parti politique alors que l'UMP stagne".
Ce qui fait dire à Philippe Leconstant : "Je ne crois pas à la vague bleue".