La conseillère régionale de La Réunion en confiance, est femme jusqu'au bout de ses décisions politiques. Patricia Pilorget est femme des années 2000, "ayant réussi l'amalgame, de l'autorité et du charme". "Il faut savoir s'imposer. Et, à la Région, le président a souhaité une vraie parité".


Patricia Pilorget : "La parité homme - femme est une réalité à la Région Réunion"
Patricia Pilorget mène sa vie comme sa carrière politique. Avec rigueur. Objectivité. Et l'emploi du temps d'une femme toujours "overbookée". "Ce n'est pas facile de mener plusieurs objectifs en même temps". Sa fonction de conseillère régionale, sa profession et son ambition pour 2014 : les Municipales de Saint-Benoît. Et au-dessus de tout, il y a son fils. Sa bataille. "C'est ma joie et ma raison de vivre". Aimer à en perdre la raison.

Ses autres passions : Saint-Benoît, l'artisanat et la politique. Patricia Pilorget vit ses passions au féminin. De manière exponentielle. Sans retenue. Sans excès. "La Région Réunion a donné une autre dimension à mon engagement. Le projet que nous portons avec le président Didier Robert est exaltant en ce sens. La majorité régionale se bat pour maintenir l'espoir aujourd'hui, et demain transformer cet espoir en réalité".

Patricia Pilorget est plus la femme chantée par Michel Sardou que Patrick Juvet. "Sachant pianoter sur la gamme qui va du sourire aux larmes". "Sensuelle et pudique", la conseillère régionale se veut "une personnalité politique. Le sexe n'est ni un obstacle ou un tremplin. Nous avons été élus par le peuple pour une mission. Nous menons à bien notre mission".

"Et à aucun moment, je n'ai été confrontée à un quelconque sexisme. Le cadre proposé puis fixé par la majorité régionale, a permis de construire une vraie équipe. La répartition des prérogatives faite Didier Robert, président de la Région Réunion, a permis de construire et consolider une vraie parité au sein de notre groupe. C'est ce qui fait la force de notre majorité", a conclu Patricia Pilorget, conseillère régionale.



Rédigé par Mathieu Fancello le Dimanche 15 Janvier 2012 à 19:30 | Commentaires (0)

La conseillère municipale de l'opposition à Saint-Benoît et également conseillère régionale, a critiqué la politique municipale socialiste, dans un communiqué adressé à la presse.


Patricia Pilorget : "Une pression fiscale insupportable pour les Bénédictins"
"Le budget présenté et approuvé  lors du Conseil municipal de Saint-Benoît du jeudi 28 avril dernier fait apparaitre deux situations particulièrement scandaleuses :
- La commune de Saint-Benoît a atteint ses limites en matière de recours à l’emprunt, asphyxiée par des dépenses en personnel représentant plus des 2/3 des recettes – limitant ainsi contrairement aux dires de M. Le Député Maire  les capacités d’investissements de la commune.

- Une pression fiscale insupportable pour les bénédictins : les amis de Fruteau et de  Leconstant ont validé l’augmentation de la taxe communale et de la taxe départementale. Signalons tout de même à l’équipe municipale actuelle, que sous la mandature de M. Audifax,  de nombreux projets ont été réalisés - a  savoir : construction du pôle sanitaire de l’Est, du collège  Guy Moquet, du lycée de Sainte-Anne et de ses équipements sportifs, du collège privé de Beaulieu des opérations de RHI, créations de crèches, endiguement de la ravine bras canot et bras mussard, opérations de logements… Et cela sans augmenter les impôts.

De plus, a l'occasion du Conseil municipal de Saint-Benoît en date du 11 avril 2011, les conseillers municipaux ont voté et approuvé le place de financement concernant 8 projets cofinancés par le Conseil régional dans le cadre de son plan de relance 2010-2014.

La demande importante de subvention faite par la commune de Saint-Benoît ( plus de 2,5 millions d’euros) montre à l’évidence que le dispositif mis en place par la Région est adapté à la diversité des situations et aux attentes de ses habitants".

Rédigé par Jismy Ramoudou le Dimanche 15 Janvier 2012 à 19:28 | Commentaires (0)

La conseillère municipale de l'opposition à Saint-Benoît, n'a pas de doute : "Sainte-Anne a déjà les structures nécessaires pour devenir une commune. Et Sainte-Anne aspire à devenir une commune. C'est à la municipalité de mettre en place, la procédure administrative"…


Patricia Pilorget : "Ste-Anne a déjà les structures pour devenir une commune"
La question sur l'évolution administrative de Sainte-Anne a été posée depuis quelques années déjà. Avec aujourd'hui plus de 8.000 habitants, ce quartier situé à l'Est de Saint-Benoît, a pris de la dimension. "Nous avons un collège, un lycée, la gendarmerie, la mairie annexe… Nous avons les structures pour devenir une commune".

Les structures sans doute, toutefois se pose la question des recettes pour l'autonomie financière. Sachant que la grande majorité de l'activité économique se trouve à Bras-Fusil, proche du centre-ville de Saint-Benoît, sur quelles recettes fiscales s'appuierait Saint-Anne pour exister ?

"Sainte-Anne développera ses propres projets pour amener des recettes. Le projet ANRU (Agence nationale de rénovation urbaine) est un projet que nous voulons porter pour Sainte-Anne, car nous savons qu'une majorité de ses habitants, veut voir leur canton devenir une commune", affirme Patricia Pilorget, conseillère municipale de l'opposition et conseillère régionale.

Rédigé par Jismy Ramoudou le Dimanche 15 Janvier 2012 à 19:26 | Commentaires (1)
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